Les mots entre mes mains – Guinevere Glasfurd.

Coucou les paupiettes !

Aujourd’hui je vais vous présenter l’une de mes dernières lectures : Les mots entre mes mains, écrit par Guinevere Glasfurd et publié le 24 août dernier. Je tiens à remercier Netgalley et les éditions Préludes pour avoir accepté ma demande et m’avoir permis de lire ce roman qui me tentait énormément depuis sa sortie.

Quand Helena Jans van der Strom arrive à Amsterdam pour travailler chez un libraire anglais, la jeune femme, fascinée par les mots, a appris seule à lire et à écrire. Son appétit pour la vie et sa soif de connaissance trouveront des échos dans le cœur et l’esprit du philosophe René Descartes. Mais dans ce XVIIe siècle d’ombres et de lumières, où les penseurs sont souvent sévèrement punis, où les femmes n’ont aucun droit, leur liaison pourrait les perdre. Descartes est catholique, Helena protestante. Il est philosophe, elle est servante. Que peut-être leur avenir ? A partir d’une histoire d’amour avérée et méconnue, Guinevere Glasfurd dresse le portrait fascinant d’une femme lumineuse en avance sur son temps. Un roman de passion et de liberté sur fond de fresque envoûtante des Pays-Bas au « siècle d’or ». (Résumé : Livraddict)

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Ce roman nous plonge dans une période de la vie de René Descartes mal connue, relatée du point de vue de la jeune servante dont il s’est amouraché.

Je ne qualifierais pas cette lecture de coup de cœur car j’ai eu un peu de mal à rentrer dedans. L’histoire met un moment à se mettre en place, les premiers chapitres sont un peu confus et il y a quelques longueurs un peu gênantes. Les premières pages se révèlent tout de même très intrigantes et j’ai poursuivi ma lecture en quête de réponses. Si j’ai trouvé la première partie du roman assez lente, j’ai trouvé la seconde beaucoup plus dynamique et intéressante. L’auteure aborde des thèmes tels que la condition de la femme au XVIIème siècle (pas très glorieuse), les idées des grands penseurs de l’époque ou encore la religion (Helena est protestante et Descartes catholique, la question de la religion est très présente au sein de ce roman).

Le récit est fluide, l’écriture de l’auteure est simple, accessible à tous, mais aussi très forte. Elle parvient à nous faire ressentir toutes les émotions de ses personnages. Helena est particulièrement touchante. Elle est jeune et plutôt naïve, mais prend rapidement conscience de sa condition, de sa place dans la société et met tout en œuvre pour réussir à y échapper, à éviter à sa fille de vivre la même chose. Sa relation avec Descartes, personnage très égocentrique (mais aussi touchant, à sa manière), est difficile et elle en subit les conséquences tout au long du roman. Au fil des pages, on sent l’évolution de son personnage. Elle devient de plus en plus forte, indépendante et elle fait preuve d’un grand courage.

Au niveau du contexte, l’auteure a effectué un travail remarquable. On est complètement immergés dans la Hollande du XVIIème siècle, à longer les canaux d’Amsterdam en mangeant des poffertjes et en flânant au marché aux fleurs. Au-delà de ça, Guinevere Glasfurd décrit également avec précision les mœurs de l’époque, ce qui rajoute une dimension passionnante au roman.

L’auteure explique clairement à la fin du livre qu’elle s’est appuyée sur des documents officiels pour écrire ce roman. Ces documents sont rares mais prouvent bien le fait que Francine était la fille de Descartes et d’Helena, attestant ainsi qu’ils avaient bien eu une relation dans les années 1630. À partir de ces quelques documents, l’auteure a développé cette fiction que, personnellement, je trouve plus que crédible.

En résumé, Les mots entre mes mains est un roman historique fort, émouvant et très intéressant. Je vous le recommande chaudement !

16/20

Des bisous !

Ps – Pour ceux qui se demanderaient ce que sont des poffertjes, c’est comme des petites crêpes hollandaises préparées dans un moule assez funky. Ça peut se manger en dessert, au goûter ou à l’apéro. C’est délicieux !

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Point Culture #21 – Livres, films, séries.

Coucou les paupiettes !

Après le C’est lundi, que lisez-vous ? de ce matin, nous nous retrouvons déjà pour le traditionnel Point Culture ! Ces deux dernières semaines j’ai beaucoup lu (des romans, des mangas, des bande-dessinées).. J’ai également regardé pas mal de séries, il y a beaucoup de choses que j’aime qui ont repris et, en plus de ça, je continue de regarder les pilots de la rentrée afin de vous proposer un bilan des nouveautés la semaine prochaine. Avec tout ça, je n’ai pas eu le temps de regarder de films, mais j’ai quand même plein de choses à vous faire découvrir. C’est parti !

Livres lus.

# Re-vive l’empereur !

Maintenu en parfait état de conservation par les eaux glaciales de la mer du Nord, repêché par un chalutier, puis décongelé, Napoléon Bonaparte revient à la vie au moment des attentats djihadistes de Paris, juste à temps pour sauver le monde…

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Après la déception qu’avait été La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la Tour Eiffel, j’avais un peu peur de me lancer dans la lecture du dernier Puértolas. Avec un résumé comme ça, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre.
Dans l’ensemble, j’ai bien aimé. L’idée de départ est intéressante et promettait un certain nombre de situations cocasses qui devraient être drôles. On retrouve la plume mordante de l’auteur et son humour politiquement incorrect (et ici, c’est le cas de le dire). Comme dans les ouvrages précédents, on retrouve également beaucoup de chapitres « à morale », qui remettent en question la société actuelle et qui nous poussent à réfléchir au monde qui nous entoure.
Si certains passages sont très bons, l’auteur a parfois été un peu trop loin à mon goût. Le roman offre quelques belles leçons de vie, d’humanité et de tolérance, mais certaines réflexions sont très limites, et Puértolas perd de vue l’essentiel en se confondant dans tout un tas de clichés particulièrement gênants.
Dans l’ensemble, j’ai passé un bon moment de lecture. Puértolas a réussi à me faire sourire avec son Napoléon accro au Coca Light. Je regrette qu’il soit parfois allé trop loin mais il s’est clairement attaqué à un sujet très difficile et ça peut très vite déraper. Selon moi, ce n’est pas un roman indispensable mais il propose une réflexion intéressante. Il faut également noter que c’est un roman original et décalé, dans la veine des précédents écrits de l’auteur et que si vous n’avez pas aimé les autres, vous n’aimerez pas celui-ci.

14/20

Continuer la lecture de Point Culture #21 – Livres, films, séries.

Point Culture #11 – Livres, films, séries.

Coucou les paupiettes !

J’espère que vous passez un chouette week-end de Pâques, je vous avoue  que je ne sais pas si je vais vous faire un point culture complet, je vais peut-être garder quelques petites choses pour dans deux semaines. Je suis rentrée chez papa-maman pour trois jours, j’aimerais bien en profiter au maximum haha (entendez ici « je vais me gaver de couscous, de tarte aux pommes et de chocolat jusqu’à étouffement »). Maintenant que tout le monde dort (oui, j’écris cette article pendant la nuit, je suis une rebelle), je vais profiter du changement d’heure pour en écrire le plus possible et vous dire ce qu’il s’est passé culturellement parlant ces deux dernières semaines chez ibidouu !

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Livres lus.

# Fahrenheit 451.

451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s’enflamme et se consume.
Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif. Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d’un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l’imaginaire au profit d’un bonheur immédiatement consommable.
Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé.

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Je me suis lancée dans la lecture de Fahrenheit 451 dans le cadre du Book Club de mars sur Livraddict. Je n’en attendais pas grand chose, je l’avoue. Apparemment c’est un « classique » de la littérature SF.. Si le résumé m’a plu (en tout cas il m’a intrigué), j’ai assez vite déchanté au fil des pages.

Les idées de fond sont bonnes, très bonnes même pour certaines. Mais elles sont mal exploitées. Je n’ai pas du tout accroché à la plume de Bradbury, je l’ai trouvé chiant et fouillis. Après avoir tourné la dernière page, je me suis juste dit « Ah. Ok. ».. Pas terrible, n’est ce pas ? Je n’ai pas accroché au personnage de Montag, ni à aucun autre personnage d’ailleurs. Ils sont tous fadasses et ils me font tous un peu pitié, mais je pense qu’au final c’était un peu le but. C’est un roman plat, avec quelques rares rebondissements par-ci par-là. On ne ressent pas vraiment d’émotions, ce qui est vraiment dommage ! Mieux traités, certains passages auraient pu être très forts et avoir un réel impact sur le lecteur (sur moi en tout cas).

Tout n’est pas à jeter, il y a quelques bons passages, l’univers dans lequel évolue Montag est fascinant (et effrayant, un peu).. Et le livre se lit finalement assez vite. Je n’ai pas spécialement accroché mais j’ai quand même l’impression d’avoir lu quelque chose d’important (je sais pas si vous voyez ce que je veux dire), un roman qui a son importance dans l’évolution de l’histoire de la science-fiction.. Je pense qu’il faut lui laisser sa chance. Personnellement c’était pas le kiff total, mais les avis sont tellement nuancés qu’il faut se faire son avis tout seul !

13/20

# Tous en coeur.

Dans cette comédie romantique inédite signée Adama Mané, les vies se croisent et se décroisent, toujours guidées par un seul maître, l’amour. Une déclinaison du mot cœur à travers une palette d’émotions. Lorsque Caroline s’aperçoit que sa grand-mère l’a inscrite sur un site de rencontre sans lui en parler, elle réalise qu’il est peut-être temps de trouver l’amour et surtout qu’il est grand temps d’oublier Lucas, l’homme qui lui a brisé le cœur.

Mais ce nouveau départ pourrait bien la conduire à vivre des aventures et des déceptions auxquelles elle ne s’attend pas. Sa vie va être totalement bouleversée. Même si sa famille et ses amis sont là pour l’épauler, ils vivent également, de leur côté, des événements qui vont les changer à jamais. Sally, sa meilleure amie, commence à avoir des doutes sur la fidélité de son mari. D’autres, comme Christelle, ont déjà découvert la vérité. La question est de savoir, comme le dit la chanson, si, réellement, toutes les histoires d’amour finissent mal ou pas… en général !

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Après ma lecture très mitigée de Fahrenheit 451, je me suis laissée tenter par le nouveau roman d’Adama du blog A trois on sourit. Si le roman a quelques défauts, il a le mérite d’être très divertissant ! J’avoue avoir eu beaucoup de mal à le lâcher et je l’ai lu très très rapidement. Si vous cherchez une comédie romantique, ce livre est probablement fait pour vous !

L’histoire est riche en personnages aux parcours (relativement) différents, qui se croisent, se rencontrent, se quittent, tombent amoureux.. Il y en a pour tous les goûts haha. Je pense que ce roman pourrait tout à fait être adapté en film. Et c’est là un des seuls reproches que je pourrais lui faire : on fait parfois un peu dans le cliché, on retrouve vraiment tous les codes de la comédie romantique hollywoodienne. Mais finalement, ça n’a pas vraiment dérangé ma lecture. La fin ne m’a pas du tout surprise, mais c’est plutôt commun pour une lecture du genre (en tout cas dans mon cas, en aurais-je trop lu/vu ?).

Je n’ai pas accroché à tous les personnages. J’avoue que j’ai trouvé le personnage principal parfois un peu naïf et imbu de sa personne, et des fois j’avais juste envie de lui faire des câlins de réconfort. Je ne suis pas du tout contradictoire comme nana. Par contre j’ai adoré la grand-mère ! J’aurais vraiment aimé que son histoire soit un peu plus développée. Et j’ai plutôt bien apprécié le côté un peu « policier »/enquête avec l’histoire de Xavier et Sally, ça mettait un peu de suspense héhé !

Sinon la lecture est fluide, j’aime beaucoup la façon d’écrire de l’auteure. C’est dynamique, c’est drôle, c’est naturel. Ça passe tout seul. Au début j’avais presque l’impression d’être entre copines ! J’ai par contre été parfois un peu décontenancée quand d’un paragraphe à un autre on changeait de personnage sans transition. Mais, encore une fois, rien de bien gênant.

Ce roman était donc une très agréable surprise que je vous recommande si vous aimez les comédies romantiques, les romans pas prise de tête qui vous permettent de vous changer les idées, de passer un bon moment !

15/20

# Animale, La prophétie de la Reine des Neiges.

Et si le plus merveilleux des contes cachait le plus sombre des complots ?
1833, sur une île perdue du Danemark. Elle s’appelle Blonde, il se nomme Gaspard. Elle est animale, il est fou d’elle. Le destin s’apprête à les arracher l’un à l’autre : ils sont les victimes d’une prophétie qui bouleversera le monde à jamais. Blonde parviendra-t-elle à déjouer les plans de l’énigmatique Reine des neiges, avec pour seul allié un jeune écrivain nommé Andersen ?

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Je ne sais pas si vous vous en souvenez, il y a quelques semaines/mois j’avais lu le premier tome d’Animale, de Victor Dixen. Il m’avait plu mais il n’y avait pas eu de coup de coeur, je n’avais pas été pleinement convaincue. J’avais d’ailleurs trouvé la fin un peu bâclée. BREF. J’ai lu le deuxième tome. Et j’ai trouvé ça beauuuucouuuuup mieux.

On entre directement dans l’histoire et jusqu’au bout (vraiment, je rigole pas) on ne peut pas le lâcher. J’avoue être encore un peu déçue par la fin, on nous monte tout un truc de folie sur 400 pages par rapport à la Reine des neiges et en fermant le livre on a un peu envie de dire « tout ça pour ça ». Mais franchement, vu les 400 pages de folie qu’il y a eu juste avant, je m’en fous, ça reste une fin satisfaisante. Blonde saute de situation folle en situation folle, se créant des alliés dans les endroits les plus inattendus. Les rebondissements sont nombreux et on a l’impression de courir après Blonde pendant une grande partie du roman (complètement essoufflée pour ma part).

J’avoue avoir beaucoup apprécié le fait que le roman soit construit comme une correspondance avec Andersen. J’ai aimé retrouver ce côté historique et recherché que j’avais découvert dans le premier tome, mais aussi ce côté fantastique et original beaucoup plus approfondi. Dixen va plus loin et franchement, ça valait le coup.

Je n’ai pas envie de spoiler donc je m’arrête là. Pour ceux qui ont lu le premier, le deuxième tome vaut le détour ! Je ne suis pas déçue d’avoir décidé de continuer. Et pour ceux qui n’ont rien lu du tout, lisez donc les deux. C’est sympathique comme tout !

16/20

J’ai également lu un essai intitulé Petit éloge des séries télé, je lui dédierais un article pour lui tout seul !

Point BD.

# Les promeneurs sous la lune.

Conte urbain vantant l’amour, Les Promeneurs sous la Lune nous emmène dans l’épopée nocturne de Napoleon Cavallo qui découvre, non sans étonnement, qu’il est somnambule. Plusieurs nuits, dans un laps de temps assez rapproché, il se retrouve ainsi dans le lit de la douce Linh Yu. Cette dernière, quant à elle, n’attendait rien d’autre de la vie qu’on la laisse tranquille. Malheureusement pour elle, elle n’est pas au bout de ses surprises.

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Ça faisait un moment que j’attendais de pouvoir emprunter Les promeneurs sous la lune, après l’avoir découvert sur le blog de.. (quelqu’un ? ça fait tellement longtemps que je l’attends que je ne sais plus !)

J’ai été un peu déçue. Je pense que mes attentes devaient être trop grandes, je ne sais pas. J’ai trouvé l’histoire un peu bâclée. Ils auraient pu continuer sur plusieurs pages encore, ça n’aurait pas été de trop. J’ai l’impression que tout va très vite, comme en accéléré et qu’on a jamais vraiment de réponses.. Ça reste une joli histoire d’amour et les dessins sont absolument magnifiques. Mais pas de coup de coeur de mon côté !

14/20

# Sixteen Kennedy Express.

1968, États Unis, une petite ville « in the middle of nowhere » bordée par les champs de blé à perte de vue et seulement animée par le chantier de son Mall en construction…
Rob, 14 ans, a le bras dans le plâtre depuis un stupide accident, qui le prive du bénéfice des petits boulots d’été. Il s’ennuie ferme. Un évènement imprévu (le passage du train funéraire transportant la dépouille de Robert F. Kennedy – assassiné – à travers la moitié des États-Unis) va lui permettre de rencontrer une jeune fille nommée Sixteen qui aura16 ans à la fin de l’été, et qui : «j’te jure que dès que j’ai 16 ans je me casse de ce bled pourri… »
Rob va partager cet été avec elle, et en tomber fou amoureux. Du haut de ses 14 ans, Il n’y connaît rien aux filles… Aussi handicapé par ses sentiments que par son bras dans le plâtre…

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J’ai emprunté cette BD pour sa couverture (mais ça je pense que ça ne vous étonne plus). Gros coup de coeur pour la couverture. Et après.. J’ai moins accroché. Les dessins sont plaisants mais la palette de couleurs est trop réduite et au bout d’un moment tout se mélange, c’est confus, c’est monotone et c’est dommage. En ce qui concerne l’histoire, elle est intéressante, surtout sur la fin, lorsque Rob et Sixteen mènent l’enquête et font face aux dures réalités de la ségrégation et des inégalités raciales à la fin des années 60. Mais ce n’est pas non plus ce à quoi je m’attendais. On est loin du coup de coeur pour le contenu mais, globalement, ça reste une lecture agréable (mais sans plus).

13/20

# La page blanche.

Une jeune femme reprend ses esprits sur un banc sans se rappeler ni de son nom ni de ce qu’elle fait là. Menant l’enquête tant bien que mal, elle tente de recouvrer la mémoire et de retrouver son identité. Mais que va-t-elle découvrir ? Un passé romanesque fait de drames et de romances ou l’existence banale d’une femme ordinaire ? Et dans ce cas, saura-t-elle devenir quelqu’un après avoir été quelconque ?

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J’aime beaucoup les dessins de Pénélope Bagieu donc bon, sans surprise, j’ai adoré cette BD visuellement parlant. En ce qui concerne le contenu.. On partait de quelque chose de super intéressant, traité avec humour et détachement. Le développement suivait son cours, de façon toujours très intéressante. Les questions d’identité, de découverte de soi étaient traitées avec justesse. On sentait qu’on approchait du but eeeeeet.. J’ai pas compris. J’ai pas compris pourquoi cette fin. On ne sait même pas ce qu’il se passe dans son cerveau au final. Ou alors il y avait une métaphore que je n’ai pas su attraper au vol. Je suis dé-çue. Je ne voulais vraiment pas que ça finisse comme ça. Mais bon, je peux pas avoir tout ce que je veux dans la vie. C’est quand même une BD que je vous recommande chaudement, rien que pour tous les films que se fait la personnage principale avant de rentrer chez elle.  Elle aura eu le mérite de me faire rire. Et d’être très jolie.

15/20

# Porcelaine, tome 1 : Gamine.

Dans un monde presque identique au nôtre, comme un écho magique de la Terre, Gamine, une enfant au caractère bien trempé, n’accepte pas la violence de la rue à laquelle elle est confrontée. Décidée à fuir le froid de Snowy City, elle trouve refuge chez le porcelainier. Ce vieil homme bienveillant vit là, entouré de ses automates. Une seule condition à leur cohabitation : ne JAMAIS pénétrer dans son atelier…

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Cette BD est le premier tome d’une série qui débute tout juste et dont la suite n’a pas encore été publiée (mais ça ne saurait tarder). J’ai trouvé les dessins très beaux et l’histoire fascinante. On est plongés dans un univers assez sombre, plutôt glauque par moments, voire flippant ! Si la BD n’est pas sans rappeler le conte de Barbe Bleue, on est projetés dans une ambiance beaucoup plus fantastique et mystérieuse, peuplée d’automates qui cachent un lourd secret. On arrive difficilement à lâcher l’ouvrage dont on tourne fiévreusement les pages. C’est un excellent premier tome et j’ai très hâte de tenir la suite entre mes mains !

17/20

# Poulbots.

Au coeur de la butte Montmartre, nous suivons cinq enfants pauvres, petits poulbots qui vont avoir maille à partir avec un promoteur immobilier véreux bien décidé à les déloger de leur mare aux grenouilles.

Cette fable urbaine, chronique d’un lieu et d’une époque en pleine mutation, prend le contrepied du Montmartre présent dans l’imaginaire collectif. Nous y croisons Poulbot, Steinlen, Bruant, Dorgeles, … ces artistes devenus emblématiques de Montmarte, quartier mis à l’honneur dans le récit, mais celui-ci met avant tout l’accent sur ces indigents qui évoluent en marge de la bohême, et dont la principale préoccupation est de survivre. Des familles sont expropriées faute de pouvoir payer leur loyer, notamment celle de l’un des protagonistes, ce à quoi nos poulbots comptent remédier en kidnappant le fils du promoteur immobilier pour demander une rançon.

Le petit bourgeois va se retrouver immergé dans l’univers et le quotidien de ces miséreux. C’est un vrai choc culturel. Peu à peu, il va tisser des liens d’amitié avec eux. Jamais il n’aura été aussi heureux que parmi ces gamins. Cette histoire met en lumière la pauvreté qui régnait sur la butte à l’époque, mais de façon légère ; à travers les aventures de cinq enfants, que le dénuement a abîmé mais pas brisé. Frondeurs et gouailleurs, ils luttent pour préserver le peu qu’ils ont : leur terrain de jeu, leur coin de paradis. A la fin, la guerre fait irruption sur le devant de la scène. Petites histoires sur fond de grande Histoire. La bataille a fauché bien des vies, enfants du Maquis comme privilégiés, tous logés à la même enseigne. La guerre balaie les différences de classe.

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Poulbots nous plonge dans un Paris historique, un Paris d’avant-guerre, sur la butte Montmartre plus précisément, où un certain nombre de personnages évoluent dans la misère. La BD rend hommage à l’artiste Francisque Poulbot, dessinateur et illustrateur français décédé en 1946. Ce dernier représentait beaucoup les enfants de rue, les « titis parisiens ». Cette bande-dessinée représente donc ces titis dans leurs aventures, cherchant à protéger l’endroit où ils vivent et à se faire un peu d’argent pour sortir de la misère. Tout en restant bien entendu des enfants. J’ai trouvé l’histoire sympathique sans pour autant qualifier cette lecture de coup de coeur. J’ai adoré visiter le vieux Paris par le biais des dessins de Patrick Prugne, réalisés à l’aquarelle. Le rendu est magnifique. L’objet livre est très beau et complet, proposant notamment à la fin un carnet de croquis très agréable à feuilleter. Si vous avez l’occasion de croiser cette BD n’hésitez pas à la lire, ou du moins à la feuilleter pour voir toutes les jolies choses qu’elle renferme !

14/20

Films vus.

# Brooklyn.

Dans les années 50, attirée par la promesse d’un avenir meilleur, la jeune Eilis Lacey quitte son Irlande natale et sa famille pour tenter sa chance de l’autre côté de l’Atlantique. À New York, sa rencontre avec un jeune homme lui fait vite oublier le mal du pays… Mais lorsque son passé vient troubler son nouveau bonheur, Eilis se retrouve écartelée entre deux pays… et entre deux hommes.

Brooklyn est un joli film sur l’immigration. C’est le mot je pense, « joli ». C’est une jolie mise en scène, il y a quelques très belles images, quelques très belles scènes. Le film n’est pas très original, rien de folichon, mais j’ai quand même passé un bon moment. Les personnages sont tous attachants. Saoirse Ronan est très bonne dans le rôle d’Eilis. C’est une actrice que je ne connais que très peu, il faut que je découvre plus de films dans lesquels elle a joué. En tout cas elle m’a largement convaincue. Je la trouve douce, élégante (elle a des tenues trop belles !) et forte. Je ne vais pas m’étaler pendant 115 ans, le film est sympathique mais sans plus. Honnêtement, comme je l’ai dit plus haut, il n’y a rien d’original, rien de nouveau dans le traitement de l’immigration (alors que pourtant, ils auraient pu, il y a de la matière).. Le film est en soi assez prévisible. Mais c’était chouette quand même !

14/20

# Kung-Fu Panda 3.

Po avait toujours cru son père panda disparu, mais le voilà qui réapparait ! Enfin réunis, père et fils vont voyager jusqu’au paradis secret du peuple panda. Ils y feront la connaissance de certains de leurs semblables, tous plus déjantés les uns que les autres. Mais lorsque le maléfique Kaï décide de s’attaquer aux plus grands maîtres de kung-fu à travers toute la Chine, Po va devoir réussir l’impossible : transformer tout un village de pandas maladroits et rigolards en experts des arts martiaux, les redoutables Kung-Fu Pandas !

Mouais. Ça faisait un petit moment qu’on voulait voir Kung-Fu Panda 3 et on l’a enfin trouvé en bonne qualité. Donc on s’est lancé et on a été un peu déçus. Honnêtement je n’avais pas de très grandes attentes. On en est quand même au troisième film, et en général ces suites ne sont guère satisfaisantes (L’âge de glace et Shrek, par exemple, ont perdu beaucoup au fil des années je trouve). La franchise est synonyme d’argent plus que de chef d’oeuvre. Il y a quelques bonnes choses, tout n’est pas à jeter. Le rythme est bon, les personnages sont attachants (ravie d’avoir enfin rencontré les pandas), il y a quelques bonnes répliques. Mais finalement ce sont presque toujours les mêmes choses. Rien d’original, on réarrange juste quelques petits trucs, on change de méchant et hop hop hop, on a une suite. Dommage qu’ils ne se renouvellent pas plus que ça ! C’est un divertissement qui se laisse regarder mais que je ne verrais pas deux fois.

13/20

# Mon voisin Totoro.

Un professeur d’université, M. Kusakabe, et ses deux filles, Satsuki, onze ans, et Mei, quatre ans, s’installent dans leur nouvelle maison à la campagne. Celle-ci est proche de l’hôpital où leur mère est hospitalisée. Les deux enfants vont alors faire la rencontre des esprits de la forêt.

J’ai enfin regardé Mon voisin Totoro haha. Ça nous a pris comme ça, l’autre soir. J’ai agrandi un petit peu ma culture générale en regardant ce qui est apparemment un classique des studios Ghibli. Honnêtement je m’attendais à beaucoup plus. Le film est très court et à la fin, je n’ai pas pu m’empêcher de lâcher un « c’est tout ? ». C’est très simple, ça casse pas trois pattes à un canard comme on dit. Mais c’est chouette. J’ai aimé beaucoup de choses dans ce petit dessin animé qui met de bonne humeur. C’est ça en fait, le film respire la bonne humeur, la joie et l’innocence. On retrouve également toute la magie de l’univers de Miyazaki (petit clin d’oeil au chat-bus, je veux le même) et la musique est superbe. Donc, pour moi, c’est une bonne découverte mais ce n’est pas non plus hyper transcendant. Je m’attendais sincèrement à plus. Mais c’est un joli film, à regarder avec des petits je pense pour plus de magie.

15/20

# La Cinquième Vague.

Cassie Sullivan, adolescente de 16 ans, essaie de survivre dans un monde en proie à des invasions extraterrestres, appelés Les Autres, ayant déjà décimé la population et part à la recherche de son frère.

Je tiens à préciser que je n’ai pas lu le roman, donc je ne fais pas une critique de l’adaptation mais juste du film en soi. Je me jette dans le bain, je n’ai pas adoré. Beaucoup de petits détails m’ont gênée dans ce film plutôt prévisible (reste à voir la suite, peut-être que ça s’améliorera haha). Si les acteurs sont globalement bons (j’ai quand même vu Chloé Moretz dans de bien meilleurs rôles), je n’ai malheureusement absolument rien ressenti. Aucune émotion. C’est bête quand même quand tu regardes un film sur la fin de l’humanité.. Je pense qu’en fait le film n’est pas fini, ils n’ont pas cherché à aller plus loin que le public ciblé, c’est à dire les adolescents. On reste un peu sur notre faim du coup, attendant le « petit truc en plus » qui ne viendra finalement jamais. Après tout n’est pas mauvais. Il reste le côté « spectacle », les effets spéciaux sont plutôt pas mal. C’est déjà ça ! Mon avis est donc assez mitigé. S’il y a une suite je la regarderais par curiosité. Mais ça ne restera certainement pas gravé dans les annales. Rien d’original ici, vous pouvez passer votre chemin, ce ne sera pas un problème !

11/20

Séries débutées.

Je tiens bon les gars ! J’ai toujours pas commencé de nouvelles séries (trop de fierté) ! Par contre je suis ENFIN à jour dans :

  • Pretty Little Liars
  • Doctor Who
  • Teen Wolf
  • Once upon a time
  • Younger

Je vous fais plein de bisous les copains ! Mangez pas trop de chocolats ! Et peut-être à demain pour les trouvailles, si j’ai le temps pendant la nuit haha.

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A bientôt !

Top 10 des comédies romantiques que tu peux essayer de regarder avec ton copain. Ou pas.

Coucou les paupiettes !

Aujourd’hui, St Valentin oblige (trop pas), j’ai décidé de vous concocter un petit top 10 des comédies romantiques que vous pourriez regarder avec votre copain. Ou toute seule. Toute seule c’est bien aussi ! Mais qui a dit que les garçons (ou les hommes, pardon) n’aimaient pas les comédies romantiques ou les « films de filles » ? Ce n’est pas forcément leur genre de prédilection, mais je pense qu’ils savent apprécier ce type de film de temps en temps haha. Fun fact : c’est mon copain qui m’a montré Confessions d’une accro du shopping pour la première fois. J’avoue que vu ce qu’on regardait autrement, ça m’a surprise. Comme quoi !

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Bien que j’essaye de caser Love actually dans toutes mes sélections films (et là ça colle plutôt bien au thème), je ne le mettrais pas dans l’article (à part dans cet aparté, notez comment je suis pas subtiiiiile). Allez, petite sélection…

Cet article est entièrement approuvé par mon copain. (Si ça peut aider.)

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# I give it a year – Mariage à l’anglaise.

Vu au cinéma (il y a deux ans je crois), très drôle !

# What’s your number ? – (S)ex List.

Une comédie assez « classique » mais on passe plutôt un bon moment. 

# Crazy, stupid, love.

Une de mes comédies romantiques préférées 🙂

# About time – Il était temps.

Bill Nightyyyyyyyyyy !

# Silver Lining Playbook – Happiness Therapy.

Gros coup de coeur pour ce film au casting complètement fou !

# Hitch.

Pas ma comédie préférée mais on passe un bon moment !

# Eternal sunshine of the spotless mind.

Une des meilleures comédies romantiques de tous les temps !

# Man up.

Je vous en ai déjà parlé dans un point culture : ***.

# Cashback.

Désolée pour la qualité un peu pourrave de la bande-annonce, c’est vraiment un très très chouette film que je vous recommande fortement !

# Moonrise Kingdom.

Un des meilleurs Wes Anderson selon moi !

Voilà, j’espère que vous arriverez à trouver votre bonheur dans cette petite sélection !

Bonne St Valentin, que vous aimiez cette fête ou non. Profitez, comme tous les jours de l’année, de votre aimé(e) et faites quelque chose qui vous plait.

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A bientôt !

Des bisous.

30 Day Movie Challenge – Jour 20 Votre film romantique préféré.

Hello les filets mignons !

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Aujourd’hui on s’attaque au vingtième thème de la liste imposée pour le 30 Day Movie Challenge : le film romantique préféré ! Voici un rappel des vingt-neuf autres thèmes :

Jour 1 – Votre film préféré.
Jour 2 – Un film que vous détestez.
Jour 3 – Un film que vous regardez pour vous sentir bien.
Jour 4 – Un film que vous regardez pour vous sentir mal.
Jour 5 – Un film qui vous rappelle quelqu’un.
Jour 6 – Un film qui vous rappelle un endroit.
Jour 7 – Un film que vous trouvez sensuel.
Jour 8 – Un film que vous pouvez citer par coeur.
Jour 9 – Le film que vous aimez le moins de votre acteur préféré.
Jour 10 – Le film que vous aimez le moins de votre actrice préférée.
Jour 11 – Le film que vous aimez le moins de votre réalisateur préféré.
Jour 12 – Un film que vous aimez bien par un réalisateur que vous n’aimez pas habituellement.
Jour 13 – Un plaisir coupable.
Jour 14 – Un film que personne ne s’attendait à ce que vous l’aimiez.
Jour 15 – Un film que vous aimiez avant et que vous détestez à présent.
Jour 16 – Votre scène préférée.
Jour 17 – Votre film dramatique préféré.
Jour 18 – Votre comédie préférée.
Jour 19 – Votre film d’action préféré.
Jour 20 – Votre film romantique préféré.
Jour 21 – Votre film de science fiction / fantasy préféré.
Jour 22 – Votre film d’horreur préféré.
Jour 23 – Votre film de guerre préféré.
Jour 24 – Votre thriller préféré.
Jour 25 – Votre western préféré.
Jour 26 – Votre film français préféré.
Jour 27 – Votre film étranger (hors US) préféré.
Jour 28 – Votre film d’animation ou film pour enfant préféré.
Jour 29 – Le film le plus « obscur », le plus incompréhensible, que vous ayez vu.
Jour 30 – Votre film préféré lorsque vous étiez enfant.

Jour 20 – Votre film romantique préféré.

Love Actually, bien évidemment. Mais comme je l’ai déjà cité pour le huitième thème du challenge, il va falloir en citer un autre. Il me semble que je vous avais déjà parlé de ma préférence pour les comédies romantiques un peu plus « anciennes », que je trouve plus originales dans le sens où elles sont à l’origine de tous les concepts exploités dans les comédies actuelles. Bref. J’aurais pu vous parler de The Holiday, Ce que pensent les hommes, Notting Hill, Orgueil et Préjugés ou même 27 robes. Mais j’ai choisi Vous avez un message. Le film date de 1998, ça commence à dater.

Résumé : Tous les deux sont libraires. Kathleen tient une échoppe au charme suranne, The Shop Around the Corner, et a initié aux joies de la lecture des ribambelles d’enfants tandis que Joe possède une chaîne de librairies de grande surface, Fox Books, qui a rapidement éliminé ses concurrentes. Kathleen hait plus que tout au monde Fox Books tandis que Joe attend nonchalamment de rayer des librairies celle de Kathleen. Ils ne se connaissent pas mais se croisent tous les jours et surtout comme dans le film de Lubitsch échangent une correspondance follement amoureuse par le biais d’Internet.

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En soi c’est une comédie romantique sans prétention. Mais j’aime beaucoup l’ambiance, les personnages (attachants) et leur histoire toute mignonne. Rien à redire au niveau du casting. On passe un très joli moment devant ce film, que j’apprécie regarder de temps en temps.

Et vous, quelle est votre film romantique préféré ?

A demain !

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Des bisous. 

30 Day Movie Challenge – Jour 5 Un film qui vous rappelle quelqu’un.

Hello les filets mignons !

Vous tenez le coup ? Vous pensez encore revenir demain ? J’espère parce que moi je suis motivééééééée. Je galère. Mais je suis motivéééééée.

On est au cinquième jour du 30 Day Movie Challenge et je vous parle aujourd’hui d’un film qui me rappelle quelqu’un. Petit rappel des quatre thématiques déjà abordées et de celles qui vont suivre :

Jour 1 – Votre film préféré.
Jour 2 – Un film que vous détestez.
Jour 3 – Un film que vous regardez pour vous sentir bien.
Jour 4 – Un film que vous regardez pour vous sentir mal.
Jour 5 – Un film qui vous rappelle quelqu’un.
Jour 6 – Un film qui vous rappelle un endroit.
Jour 7 – Un film que vous trouvez sensuel.
Jour 8 – Un film que vous pouvez citer par coeur.
Jour 9 – Le film que vous aimez le moins de votre acteur préféré.
Jour 10 – Le film que vous aimez le moins de votre actrice préférée.
Jour 11 – Le film que vous aimez le moins de votre réalisateur préféré.
Jour 12 – Un film que vous aimez bien par un réalisateur que vous n’aimez pas habituellement.
Jour 13 – Un plaisir coupable.
Jour 14 – Un film que personne ne s’attendait à ce que vous l’aimiez.
Jour 15 – Un film que vous aimiez avant et que vous détestez à présent.
Jour 16 – Votre scène préférée.
Jour 17 – Votre film dramatique préféré.
Jour 18 – Votre comédie préférée.
Jour 19 – Votre film d’action préféré.
Jour 20 – Votre film romantique préféré.
Jour 21 – Votre film de science fiction / fantasy préféré.
Jour 22 – Votre film d’horreur préféré.
Jour 23 – Votre film de guerre préféré.
Jour 24 – Votre thriller préféré.
Jour 25 – Votre western préféré.
Jour 26 – Votre film français préféré.
Jour 27 – Votre film étranger (hors US) préféré.
Jour 28 – Votre film d’animation ou film pour enfant préféré.
Jour 29 – Le film le plus « obscur », le plus incompréhensible, que vous ayez vu.
Jour 30 – Votre film préféré lorsque vous étiez enfant.

Jour 5 – Un film qui vous rappelle quelqu’un. 

En lisant le thème, deux films me sont venus à l’esprit : une comédie et une comédie romantique. Le premier est The Big Year, de David Frankel. Il s’agit d’une comédie gentillette sur un défi ornithologique. En gros, les participants ont 365 jours pour observer le plus d’espèces d’oiseaux différentes sur le territoire américain. Le contexte du film en soi est assez original mais on retrouve les codes classiques de la comédie et il ne se passe donc rien de transcendant. J’ai néanmoins beaucoup apprécié ce film, que j’ai trouvé très sympathique. J’ai passé un bon moment, j’ai bien rigolé. Le casting est au rendez-vous. Voilà. Je vous le conseille pour un dimanche après-midi, sous un plaid avec du pop-corn. Ce film m’a beaucoup fait penser à ma maman, passionnée d’ornithologie, qui aurait probablement adoré réaliser ce genre de défi sur une année vu le nombre de fois où elle a interrompu une conversation pour aller choper ses jumelles et observer une pauvre mésange dans le jardin.. Donc voilà, petite dédicace à ma mère !

Le deuxième qui m’est venu à l’esprit est Tout pour lui plaire, une comédie romantique réalisée par Kat Coiro. On y suit un jeune homme qui, suite à un coup de foudre, décide de faire ses petites recherches sur la demoiselle et de devenir en quelque sorte son « homme idéal », jusqu’à se retrouver prisonnier d’une personnalité qui n’est pas la sienne. Il s’agit d’une comédie romantique pas super originale (comme beaucoup de comédies romantiques donc, mais ça ne m’empêche pas de les regarder et de les apprécier pour la plupart haha). J’ai encore une fois passé un relativement bon moment devant ce film qui se laisse regarder, même si je ne pense pas le regarder de nouveau. Et donc ce film m’a rappelé mes années lycée, les débuts de Facebook et une bonne amie à moi qui, à l’époque, avait fait à peu près la même chose pour attirer l’attention d’un damoiseau. Ça avait d’ailleurs été un bel échec haha (je suis mauvaise mais bon, faut être honnête, ça fait vraiment psychopathe quoi). En tout cas les ressemblances entre le personnage joué par Justin Long et ladite amie m’ont bien fait marrer. Plus que le film en lui-même d’ailleurs.

Et vous ? Il y a un film en particulier qui vous rappelle quelqu’un ? Dites moi tout, je veux TOUT savoir ! 

On se retrouve demain pour un film qui me rappelle un endroit (je sens encore la galère pointer le bout de son nez), j’espère que vous serez là. N’hésitez pas à vous joindre à nous si le challenge vous tente ! A demain 🙂

Des bisous !

Point culture – Livres, films, séries #2

Coucou mes petites cacahouètes !

Je reviens en ce dimanche, comme prévu, avec un nouveau point culture sur ce que j’ai lu et vu cette dernière semaine.

Avec mes inscriptions en Master 2, mes vaines recherches pour trouver un sujet et la visite de plusieurs amis, je n’ai pas pu voir tout ce que je voulais (ni faire un point culture dimanche dernier d’ailleurs), mais j’ai quand même quelques petites choses à vous présenter !

Livres lus. 

# Beignets de tomates vertes.

Je suis en train de vous préparer une toute nouvelle catégorie qui s’intitulera « Du livre au film » (vous l’aurez compris, on parlera adaptations) et je compte parler de ce roman dans une des premières éditions (qui ne saurait tarder d’ailleurs). 

Je vous mets quand même le résumé :

« Un sacrée numéro, Idgie ! La première fois qu’elle a vu Ruth, elle a piqué un fard et elle a filé à l’étage pour se laver et se mettre de la gomina. Par la suite, elles ont ouvert le café et ne se sont plus jamais quittées. Ah ! Les beignets de tomates vertes du Whistle Stop Café … J’en salive encore ! »
Un demi-siècle plus tard, Ninny, quatre-vingt-six ans, raconte à son amie Evelyn l’histoire du Whistle Stop, en Alabama. Il s’en ai passé des choses, dans cette petite bourgade plantée au nord de la voie ferrée ! Et Evelyn, quarante-huit ans, mari indifférent, vie sans relief, écoute, fascinée. Découvre un autre monde. Apprend à s’affirmer, grâce à Ninny, l’adorable vieille dame.
Chronique du Sud profond de 1929 à 1988, ce roman tendre et généreux vous fera rire aux éclats et, au détour d’une page, essuyer une larme. Humour et nostalgie : une recette au parfum subtil…

Tout ce que je peux vous dire pour l’instant, c’est que j’ai beaucoup apprécié la lecture de ce roman aux personnages très attachants. On ne se lasse pas de lire les aventures de ce petit village de Whistle Stop, l’histoire de cette grande famille dans les années 30 et leurs impacts sur la vie d’une femme d’une cinquantaine d’années dans les années 80. Je vous en dirai plus avec ma critique du film, il faudra patienter !

15/20

# Nymphéas Noirs. 

Tout n’est qu’illusion, surtout quand un jeu de miroirs multiplie les indices et brouille les pistes. Pourtant les meurtres qui troublent la quiétude de Giverny, le village cher à Claude Monet, sont bien réels. Au coeur de l’intrigue, trois femmes : une fillette de onze ans douée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante et une vieille femme aux yeux de hibou qui voit tout et sait tout. Et puis, bien sûr, une passion dévastatrice. Le tout sur fond de rumeur de toiles perdues ou volées, dont les fameux Nymphéas noirs. Perdues ou volées, telles les illusions quand passé et présent se confondent et que jeunesse et mort défient le temps.

C’était ma première lecture de Bussi, je ne savais pas trop à quoi m’attendre après en avoir lu des critiques plus ou moins bonnes par ci par là.

Pour commencer, j’aime beaucoup la façon d’écrire de Bussi, c’est très fluide, l’histoire s’articule logiquement. On est en quelque sorte pendus à la plume de l’écrivain (super poétique).

En ce qui concerne l’histoire, j’ai beaucoup apprécié le cadre dans lequel se déroule l’intrigue. Giverny, la description des paysages, la peinture impressionniste, Monet, tout cela est très plaisant.. MAIS il faut bien garder à l’esprit que je suis historienne de l’art, et que tout ça c’est mon dada. Ce n’est pas le cas de tout le monde, et je peux comprendre que ça en énerve certains d’avoir dix pages consacrées aux Nymphéas et pas à l’histoire en tant que telle (même si en soi ça a un lien, Bussi en a peut-être un peu trop fait sur Monet, sur le cadre). Même dans sa description de la mort je l’ai trouvé parfois très poétique. Enfin bref.

Il s’agit d’un roman policier, on a affaire à un meurtre et on suit plus particulièrement trois femmes d’âges complètement différents, trois générations différentes. On suit également un inspecteur et son adjoint. Je ne me suis pas particulièrement attachée aux personnages. Non pas qu’ils soient creux, énervants ou quoi que ce soit, c’est juste que je ne m’y suis pas attachée plus que ça, ce sont des choses qui arrivent. Pourtant, une fois la moitié du livre dépassée, je n’ai pas pu m’arrêter, j’étais complètement absorbée. Là où dans certains romans policiers on devine la fin assez rapidement, ici je ne me suis doutée à aucun moment de ce qui allait se passer. Cette fin, mes amis, est hallucinante (de mon point de vue). J’ai été tellement abasourdie que j’ai dû poser le livre et aller réfléchir dans ma cuisine pendant une dizaine de minutes. Honnêtement, je pense qu’ils pourraient en faire un film.

Si vous êtes des adeptes de romans policiers, je ne peux que vous conseiller de lire ce livre original ! Vous m’en direz des nouvelles. Ou si vous l’avez déjà lu, je veux bien que vous me donniez votre avis maintenant !

17/20

D’un point de vue littéraire, c’était une bonne semaine !

Films vus. 

# Sils Maria.

À dix-huit ans, Maria Enders a connu le succès au théâtre en incarnant Sigrid, jeune fille ambitieuse et au charme trouble qui conduit au suicide une femme plus mûre, Helena. Vingt ans plus tard on lui propose de reprendre cette pièce, mais cette fois de l’autre côté du miroir, dans le rôle d’Helena…

J’ai trouvé ce film très.. troublant. Je pense que troublant est le mot. Je n’ai pas tout compris, il faudrait probablement que je le regarde à nouveau pour en saisir toutes les subtilités. On a un peu l’impression d’avoir été abandonnés au milieu. Il y a beaucoup de passages très émouvants, mais aussi, parfois, des passages ennuyants. Globalement, à la fin, je ne sais pas si j’ai aimé le film ou pas, et c’est très énervant.

Il s’agit néanmoins d’un film très intense, où on se promène au milieu de non-dits, de silences inconfortables, dans le quotidien d’une actrice qui refuse de vieillir, qui refuse d’abandonner ses certitudes. Le jeu qui s’installe entre l’actrice et son assistante se rapproche peu à peu de la relation qu’entretiennent Helena et Sigrid dans la pièce de théâtre, intime et toxique, dérangeante. L’histoire évolue dans des paysages magnifiques, mais qui contribuent selon moi à rendre le film lourd et pesant.

En ce qui concerne le jeu des acteurs, Kristen Stewart est excellente, j’ai complètement abandonné l’image flanflan que j’avais d’elle depuis Twilight. Juliette Binoche est troublante, mais je pense qu’elle a su faire ses preuves depuis le temps. Et Chloé Grace Moretz ne cesse de m’étonner, elle a vraiment quelque chose. Chaque nouveau rôle me fait découvrir une autre facette du talent de l’actrice.

En bref, c’est un film que je ne conseillerai pas au grand public car il est très particulier et difficile à appréhender. L’avez-vous vu ? Qu’en avez-vous pensé ?

13/20

# Mortdecai.

Beaucoup de monde est à la poursuite de Charlie Mortdecai : des Russes fous furieux, les services secrets britanniques très remontés, un terroriste international et même sa somptueuse épouse… Pour se tirer des situations impossibles qui le guettent, l’élégant marchand d’art et escroc occasionnel n’a que son charme. Il va lui en falloir beaucoup s’il veut s’en sortir vivant et être le premier à retrouver le tableau volé qui conduit au trésor caché des nazis…

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Bof bof bof. Ce film ne restera pas dans les annales. Il y a quelques bons passages, mais tout est too much. Surfait, surjoué, beaucoup de clichés.. C’est dommage vu le casting ! Johnny Depp m’a saoulé en fait haha. L’histoire est beaucoup trop tournée vers les excentricités de son personnage, passablement ridicule, alors que j’aurais aimé qu’on s’intéresse plus à l’autre aspect du film : le tableau, les trafics d’art nazis. Je m’attendais vraiment à une enquête plus intéressante que ça. Ou à un film plus drôle.

On peut donc s’en passer, si vous voyez ce que je veux dire.

10/20

# Song of the Sea.

Ben et Saoirse vivent avec leur père tout en haut d’un phare sur une petite île. Pour les protéger des dangers de la mer, leur grand-mère les emmène vivre à la ville. Ben découvre alors que sa petite soeur est une selkie, une fée de la mer dont le chant peut délivrer les êtres magiques du sort que leur a jeté la Sorcière aux hiboux. Au cours d’un fantastique voyage, Ben et Saoirse vont devoir affronter peurs et dangers, et combattre la sorcière pour aider les êtres magiques à retrouver leur pouvoir.

Magnifique, poétique, émouvant, drôle, humain, triste. Je crois que tous les adjectifs fonctionnent pour cet animé qui m’a tout bonnement coupé le souffle. Inspiré d’une légende irlandaise, l’histoire évolue autour de Ben et de sa petite soeur, une selkie (elle peut, en gros, se transformer en petit phoque tout mignon qui chante). On suit leur périple sur terre (et sur mer) et leurs rencontres avec des créatures fantastiques légendaires sur fond de musique irlandaise. Les dessins sont magnifiques, vraiment. Ils sont d’une qualité, d’une sensibilité que l’on trouve rarement aujourd’hui. C’est beau, c’est beau, c’est beau. Vous devez TOUS le voir. C’est un ordre.

19/20

# The D Train.

Le directeur du comité des anciens d’un lycée voyage jusqu’à Los Angeles pour retrouver le garçon le plus populaire de sa classe de terminale et le convaincre de venir à la réunion prévue.

J’ai vu des choses. Des choses horribles que je n’arrive plus à retirer de ma mémoire. Et ça se résume à deux secondes de ce film. Un truc que ne pensais JAMAIS voir de ma vie. Voilà, vous verrez par vous même. Tu sais pas si tu dois hurler, rire, pleurer, c’est dérangeant maiiiis en même temps c’est trop drôle. Et trop glauque. Mais ce sont deux secondes de film, c’est tout.

Pour le reste, on retrouve un Jack Black un peu pathétique (c’est le rôle qui veut ça, pas lui) et ça change ! Le film est assez particulier, pas forcément très original. Il y a quelques bons passages mais rien de transcendant. Je ne le conseille pas spécialement. Sauf si vous voulez ces deux secondes de malade (vraiment, je vous assure). On s’y attend pas du tout.

13/20

# This is where I leave you.

À la mort de leur père, quatre enfants, blessés et malmenés par la vie, reviennent dans la maison où ils ont passé leur enfance. Ils se retrouvent donc contraints de cohabiter sous le même toit pendant une semaine, en compagnie de leur mère indiscrète et de leurs conjoints, ex-conjoints et anciens amoureux transis… En affrontant leur passé et en tentant de recoller les morceaux, ces êtres qui s’aiment et se connaissent mieux que personne parviendront peu à peu à renouer des liens, souvent passionnels, et toujours affectueux. Au milieu du chaos, des rires partagés, des peines de cœur et des deuxièmes chances, ils nous embarquent, comme seules les familles savent le faire, dans un périple émotionnel mouvementé qui nous renvoie au meilleur de nous-mêmes.

J’ai beaucoup aimé ce film, profondément humain, où on nous dévoile les forces et les faiblesses d’une famille attachante, avec ses moments drôles comme ses moments tristes, ses moments de honte, ses questionnements.

Le casting est parfait. J’adore Tina Fey, qu’importe le rôle, j’ai toujours eu un faible pour Bateman, même s’il ne se renouvelle pas beaucoup dans ses rôles. Et Jane Fonda, on ne la présente plus (je vous conseille vivement de la regarder dans Grace and Frankie, un petit bijou de série produit par Netflix).

Rien d’inoubliable, mais ce film restera quand même un bon moment, un film qui change un peu de toutes ces comédies américaines similaires qu’on nous balance à l’année. Je vous le conseille vraiment, un film comme ça, ça fait du bien à tout le monde.

15/20

# Pitch Perfect 2. 

Cela fait trois ans que les Bellas se sont imposées comme le premier groupe exclusivement féminin à remporter un titre national grâce à leurs voix, leur style et leur attitude reconnaissables entre toutes. Mais lorsqu’elles se retrouvent radiées suite à un scandale qui risque de compromettre leur dernière année à Barden, nos trois championnes à l’esprit combatif estiment que, cette fois, elles ont perdu la partie. Alors qu’il ne leur reste qu’une occasion de reconquérir leur titre, les Bellas doivent se battre pour avoir le droit de concourir au championnat du monde de chant a capella de Copenhague. Entre la pression de la compétition musicale et la peur de rater leur année de Terminale, les Bellas devront se serrer les coudes pour retrouver leur voix et remporter le championnat…

J’avais a-do-ré le premier. Je les regardé un nombre incalculable de fois, j’ai forcé plein de gens à le regarder, c’est probablement un de mes « feel-good movies » préférés. Vous vous doutez donc bien que quand j’ai su qu’il y allait avoir un deuxième opus, j’étais enchantée (je sautais au plafond). J’avais donc des attentes. De grooooooosses attentes. Et j’ai été déçue. Terriblement déçue.

Fat Amy est toujours Fat Amy, là n’est pas le problème. Mais le film m’a semblé.. moins travaillé. Le casting était incomplet. Tout était globalement un peu moins drôle et un peu surfait par rapport au premier. Et c’est bien dommage. Cela dit, il faut bien se mettre en tête que ça faisait des mois que je me montais un truc dans ma tête. Donc mon avis est pas forcément super concluant/objectif.

D’un point de vue musical, le résultat est là. En beaucoup plus spectaculaire, la mise en scène est impressionnante. Quelques bons guests aussi haha (pas de spoil).

En bref : c’est drôle, de bonnes chansons, du spectaculaire à la pelle MAIS un poil décevant par rapport au premier. A voir tout de même ! Et mes attentes seront revues encore à la baisse pour le troisième opus (oui il y en aura un troisième).

14/20

# Love, Rosie. 

Rosie et Alex, deux meilleurs amis, se retrouvent séparés de plusieurs milliers de kilomètres quand la famille d’Alex est contrainte de déménager aux Etats-Unis.

Ce film indépendant a été la petite surprise de la semaine. Je le pensais totalement prévisible et en fait pas du tout. J’ai été très surprise du tournant inattendu qu’a pris le film, et ce jusqu’au dénouement. Les acteurs sont sympathiques. Rien de fou non plus.

J’ai passé un bon moment, c’est une comédie romantique qui sort (un peu) de l’ordinaire ! Par contre c’est clairement un film de nana. Pas sûre que votre copain kiffe sa soirée si vous lui imposez ça…

14/20

Point séries.

# Mistresses.

Les amours d’un groupe d’amies d’une trentaine d’années, qui se sont connues à l’université mais dont les vies ont pris peu à peu des chemins différents. Impliquées dans des histoires complexes, parfois secrètes et souvent scandaleuses, elles bravent les tempêtes ensemble…

C’est tout à fait le genre de séries que j’essaye d’éviter parce que je sais pertinemment que je n’arrive pas à en décrocher. Tu te fais aspirer, happer. La preuve : j’en suis déjà presque à la fin de la saison 2, complètement absorbée par la vie plus ou moins merdique de ces quatre femmes. Enfin je dis ça, mais j’ai un petit peu laissé tomber ces derniers jours. On va dire que c’est une série « facile », pas trop prise de tête (pour nous, parce que eux à l’écran ils sont déchaînés). C’est globalement assez superficiel et prévisible, mais que voulez vous ? Ce genre de séries des fois, ça fait pas de mal.

13/20

# Mr Robinson.

Un musicien talentueux mais torturé doit se faire à sa nouvelle vie de professeur de musique dans une école primaire, entre ses collègues pas toujours bien intentionnés et les tentations que représentent les mamans célibataires…

La première saison a débuté cet été, constituée de six petits épisodes de 20 minutes, et elle est déjà terminée. Le scénario est très simple, chaque épisode a sa dose d’humour. Le potentiel des acteurs n’est probablement pas complètement exploité mais la série n’en reste pas moins sympathique. Bien que terriblement courte. Difficile de juger sur six épisodes, sachant que normalement il y a au moins 10/12 par saison (et dans le cas de figure le plus fréquent, une vingtaine). Pourquoi pas, pour passer le temps ! Pas de prise de tête au rendez-vous.

14/20

Sinon j’ai terminé : Teen Wolf (Saison 5A, suite prévue pour janvier 2016 – Cliffhanger de malade, merci), Melissa and Joey (Saison 4, annulée).

Et j’ai repris : Switched at birth (Saison 4B), Young and Hungry (Saison 2B).

A la semaine prochaine !

Et vous, votre point culture ?

Petite leçon d’histoire : Reign, le coup de gueule.

J’ai toujours été très attirée par les séries et films historiques. Un jour, ces adaptations causeront ma perte. Aujourd’hui j’ai décidé de vous parler de la série Reign, dont la saison 2 est actuellement en cours et qui a été renouvelée pour une saison 3, et de la mettre en parallèle avec la réalité historique, loin d’être aussi ennuyante qu’on pourrait le croire.

Attention, cet article contient des spoilers (beaucoup, mais aussi la réalité des faits). Continuer la lecture de Petite leçon d’histoire : Reign, le coup de gueule.