On se retrouve aujourd’hui pour un petit Tag, ça faisait longtemps. J’ai été nominée par ma très chère Lily Lit et je dois maintenant répondre à quelques questions sur les séries. Merci Lily pour cette invitation haha, je ne crois pas que tu t’es rendue compte de la difficulté de la tâche quand on est un sérivore vorace et qu’on regarde 36.000 séries différentes. Mais merci. Je vais donc tenter de répondre à ces douze questions et je nommerai ensuite quelques copains qui aiment les séries pour qu’ils y répondent aussi héhéhé.
1. Ta série favorite de tous les temps.
Allez, ça commence déjà. Impossible de choisir une seule série. Je ne pense pas avoir UNE série favorite mais un ensemble de séries adorées/vénérées. Celles qui me viennent à l’esprit là, maintenant, tout de suite : The IT Crowd, Parks and Recreation, Sherlock, Doctor Who, Community, Kaamelott, Mom..
En ce dimanche, je vous propose un nouveau Tag puisque j’ai été nominée en début de semaine par Tequi. Je suis joie puisque c’est un Tag vraiment sympa, qu’elle a concocté elle-même et qui m’inspire beaucoup beaucoup ! Allez, sans plus attendre, on attaque !
# Meilleur pilot vu récemment.
Et bien moi aussi, sans hésitation : This is us. Franchement, c’est LA série qui m’a le plus emballé en cette rentrée ! Ça paye pas de mine comme ça, mais les personnages sont terriblement attachants et je trouve l’ensemble très prometteur.
On se retrouve déjà pour le deuxième TFSA, où nous allons parler de ces personnages de séries qui nous ont quitté trop tôt. C’est un thème assez difficile, surtout quand on regarde Game of Thrones haha, mais j’ai quand même réussi à vous en sélectionner quelques uns. Cet article est censé être un 2.0, la première sélection ayant eu lieu quand je ne participais pas encore au rendez-vous. Il est donc fort possible que dans ma lancée j’en liste une dizaine 🙂
Petit rappel, ce rendez-vous a été mis en place par Tequi. Le système est simple, toutes les semaines nous parlerons de certaines séries que l’on regarde, selon un thème prédéfini. C’est ouvert à tout le monde, donc n’hésitez pas à vous joindre à nous !
Après avoir appris l’annulation de Devious Maids, qui était plus ou moins devenu mon feuilleton de l’été favori, je me suis plongée dans mes « archives » BetaSeries pour me morfondre au milieu de toutes ces séries qui ont été annulées trop tôt. J’en ai sélectionné une petite poignée juste pour vous, peut-être pourrons-nous nous morfondre ensemble…
# About a boy.
Will Freeman mène une parfaite vie de célibataire sans emploi. C’était sans compter sur Fiona, sa nouvelle voisine, qui emménage accompagnée de son fils de onze ans : Marcus. Si dans un premier temps, la relation de Will et Marcus est conflictuelle, l’adulte découvre que sa côte auprès des femmes remonte inexorablement lorsqu’il est accompagné du jeune garçon. Will propose alors un marché à Marcus : laisser ce dernier s’inviter chez lui quand il en a envie, et en échange, il devra accepter de se faire passer pour son fils…
J’avais quelques doutes au début lorsque j’ai appris qu’ils allaient adapter en série TV le film dramatique du même nom (avec Mister Hugh Grant), sorti au début des années 2000. Le fait qu’ils choisissent d’en faire une sitcom m’avait laissé un peu sceptique. Je lui ai quand même laissé sa chance et j’avoue m’être très vite attachée aux différents personnages. Ils avaient tous un petit quelque chose, la relation entre Will et Marcus s’est vite révélée aussi touchante que dans le film (bien que plus drôle). Forcément, pour le côté sitcom, ils ont fait de Marcus et sa mère (Minnie Driver) des personnages encore plus « paumés », hors du temps.. Bizarres. Je ne saurais pas comment les qualifier ! Mais ça n’avait rien de gênant et le résultat était plutôt plaisant. Ils avaient réussi à en faire des personnages rigolos et non des caricatures. C’est une série que je retrouvais avec plaisir chaque semaine et dont j’ai appris l’annulation avec regrets. D’ailleurs, tous les épisodes de la saison 2 n’ont pas été diffusés, mais ils ont été partagés sur internet quelques mois après. C’est déjà ça, ça n’arrive pas souvent.. Même si, forcément, il n’y avait pas de véritable fin et que la saison 3 aurait pu être vraiment sympa.
Que deviennent les acteurs ?
David Walton : il a récemment eu un rôle dans le film Bad Moms, que je n’ai pas encore vu mais ça ne saurait tarder. Il a fait également quelques apparitions dans la dernière saison de New Girl mais il n’a pas de rôle principal actuellement, nulle part (apparemment le gentilhomme serait quelque peu maudit).
Minnie Driver : elle est l’un des personnages principaux de l’une des séries de la rentrée proposée par ABC : Speechless, série qui figure par ailleurs dans la liste des pilotes que je dois attaquer cette saison ! Je vous en reparlerai donc prochainement.
C’est reparti pour un nouveau point culture, j’espère que vous êtes chauds patate !
Livres lus.
# La couleur du lait.
En cette année 1831, Mary, une fille de 15 ans entame le tragique récit de sa courte existence : un père brutal, une mère insensible et sévère, en bref, une vie de misère dans la campagne anglaise du Dorset. Simple et franche, lucide et impitoyable, elle raconte comment, un été, sa vie a basculé lorsqu’on l’a envoyée travailler chez le pasteur Graham, afin de servir et tenir compagnie à son épouse, femme fragile et pleine de douceur. Elle apprend avec elle la bienveillance, et découvre avec le pasteur les richesses de la lecture et de l’écriture.. mais aussi l’obéissance, l’avilissement et l’humiliation. Finalement, l’apprentissage prodigué ne lui servira qu’à écrire noir sur blanc sa fatale destinée. Et son implacable confession.
Ce livre inaugure le tout nouveau Club de lecture du Pingouin Vert, que je suis très contente d’avoir rejoint (si vous voulez vous joindre à nous, il y a un groupe Facebook !). Sans le club de lecture je n’aurais probablement jamais emprunté ce livre. Déjà parce que la couverture ne m’inspire absolument rien. Et en général je lis le résumé d’un livre quand j’aime sa couverture (oui, je sais, je passe à côté de beaucoup de choses. Mais grâce à vos chroniques je rattrape quand même tout ça). Bref, le choix du groupe s’est porté sur ce livre, et j’avoue que je le résumé était intrigant.
Il s’agit d’un petit livre, il se lit très vite. Personnellement, je n’ai pas réussi à le lire en une fois, j’ai dû faire une pause. Pourquoi, me demandez-vous ? Et bien à cause de l’écriture de l’auteur. C’est franchement pénible, il n’y a aucune majuscule, très peu de ponctuation, pas de syntaxe.. Je me suis perdue assez facilement au niveau des dialogues. On ne sait pas quand ils se mettent à parler, quand ils s’arrêtent.. Parfois on ne sait même pas vraiment qui parle ! Mais je me suis accrochée vu que les avis des autres lecteurs étaient très positifs. Et je pense que c’était voulu par l’auteur, pour faire comme si c’était vraiment le personnage principal qui écrivait son histoire.
J’ai bien fait puisque j’ai plutôt bien aimé ce petit roman. J’ai trouvé l’histoire intéressante, décrivant le quotidien d’une famille pauvre au XIXème siècle, où l’exploitation des enfants est la seule façon de s’en sortir finalement. Certains éléments du roman étaient très prévisibles, mais je ne m’attendais quand même pas à une telle fin ! Son histoire est touchante, bouleversante. Il y a quelques passages difficiles qui m’ont quelque peu révoltée mais ce sont ces moments qui donnent toute son intensité au récit de Mary. J’ai trouvé son personnage attachant. C’est une jeune fille encore très innocente, qui ne connait pas grand chose de la vie à part la ferme et qui a soif de liberté. J’ai apprécié les liens qu’elle avait avec son grand-père et ceux qu’elle a tissé avec la femme du pasteur. Mis à part l’écriture difficile, j’ai trouvé le texte plutôt bien « construit ». Il n’y avait pas de longueurs et j’ai trouvé que tout était traité avec justesse. Je n’aurais rien rajouté au récit si on me l’avait demandé (à part la ponctuation haha). Il y a également un autre petit bémol, probablement lié à la ponctuation. On a parfois l’impression que le récit est un peu « fade », on ne ressent pas vraiment les émotions.. C’est un petit peu dommage.
Ce livre n’est pas un coup de cœur mais c’était quand même une chouette découverte que je vous recommande. C’est un roman poignant !
14,5/20
# Le livre de Perle.
Tombé dans notre monde une nuit d’orage, un homme emprunte le nom de Joshua Perle et commence une vie d’exilé. Cette nouvelle vie fugitive, déchirée par un chagrin d’amour, est aussi une quête mystérieuse. Au fil du siècle, Perle rassemble un trésor pour défaire le sort qui l’a conduit loin de chez lui. Mais ceux qui l’ont banni et le traquent le laisseront-ils trouver le chemin du retour? Perle a-t-il raison de penser que la fille qu’il aime l’attend toujours là-bas?
J’avais entendu tellement de bonnes choses sur Le Livre de Perle que quand il est enfin apparu dans les rayonnages de la médiathèque, je me suis jetée dessus. Et je l’ai lu dans la foulée alors que j’avais un autre livre à lire en priorité. Bref. J’aurais pas dû haha ! J’avais adoré Tobie Lolness, que j’avais lu quand j’étais ado. Mais là je n’ai pas du tout accroché à l’univers d’Ilian. J’ai essayé pourtant ! Il n’y a juste pas eu le déclic. Enfin, techniquement si, mais dans les vingt dernières pages. J’ai bien aimé les vingt dernières pages x)
Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas accroché. Peut-être parce que ce n’était pas assez structuré ? On passe du présent au passé puis au futur, d’un royaume à un autre.. C’est trop décousu. Il faut s’accrocher pour réussir à suivre. Je ne me suis pas du tout attachée au personnage. Je l’ai trouvé antipathique et fadasse. Son histoire est plutôt intéressante mais il ne m’a pas donné envie de la découvrir. Je ne sais pas si c’est très clair ce que je raconte. L’ensemble reste quand même plutôt poétique, mais je m’attendais vraiment à une sorte de conte de fées, pas du tout à ça. Et puis, dans le fond, l’histoire n’a pas vraiment de sens. On nous balance des petits éléments par ci par là mais tout reste très flou jusqu’à la fin. J’aurais aimé que les vingt dernières pages apparaissent plus tôt dans l’histoire afin de débloquer le tout. Pendant les 3/4 du bouquin je faisais des aller-retours entre les chapitres pour essayer de comprendre où ils allaient avec ça. Ce n’est vraiment pas une lecture qui restera gravée dans ma mémoire.
12/20
# Audrey retrouvée.
Audrey a 14 ans. Elle souffre de troubles anxieux. Elle vit cachée derrière ses lunettes noires, recluse dans la maison de ses parents à Londres.
Ça, c’était avant.
Avant que Dr Sarah, son psychiatre, lui demande de tourner un film sur sa famille, pour voir la vie
d’un oeil nouveau : celui de la caméra.
Avant que Linus, un copain de son frère, débarque. Avec son grand sourire et ses drôles de petits mots griffonnés sur le coin d’une feuille, il va pousser Audrey à sortir. Et à redécouvrir le monde…
Hihi, est-ce que c’est la honte ? Audrey retrouvée est mon tout premier roman de Sophie Kinsella ! Je n’avais jamais rien lu d’elle jusqu’à présent…
Allez, critique express ! C’est un roman plaisant, qui se lit plutôt rapidement. Rien de transcendant, pour être tout à fait honnête. Très prévisible, ce qui est un peu dommage mais c’est souvent le cas avec ce genre de roman. En soi, le résumé suffit pour deviner la fin. Enfin bref. Il y a quand même quelques rebondissements (tout aussi prévisibles mais ce n’est pas grave). J’ai trouvé les personnages drôles et attachants. La mère d’Audrey me rappelle beaucoup la mienne (ce qui n’est pas forcément un compliment, je m’en rends bien compte.. Mais je l’aime comme elle est !). C’est une lecture pas prise de tête, qui fait du bien en ces temps studieux. Ce n’est pas une lecture que je vous recommande tout particulièrement, à moins que vous cherchiez à passer un moment de pure détente et que vous ne vous attendez pas à un truc de fou x)
14/20
J’ai aussi lu La voleuse de livres, mais je prépare un « Du livre au film » en son honneur !
Point BD.
# Kanopé.
2137. La surpopulation a entraîné de graves modifications de l’écosystème. La quasi-totalité des espèces animales et végétales a disparu, excepté dans une partie de l’Amazonie mise en quarantaine. Dans ce dernier bastion du monde sauvage survivent dans l’ignorance générale d’anciens révolutionnaires surnommés les « éco-martyrs ». Parmi eux, Kanopé, une orpheline débrouillarde.
Je suis assez partagée concernant cette BD. Je l’ai trouvée très intéressante. Cette vision futuriste digne d’un film (ou d’un roman) post-apocalyptique est fascinante. Le message est très beau. Les dessins sont plutôt sympathiques, pas très originaux mais sympathiques, les couleurs sont magnifiques. Mais.. Et oui, si j’ai un avis partagé il y a forcément un mais.. Tout va beaucoup trop vite, on n’a pas le temps de s’attacher aux personnages, on survole le truc à une vitesse folle et pouf, c’est fini. Ayant apprécié le peu que j’ai lu, je trouve que l’auteure aurait vraiment pu approfondir certains aspects. Quitte à en faire une série (il me semble que c’est un one-shot). Selon moi, Louise Joor s’est trop focalisée sur la relation entre les deux personnages principaux (même si au final je trouve que cette relation est tout aussi survolée que le reste). Je m’attendais vraiment à plus. Plus de détails sur les « éco-martyrs », plus de détails sur les 10 milliards d’humains qui ne vivent pas en Amazonie, sur le grand animal.. Un peu déçue donc. Mais ça reste un premier ouvrage prometteur ! Et je suis contente de l’avoir emprunté. C’était une chouette découverte et j’ai hâte de voir ce que Louise Joor proposera par la suite !
14/20
# Le voleur de livres.
Paris, années 1950. Sartre et l’existentialisme quadrillent Saint-Germain-des-prés. Daniel Brodin, étudiant en droit en Sorbonne et féru de poésie vit à Aubervilliers, chez son oncle, communiste. Il s’ennuie, il est seul. Il attend de vivre une autre vie que celle de sa famille, mais laquelle ?
Très intriguée par le titre et par la couverture rouge, j’ai emprunté cette BD sans lire le résumé. On y suit l’évolution d’un jeune étudiant en droit qui rêve de devenir un poète célébre. Il traine dans les cercles littéraires les plus importants de Paris, s’acoquine avec des bonnes et des mauvaises personnes. Ce qui l’excite dans la vie c’est voler des livres. Son parcours n’est pas passionnant. C’est un anonyme qui connait du beau monde. La BD dépeint en parallèle une jeunesse qui veut changer le monde et qui questionne ce qui l’entoure..
L’histoire est plutôt intéressante mais j’avoue que j’ai trouvé le tout un peu fade. Je n’ai pas été transcendée par les dessins. Les dialogues sont souvent lourds et pompeux, tout à fait dans la veine de tous les livres existentialistes et avant-gardistes pondus dans les années 50. Ils aiment les grands mots. Mais bon, c’est un peu le sujet donc j’imagine que c’est normal. Moi en tout cas j’ai eu un peu de mal avec le tout ! En tout cas ce n’est pas une BD que je recommande particulièrement.
12/20
# Le Trop Grand Vide d’Alphonse Tabouret.
Il était une fois, Alphonse Tabouret. Il est né dans une forêt, avec le Monsieur, qui s’est un peu occupé de lui, mais pas très longtemps. Un jour le Monsieur se fâche, pour une broutille de rien du tout, et laisse Alphonse tout seul. C’est là que son périple commence. Au fil des rencontres, il découvre des gens, bestioles, bidules, qui le font grandir un peu et lui font vivre des aventures chouettes et sans trop le vouloir vraiment. Le T.G.V. d’Alphonse Tabouret, c’est une promenade un peu naïve et tendre, avec parfois des trucs rigolos.
J’ai adoré cette BD ! Elle est vraiment toute choupiiiiii ! L’histoire d’Alphonse Tabouret m’a vraiment fait chaud au coeur. Elle est mignonne, elle est poétique, elle est touchante. C’est drôle et triste à la fois. J’ai adoré parcourir la forêt avec ce tout petit bonhomme. Les dessins sont très simples et enfantins mais rajoute un certain charme à l’ensemble. Il n’y a vraiment pas grand chose à dire sur cette BD à part qu’elle est magnifique et que je vous la recommande chaudement ! C’est un coup de cœur pour ma part, j’ai passé un excellent moment. C’est une BD que j’avais empruntée, je pense l’acheter pour pouvoir la relire quand je veux tellement elle m’a fait du bien, c’est une feel-good BD ! *-*
19/20
# Passeur d’âmes.
Je m’appelle Yan Jing. Mon métier consiste à exfiltrer les morts. Tous les gens qui nous quittent doivent venir rendre compte de leur vie chez moi et je les enregistre. Je consiste chaque personne, chaque histoire, dans ce carnet.
Ce roman graphique est constitué de différentes petites histoires sur des gens très différents, autour du thème de la mort. C’est un beau roman graphique. Du point de vue objet déjà, c’est un beau livre, les dessins sont très jolis, les couleurs rendent l’ensemble vraiment agréable à regarder. Ensuite, les différentes histoires sont plutôt touchantes. Elles ne se valent pas toutes mais dans l’ensemble, elles sont vraiment chouettes. J’avoue que la conclusion de l’histoire du « narrateur » m’a laissé un peu perplexe.. Je ne suis pas certaine d’avoir tout compris tellement ils mélangent tout. Et puis.. Tout le monde se ressemble haha. C’est le petit bémol que je me permet d’exprimer. D’une histoire à une autre, tous les personnages se ressemblent et c’est un peu confus du coup. Quand ils ne sont pas dans la même ce n’est pas trop gênant.. Mais quand c’est dans la même (comme à la fin), c’est un peu plus difficile. Enfin bref ! C’est une BD sympathique, plutôt émouvante mais sans plus. Il n’y a pas eu la petite étincelle, pas de coup de cœur de mon côté.
14/20
# L’attente infinie.
Entre 1982 et 2012, Julia Wertz a fait beaucoup de choses : elle a enchaîné toutes sortes de petits boulots, elle a déménagé dans différentes villes, elle est tombée gravement malade, elle s’en est tirée, elle a été embauchée, elle s’est fait virer, elle a aimé (pas trop), elle a lu beaucoup de livres et fait beaucoup de blagues, elle a découvert la BD, elle a été publiée, elle a bu (beaucoup), elle a déprimé, elle a arrêté de boire, elle a grandi, elle a réfléchi et elle a eu envie de le raconter…
Un épais volume à l’humour cinglant, plein d’autodérision et de réflexions aussi loufoques qu’existentielles. Qui d’autre que Julia Wertz, à l’esprit libre et décomplexé, pouvait signer cette chronique autobiographique époustouflante?
Bof bof. J’ai emprunté cette BD sans grandes attentes. Mais j’ai quand même été un peu déçue. C’était loooong, il y avait vraiment de grosses longueurs. Je n’ai pas vraiment accroché à l’humour de l’auteur. C’est censé être une autobiographie humoristique mais elle a dû me décrocher quelques sourires et c’est tout. J’ai trouvé les dessins un peu « fades ». Comme pour la BD précédente, et c’est encore plus vrai ici, tout le monde se ressemble, on s’y perd. Il y a énormément de textes aussi. Je n’ai rien contre le texte, mais je préfère quand il est intéressant x) En résumé, c’était vraiment pas palpitant (je me suis fait un peu ch*er pour être carrément honnête). Je ne recommande pas particulièrement.
12/20
# Love Story à l’iranienne.
Les jeunes Iraniens rêvent-ils encore d’en finir avec le régime ? Comment se rencontrer dans cette société qui ne le permet jamais ? Comment flirter ? Comment choisir sa femme ou son mari ? Malgré la tradition, malgré le régime. Des journalistes ont interviewé clandestinement de jeunes Iraniens pour donner un éclairage politique et social. Comment échapper à la police pour vivre sa love story ?
Deloupy a illustré les différentes interviews réalisées par le couple de journalistes qui se fait appeler Jane Deuxard. Ils ont rencontré un certain nombre de jeunes iraniens qui ont accepté de parler de politique mais aussi (et surtout) de leurs difficiles relations amoureuses. Réaliser cette BD était plutôt dangereux, autant pour les auteurs que pour les jeunes iraniens interviewés. Mais ils ont tenu bon, et le résultat est époustouflant !
Cette BD est bouleversante. On découvre comment les jeunes iraniens tombent (ou pas) amoureux sous le régime de Ahmadinejad et d’Hassan Rohani, comment ils perçoivent l’évolution de l’État depuis la révolution à laquelle leurs parents ont participé en 1979, entrainant l’élection de Khomeini en 1979. Je pense que c’est ce qu’on pourrait qualifier d’œuvre « coup de poing ». On ouvre un peu plus les yeux sur quelque chose que l’on connait mal. C’est passionnant, c’est révoltant.. Les dessins sont magnifiques. Je n’ai pas envie de trop en dire mais je vous la recommande vraiment beaucoup beaucoup ! C’est un gros coup de cœur personnellement ! C’est également une BD que je compte acheter (ou me faire offrir haha), je veux absolument qu’elle rejoigne mes étagères.
19/20
Films vus.
# Les combattants.
Entre ses potes et l’entreprise familiale, l’été d’Arnaud s’annonce tranquille… Tranquille jusqu’à sa rencontre avec Madeleine, aussi belle que cassante, bloc de muscles tendus et de prophéties catastrophiques. Il ne s’attend à rien ; elle se prépare au pire. Jusqu’où la suivre alors qu’elle ne lui a rien demandé ? C’est une histoire d’amour. Ou une histoire de survie. Ou les deux.
Bon, j’essaye de renouer lentement mais sûrement avec le cinéma français. Je choisis les films un peu à tâtons, mais pour l’instant je ne m’en sors pas trop mal. Les combattants est un film imparfait mais qui a beaucoup de charme. Ces personnages principaux sont attachants. Ils sont drôles et tristes à la fois, plutôt maladroits.
L’histoire n’est pas hyper originale. On a un cadre intéressant (la préparation à une future apocalypse plus ou moins proche) mais ça reste finalement une histoire d’amour assez prévisible, bien que très touchante. Le film est parfois un peu lent, mais ce n’est pas déplaisant. Ça rajoute une sorte de charme au film et ça accentue le malaise entre les deux personnages principaux, qui ne savent pas trop comment se comporter l’un avec l’autre.
En résumé c’est plutôt un chouette film, avec quelques défauts mais bon.. Pour l’instant je ne crois pas avoir vu LE film parfait ! Si vous avez un peu de temps, je vous propose de lui laisser sa chance, il pourrait vous surprendre. C’était une découverte plutôt sympathique de mon côté (moi qui n’aime pas beaucoup le cinéma français) !
15/20
# Zoolander 2.
Blue Steel. Le Tigre. Magnum… Des regards si puissants qu’ils arrêtent des shuriken en plein air et déjouent les plans de domination mondiale les plus diaboliques. Un seul top model est capable de conjurer autant de puissance et de beauté dans une duck-face : Derek Zoolander ! Quinze ans après avoir envoyé Mugatu derrière les barreaux, Derek et son rival/meilleur ami Hansel, évincés de l’industrie de la mode suite à une terrible catastrophe, mènent des vies de reclus aux deux extrémités du globe. Mais lorsqu’un mystérieux assassin cible des popstars célèbres, les deux has-been des podiums se rendent à Rome pour reconquérir leur couronne de super mannequins et aider la belle Valentina, de la Fashion Police d’Interpol, à sauver le monde. Et la mode.
Dans un précédent point culture, j’avais partagé avec vous ma découverte de Zoolander, film un peu WTF que j’avais cependant bien apprécié parce qu’il ne se prenait pas au sérieux et qu’autant de bêtises, et bien ça me fait rigoler. Il m’en faut peu, sachez le. J’ai donc retrouvé la fine équipe dans cette suite. Comme pour le premier film il y a eu énormément de critiques plutôt négatives. Personnellement, j’ai plutôt bien aimé. Forcément, c’est un film qu’il ne faut pas prendre sérieusement. C’est vraiment une succession de trucs ridicules mais qui, pris au deuxième degré (ou au troisième, tant qu’à faire), sont marrants. La succession de guests ne m’a pas du tout dérangée. Moi je trouve ça cool de voir qu’il y a une poignée d’acteurs qui ne se prennent pas trop de haut et qui acceptent de se ridiculiser le temps d’un film comme Zoolander 2. J’ai par exemple adoré la (trop) courte intervention de Benedict Cumberbatch et j’ai trouvé l’assassinat de Justin Bieber plutôt jouissif (sorry). J’avais du mal à m’arrêter de rire. C’est absurde et déjanté, il ne faut pas chercher plus loin et juste apprécier ce que Ben Stiller nous offre. Ce n’est pas un film sérieux, je ne pense pas qu’il ait été question un jour que ce le soit. Moi je trouve ça sympa, il n’y a aucune prise de tête. C’est marrant et ça change un peu, même si tous les codes classiques de la comédie américaine sont repris. J’ai passé un très bon moment, et j’assume complètement !
15/20
Séries débutées.
Ces deux dernières semaines j’enchaîne les finals d’une multitude de séries (Once Upon a Time, Agents of SHIELD, Modern Family, The Middle, Big Bang Theory, etc), je me suis aussi mise à jour dans Baby Daddy ! Je vois la liste des séries à rattraper diminuer lentement mais sûrement, je suis très contente 🙂
Et voilà pour ce quinzième point culture ! J’espère vous avoir fait découvrir un ou deux trucs, vous avoir donné envie d’en découvrir certains.. Si vous avez des recommandations, n’hésitez pas !
Je poursuis le 30 Day Challenge OUAT. Je n’ai pas pu publier il y a cinq jours donc je vais répondre à dix questions aujourd’hui, histoire de rattraper tout ça. Vous pouvez retrouver les deux précédents articles ici et ici.
#11 – Le personnage sur lequel vous avez changé d’avis.
J’ai changé d’avis sur un certain nombre de personnages mais je dirais que j’ai principalement revu mon opinion sur Emma. Honnêtement, au début je l’appréciais énormément.. Mais maintenant je la trouve vraiment relou. Je la trouve égoïste, elle ne réfléchis pas aux conséquences de ses actes, elle entraine tout le monde dans sa merde et après elle vient pleurer dans les jupes de sa mère en mode « bububu je suis désolée, c’est ma faute ». Elle pense qu’elle sait tout mieux que tout le monde et elle répète sans cesse les mêmes erreurs. Ça commence à être lassant. Et dans les derniers épisodes de la cinquième saison (plus particulièrement les deux derniers), je l’ai trouvé vachement gonflée de dire à Regina qu’elle devrait rester en retrait parce qu’elle n’était pas « en état ». Sérieux ? J’avais envie de lui mettre une claque sachant tout ce qu’elle avait fait depuis le début de la saison.
Yup.
#12 – Le personnage le plus drôle.
Hook m’a fait bien rire par le passé ! Son personnage est un peu plus fade maintenant qu’il voue son existence toute entière à Emma. Mais il a de la répartie et un bon sens de l’humour, c’est probablement l’un des personnages les plus drôles (Frankenstein était pas mal non plus).
#13 – Le personnage le plus touchant.
J’ai l’impression de me répéter mais, encore une fois, je choisis Regina. Elle a un passé pas facile, elle fait des tonnes d’efforts et ça ne paye (quasiment) jamais. J’ai beaucoup de peine pour elle. Je la trouve forte et touchante.
#14 – Le personnage qui ne sert à rien.
Mérida, sans aucune hésitation. Son personnage ne sert strictement à que dalle, je me demande vraiment pourquoi ils ont introduit son personnage dans la série. Chacune de ses apparitions ont été une source d’exaspération pour ma part.
#15 – Le personnage qu’on ne voit pas assez.
Ça va peut-être vous paraitre un peu étrange comme choix, mais je trouve qu’on ne voit pas assez Henry. Il est pourtant à la base de l’histoire, c’est grâce à lui que tout le monde a retrouvé la mémoire, c’est lui qui a réuni toute sa famille… Mais au fil des saisons, je trouve que son rôle est presque secondaire. Il s’exprime de temps en temps dans les moments « importants » mais il n’a pas non plus un rôle clé. Il est juste là. En grandissant il aurait pourtant pu gagner en importance, mais non, il fait le tampon entre ses mamans et des fois il fait un truc intéressant.
#16 – Le personnage qui n’aurait pas dû partir/mourir.
August, on en parle ? Le mec, il a « disparu » en fin de saison, transformé en morceau de bois dans une chambre d’hôtel et tout le monde s’en bat les steaks. On en reparle plus (à part dans le final de la saison 5, je ne sais pas pourquoi). C’est comme s’il n’avait jamais existé alors que c’était un personnage vraiment intéressant. Son départ était une grosse déception.
Je regrette également beaucoup le Chapelier fou. J’aimais bien son personnage !
#17 – Le personnage qu’on ne regrette pas.
Je ne regrette pas du tout Cora ! Elle était intéressante mais trop manipulatrice, fourbe. Elle ne me manquera pas ! Quoique.. C’était quand même un bon méchant, je ne sais pas si on en aura des aussi consistants à l’avenir.
Je ne regretterais pas non plus Cruella, elle était insupportable x)
#18 – Votre couple préféré.
J’aimais beaucoup le couple Regina/Robin des Bois. Peut-être parce qu’ils n’en faisaient pas des caisses. C’était simple, c’était beau. Regina avait enfin ce qu’elle méritait. Ils avaient peut-être des problèmes, mais j’ai l’impression qu’il y avait beaucoup de drama que pour les autres. A chaque au revoir ils n’avaient pas besoin de se rassurer 30.000 fois sur comment ils allaient se retrouver.
*Frustration*
#19 – Votre couple détesté.
Charming et Snow White me tapent sur le système. Complètement à l’opposé de Regina et Robin, ils en font toujours des tonnes. Tartine sur tartine sur leur amour « parfait », ce sont des héros, ils s’aiment, ils pètent c’est des paillettes. Ils en font vraiment trop, autant dans leur couple qu’en tant que parents. Le fait d’avoir loupé les trente premières années de leur fille n’excuse pas tout.
#20 – Les personnages que vous aimeriez voir ensemble.
Et bien moi j’aurais aimé voir Emma avec August. Mais je peux toujours courir pour voir ça un jour. Et c’est malheureux parce qu’ils étaient vraiment cool tous les deux. Ils avaient un lien spécial.
Et voilà pour ces dix questions ! Et vous, vous auriez répondu quoi ?
(Je me rends compte au fur et à mesure de mes réponses que j’ai vraiment une dent contre cette série haha, alors que j’adorais à la base..)
Je poursuis le 30 Day Challenge Once Upon a Time, lancé par Tequi. Je vous remets le planning des différents thèmes que nous abordons tout au long du mois. Aujourd’hui je réponds aux thèmes 6, 7, 8, 9 et 10 !
# 6 Votre personnage principal féminin préféré ?
Ce qui est un peu galère avec Once Upon a Time, c’est qu’il y a tellement de personnages que j’ai du mal à différencier les personnages principaux des personnages secondaires, et les personnages secondaires des guests haha (bon ok, j’exagère un peu). Mon personnage principal féminin préféré est Regina. Oui, j’ai toujours eu un faible pour les méchants. Comme pour Rumple, je trouve que c’est le personnage qui a l’histoire la plus intéressante, qui sort un peu des sentiers battus et on est amené à reconsidérer tout ce qu’on a toujours cru savoir à propos de la Méchante Reine. On la voit sous un jour nouveau et on se prend finalement assez rapidement d’affection pour le personnage. Et j’aime beaucoup l’actrice qui la joue, je la trouve très charismatique. Par ailleurs (je ne sais pas si c’est une des raisons pour lesquelles je l’affectionne tout particulièrement mais bon) elle a souvent des robes absolument fantastiques *-*
Difficile de choisir un personnage secondaire masculin préféré sachant que je ne sais pas qui ils sont. Sérieux, j’ai l’impression que tous les personnages masculins sont soit des personnages principaux, soit des guests qu’on a vu dans quelques épisodes de temps en temps. Cette question me fait donc grandement c*ier, et j’ai choisi ici de mettre Neal Cassidy/Baelfire.
Je ne l’ai jamais vraiment vu comme un personnage principal mais il était quand même suffisamment important pour que son départ m’attriste énormément. J’aimais beaucoup le duo qu’il formait avec Emma et même si j’aime beaucoup celui qu’elle forme actuellement avec Hook, je suis parfois un peu nostalgique !
# 8 Votre personnage secondaire féminin préféré ?
Bien qu’elle soit apparemment considérée comme un personnage principal, personnellement je la perçois plus comme un personnage secondaire, qui vient donner un coup de temps en temps. Mon personnage secondaire féminin préféré est Belle, j’aime beaucoup ce qu’ils ont fait d’elle dans la série. Bien que sa naïveté vis à vis de Rumple me saoule par moments, elle reste quand même un des personnages féminins qui je détesterais voir partir !
# 9 Votre guest préféré ?
Bon, encore une fois, qu’est-ce qu’un guest dans Once upon a time ? Parce que la plupart des acteurs font une demi-saison et puis s’en vont. Et reviennent de temps en temps pour faire la « surpriiiiiise ». Peter Pan et Victor Frankenstein/Dr Victor Whale sont ceux que j’ai eu le plus de plaisir à découvrir. Peter Pan parce que je ne m’attendais juste pas du tout à ça, la réécriture de son histoire est vraiment intéressante. Et Victor Frankenstein parce que je ne pensais pas qu’il serait dans Once upon a time, ça m’avait vraiment surprise à l’époque. Et puis j’adore cet acteur (il joue Blaine dans iZombie), il est tordant !
# 10 Le personnage que vous aimez le moins ?
Zelena est sans aucun doute le personnage que j’aime le moins. Elle est détestable, elle m’énerve et je trouve qu’elle ne sert pas à grand chose dans la série. Et puis, j’avoue, c’est un peu physique aussi. Je déteste sa tête x)
Voili voilouuu ! On se retrouve le quinze pour les cinq prochains thèmes. Il n’est pas trop tard pour nous rejoindre si ça vous tente !
Depuis le début de l’année je suis sur différents blogs les 30 Day Challenge sur différentes séries (Desperate Housewives, Downton Abbey, etc).. Le principe est assez simple, une série différente rythmera chaque mois de l’année. On doit répondre à un thème par jour (j’ai décidé de les faire cinq par cinq personnellement) selon un calendrier que vous retrouverez un peu plus bas. L’idée a été lancée par Tequi ! Si les différentes séries proposées depuis le début de l’année ne m’inspiraient pas spécialement (à part Downton Abbey mais je ne suis pas à jour), j’ai enfin décidé de me lancer avec Once Upon a Time !
Et voici donc le planning des quinze premiers jours :
# 1 Pourquoi avez-vous commencé la série ?
Plus ou moins par hasard, en lui donnant sa chance comme je le fais avec une sélection de pilotes à chaque nouvelle saison ! C’était une série parmi tant d’autres il y a cinq ans, même si dans mon souvenir il me semble qu’on en parlait pas mal après les premières diffusions. J’avais été intriguée par le synopsis (plutôt alléchant quand on est un adepte des Disney et plus généralement des contes) et les premiers épisodes m’ont convaincue !
# 2 Ce que vous aimez le plus ?
Même si cela s’avère dans certains cas gênant (pour ma part en tout cas), j’aime beaucoup le mélange des différents univers, les liens que tissent des personnages qui normalement n’auraient jamais dû se retrouver dans la même histoire. Cela donne des réécritures des contes très originales dans l’ensemble (mais parfois poussées un tantinet trop loin). Et l’implantation de personnages de contes de fées dans le monde moderne peut, parfois, se révéler être très amusante !
# 3 Ce que vous aimez le moins ?
Au bout de cinq saisons, je trouve que la série peine un peu à se renouveler. D’une saison à une autre on retrouve les mêmes schémas mais dans un monde ou avec des personnages différents. Mais au final, c’est toujours plus ou moins la même histoire répétée encore et encore. Et à force d’intégrer de nouveaux personnages (qui ne sont pas tous intéressants), on perd de vue des personnages qui auraient mérité d’être plus approfondis. J’ai l’impression qu’en plus de stagner, la série s’éparpille un peu trop.
# 4 Votre épisode préféré ?
J’ai toujours eu un petit faible pour la Fée Clochette, et j’ai été ravie de la retrouver au début de la saison 3, notamment dans l’épisode 3 : Quite a common fairy. La première partie de cette saison se déroulait sur l’île de Neverland et c’est donc sans surprise que nous y avons retrouvé une version surprenante de Peter Pan et une Fée Clochette plutôt touchante, jouée par l’actrice Rose McIver (qui joue désormais Liv dans iZombie !). Elle fait partie des personnages qui disparaissent rapidement, mais j’avais vraiment passé un bon moment en sa compagnie ! Je pense que c’est ce qui se rapproche le plus de mon épisode préféré. C’est difficile de choisir sur cinq saisons, on a vu tellement de choses, tellement d’univers différents. Et puis, finalement, il y a du bon et du mauvais dans chaque épisode.
# 5 Votre personnage principal masculin préféré ?
Sans hésitation aucune : Rumplestiltskin/Mr Gold ! C’est le personnage le plus intéressant de la série selon moi. Il est charismatique, drôle, touchant. C’est parfois (souvent) un gros c*nnard, mais il a ses bons moments. Dans le fond c’est un gentil qui a goûté trop longtemps au pouvoir. Chaque flashback le concernant me met en joie, j’adore découvrir le passé de ce personnage très sombre et très triste. Il m’inspire souvent plus de la pitié qu’autre chose. Le mec n’a jamais de chance (tellement pas que quand il en a, il a tendance à tout gâcher). J’apprécie également le fait qu’on mette en avant un méchant de base tout en soulignant ses faiblesses et ses bons côtés, ce qui nous permet de nous attacher à lui. En général un méchant, c’est un méchant, point barre. On ne s’intéresse pas des masses à la psychologie du personnage. Vous devez avoir l’impression que je suis bizarre haha, mais si vous regardez la série vous comprenez peut-être mon point de vue. En tout cas, je continue de regarder la série vraiment pour une chose : voir si finalement Rumple va l’avoir son happy ending !
Et vous, vous regardez cette série ? Vous en pensez quoi ? Si vous voulez vous joindre à nous pour ce 30 Day Challenge, n’hésitez pas ! On se retrouve le 10 pour les cinq prochaines questions 😉
J’espère que vous passez un chouette week-end de Pâques, je vous avoue que je ne sais pas si je vais vous faire un point culture complet, je vais peut-être garder quelques petites choses pour dans deux semaines. Je suis rentrée chez papa-maman pour trois jours, j’aimerais bien en profiter au maximum haha (entendez ici « je vais me gaver de couscous, de tarte aux pommes et de chocolat jusqu’à étouffement »). Maintenant que tout le monde dort (oui, j’écris cette article pendant la nuit, je suis une rebelle), je vais profiter du changement d’heure pour en écrire le plus possible et vous dire ce qu’il s’est passé culturellement parlant ces deux dernières semaines chez ibidouu !
Livres lus.
# Fahrenheit 451.
451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s’enflamme et se consume. Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif. Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d’un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l’imaginaire au profit d’un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé.
Je me suis lancée dans la lecture de Fahrenheit 451 dans le cadre du Book Club de mars sur Livraddict. Je n’en attendais pas grand chose, je l’avoue. Apparemment c’est un « classique » de la littérature SF.. Si le résumé m’a plu (en tout cas il m’a intrigué), j’ai assez vite déchanté au fil des pages.
Les idées de fond sont bonnes, très bonnes même pour certaines. Mais elles sont mal exploitées. Je n’ai pas du tout accroché à la plume de Bradbury, je l’ai trouvé chiant et fouillis. Après avoir tourné la dernière page, je me suis juste dit « Ah. Ok. ».. Pas terrible, n’est ce pas ? Je n’ai pas accroché au personnage de Montag, ni à aucun autre personnage d’ailleurs. Ils sont tous fadasses et ils me font tous un peu pitié, mais je pense qu’au final c’était un peu le but. C’est un roman plat, avec quelques rares rebondissements par-ci par-là. On ne ressent pas vraiment d’émotions, ce qui est vraiment dommage ! Mieux traités, certains passages auraient pu être très forts et avoir un réel impact sur le lecteur (sur moi en tout cas).
Tout n’est pas à jeter, il y a quelques bons passages, l’univers dans lequel évolue Montag est fascinant (et effrayant, un peu).. Et le livre se lit finalement assez vite. Je n’ai pas spécialement accroché mais j’ai quand même l’impression d’avoir lu quelque chose d’important (je sais pas si vous voyez ce que je veux dire), un roman qui a son importance dans l’évolution de l’histoire de la science-fiction.. Je pense qu’il faut lui laisser sa chance. Personnellement c’était pas le kiff total, mais les avis sont tellement nuancés qu’il faut se faire son avis tout seul !
13/20
# Tous en coeur.
Dans cette comédie romantique inédite signée Adama Mané, les vies se croisent et se décroisent, toujours guidées par un seul maître, l’amour. Une déclinaison du mot cœur à travers une palette d’émotions. Lorsque Caroline s’aperçoit que sa grand-mère l’a inscrite sur un site de rencontre sans lui en parler, elle réalise qu’il est peut-être temps de trouver l’amour et surtout qu’il est grand temps d’oublier Lucas, l’homme qui lui a brisé le cœur.
Mais ce nouveau départ pourrait bien la conduire à vivre des aventures et des déceptions auxquelles elle ne s’attend pas. Sa vie va être totalement bouleversée. Même si sa famille et ses amis sont là pour l’épauler, ils vivent également, de leur côté, des événements qui vont les changer à jamais. Sally, sa meilleure amie, commence à avoir des doutes sur la fidélité de son mari. D’autres, comme Christelle, ont déjà découvert la vérité. La question est de savoir, comme le dit la chanson, si, réellement, toutes les histoires d’amour finissent mal ou pas… en général !
Après ma lecture très mitigée de Fahrenheit 451, je me suis laissée tenter par le nouveau roman d’Adama du blog A trois on sourit. Si le roman a quelques défauts, il a le mérite d’être très divertissant ! J’avoue avoir eu beaucoup de mal à le lâcher et je l’ai lu très très rapidement. Si vous cherchez une comédie romantique, ce livre est probablement fait pour vous !
L’histoire est riche en personnages aux parcours (relativement) différents, qui se croisent, se rencontrent, se quittent, tombent amoureux.. Il y en a pour tous les goûts haha. Je pense que ce roman pourrait tout à fait être adapté en film. Et c’est là un des seuls reproches que je pourrais lui faire : on fait parfois un peu dans le cliché, on retrouve vraiment tous les codes de la comédie romantique hollywoodienne. Mais finalement, ça n’a pas vraiment dérangé ma lecture. La fin ne m’a pas du tout surprise, mais c’est plutôt commun pour une lecture du genre (en tout cas dans mon cas, en aurais-je trop lu/vu ?).
Je n’ai pas accroché à tous les personnages. J’avoue que j’ai trouvé le personnage principal parfois un peu naïf et imbu de sa personne, et des fois j’avais juste envie de lui faire des câlins de réconfort. Je ne suis pas du tout contradictoire comme nana. Par contre j’ai adoré la grand-mère ! J’aurais vraiment aimé que son histoire soit un peu plus développée. Et j’ai plutôt bien apprécié le côté un peu « policier »/enquête avec l’histoire de Xavier et Sally, ça mettait un peu de suspense héhé !
Sinon la lecture est fluide, j’aime beaucoup la façon d’écrire de l’auteure. C’est dynamique, c’est drôle, c’est naturel. Ça passe tout seul. Au début j’avais presque l’impression d’être entre copines ! J’ai par contre été parfois un peu décontenancée quand d’un paragraphe à un autre on changeait de personnage sans transition. Mais, encore une fois, rien de bien gênant.
Ce roman était donc une très agréable surprise que je vous recommande si vous aimez les comédies romantiques, les romans pas prise de tête qui vous permettent de vous changer les idées, de passer un bon moment !
15/20
# Animale, La prophétie de la Reine des Neiges.
Et si le plus merveilleux des contes cachait le plus sombre des complots ?
1833, sur une île perdue du Danemark. Elle s’appelle Blonde, il se nomme Gaspard. Elle est animale, il est fou d’elle. Le destin s’apprête à les arracher l’un à l’autre : ils sont les victimes d’une prophétie qui bouleversera le monde à jamais. Blonde parviendra-t-elle à déjouer les plans de l’énigmatique Reine des neiges, avec pour seul allié un jeune écrivain nommé Andersen ?
Je ne sais pas si vous vous en souvenez, il y a quelques semaines/mois j’avais lu le premier tome d’Animale, de Victor Dixen. Il m’avait plu mais il n’y avait pas eu de coup de coeur, je n’avais pas été pleinement convaincue. J’avais d’ailleurs trouvé la fin un peu bâclée. BREF. J’ai lu le deuxième tome. Et j’ai trouvé ça beauuuucouuuuup mieux.
On entre directement dans l’histoire et jusqu’au bout (vraiment, je rigole pas) on ne peut pas le lâcher. J’avoue être encore un peu déçue par la fin, on nous monte tout un truc de folie sur 400 pages par rapport à la Reine des neiges et en fermant le livre on a un peu envie de dire « tout ça pour ça ». Mais franchement, vu les 400 pages de folie qu’il y a eu juste avant, je m’en fous, ça reste une fin satisfaisante. Blonde saute de situation folle en situation folle, se créant des alliés dans les endroits les plus inattendus. Les rebondissements sont nombreux et on a l’impression de courir après Blonde pendant une grande partie du roman (complètement essoufflée pour ma part).
J’avoue avoir beaucoup apprécié le fait que le roman soit construit comme une correspondance avec Andersen. J’ai aimé retrouver ce côté historique et recherché que j’avais découvert dans le premier tome, mais aussi ce côté fantastique et original beaucoup plus approfondi. Dixen va plus loin et franchement, ça valait le coup.
Je n’ai pas envie de spoiler donc je m’arrête là. Pour ceux qui ont lu le premier, le deuxième tome vaut le détour ! Je ne suis pas déçue d’avoir décidé de continuer. Et pour ceux qui n’ont rien lu du tout, lisez donc les deux. C’est sympathique comme tout !
16/20
J’ai également lu un essai intitulé Petit éloge des séries télé, je lui dédierais un article pour lui tout seul !
Point BD.
# Les promeneurs sous la lune.
Conte urbain vantant l’amour, Les Promeneurs sous la Lune nous emmène dans l’épopée nocturne de Napoleon Cavallo qui découvre, non sans étonnement, qu’il est somnambule. Plusieurs nuits, dans un laps de temps assez rapproché, il se retrouve ainsi dans le lit de la douce Linh Yu. Cette dernière, quant à elle, n’attendait rien d’autre de la vie qu’on la laisse tranquille. Malheureusement pour elle, elle n’est pas au bout de ses surprises.
Ça faisait un moment que j’attendais de pouvoir emprunter Les promeneurs sous la lune, après l’avoir découvert sur le blog de.. (quelqu’un ? ça fait tellement longtemps que je l’attends que je ne sais plus !)
J’ai été un peu déçue. Je pense que mes attentes devaient être trop grandes, je ne sais pas. J’ai trouvé l’histoire un peu bâclée. Ils auraient pu continuer sur plusieurs pages encore, ça n’aurait pas été de trop. J’ai l’impression que tout va très vite, comme en accéléré et qu’on a jamais vraiment de réponses.. Ça reste une joli histoire d’amour et les dessins sont absolument magnifiques. Mais pas de coup de coeur de mon côté !
14/20
# Sixteen Kennedy Express.
1968, États Unis, une petite ville « in the middle of nowhere » bordée par les champs de blé à perte de vue et seulement animée par le chantier de son Mall en construction… Rob, 14 ans, a le bras dans le plâtre depuis un stupide accident, qui le prive du bénéfice des petits boulots d’été. Il s’ennuie ferme. Un évènement imprévu (le passage du train funéraire transportant la dépouille de Robert F. Kennedy – assassiné – à travers la moitié des États-Unis) va lui permettre de rencontrer une jeune fille nommée Sixteen qui aura16 ans à la fin de l’été, et qui : «j’te jure que dès que j’ai 16 ans je me casse de ce bled pourri… » Rob va partager cet été avec elle, et en tomber fou amoureux. Du haut de ses 14 ans, Il n’y connaît rien aux filles… Aussi handicapé par ses sentiments que par son bras dans le plâtre…
J’ai emprunté cette BD pour sa couverture (mais ça je pense que ça ne vous étonne plus). Gros coup de coeur pour la couverture. Et après.. J’ai moins accroché. Les dessins sont plaisants mais la palette de couleurs est trop réduite et au bout d’un moment tout se mélange, c’est confus, c’est monotone et c’est dommage. En ce qui concerne l’histoire, elle est intéressante, surtout sur la fin, lorsque Rob et Sixteen mènent l’enquête et font face aux dures réalités de la ségrégation et des inégalités raciales à la fin des années 60. Mais ce n’est pas non plus ce à quoi je m’attendais. On est loin du coup de coeur pour le contenu mais, globalement, ça reste une lecture agréable (mais sans plus).
13/20
# La page blanche.
Une jeune femme reprend ses esprits sur un banc sans se rappeler ni de son nom ni de ce qu’elle fait là. Menant l’enquête tant bien que mal, elle tente de recouvrer la mémoire et de retrouver son identité. Mais que va-t-elle découvrir ? Un passé romanesque fait de drames et de romances ou l’existence banale d’une femme ordinaire ? Et dans ce cas, saura-t-elle devenir quelqu’un après avoir été quelconque ?
J’aime beaucoup les dessins de Pénélope Bagieu donc bon, sans surprise, j’ai adoré cette BD visuellement parlant. En ce qui concerne le contenu.. On partait de quelque chose de super intéressant, traité avec humour et détachement. Le développement suivait son cours, de façon toujours très intéressante. Les questions d’identité, de découverte de soi étaient traitées avec justesse. On sentait qu’on approchait du but eeeeeet.. J’ai pas compris. J’ai pas compris pourquoi cette fin. On ne sait même pas ce qu’il se passe dans son cerveau au final. Ou alors il y avait une métaphore que je n’ai pas su attraper au vol. Je suis dé-çue. Je ne voulais vraiment pas que ça finisse comme ça. Mais bon, je peux pas avoir tout ce que je veux dans la vie. C’est quand même une BD que je vous recommande chaudement, rien que pour tous les films que se fait la personnage principale avant de rentrer chez elle. Elle aura eu le mérite de me faire rire. Et d’être très jolie.
15/20
# Porcelaine, tome 1 : Gamine.
Dans un monde presque identique au nôtre, comme un écho magique de la Terre, Gamine, une enfant au caractère bien trempé, n’accepte pas la violence de la rue à laquelle elle est confrontée. Décidée à fuir le froid de Snowy City, elle trouve refuge chez le porcelainier. Ce vieil homme bienveillant vit là, entouré de ses automates. Une seule condition à leur cohabitation : ne JAMAIS pénétrer dans son atelier…
Cette BD est le premier tome d’une série qui débute tout juste et dont la suite n’a pas encore été publiée (mais ça ne saurait tarder). J’ai trouvé les dessins très beaux et l’histoire fascinante. On est plongés dans un univers assez sombre, plutôt glauque par moments, voire flippant ! Si la BD n’est pas sans rappeler le conte de Barbe Bleue, on est projetés dans une ambiance beaucoup plus fantastique et mystérieuse, peuplée d’automates qui cachent un lourd secret. On arrive difficilement à lâcher l’ouvrage dont on tourne fiévreusement les pages. C’est un excellent premier tome et j’ai très hâte de tenir la suite entre mes mains !
17/20
# Poulbots.
Au coeur de la butte Montmartre, nous suivons cinq enfants pauvres, petits poulbots qui vont avoir maille à partir avec un promoteur immobilier véreux bien décidé à les déloger de leur mare aux grenouilles.
Cette fable urbaine, chronique d’un lieu et d’une époque en pleine mutation, prend le contrepied du Montmartre présent dans l’imaginaire collectif. Nous y croisons Poulbot, Steinlen, Bruant, Dorgeles, … ces artistes devenus emblématiques de Montmarte, quartier mis à l’honneur dans le récit, mais celui-ci met avant tout l’accent sur ces indigents qui évoluent en marge de la bohême, et dont la principale préoccupation est de survivre. Des familles sont expropriées faute de pouvoir payer leur loyer, notamment celle de l’un des protagonistes, ce à quoi nos poulbots comptent remédier en kidnappant le fils du promoteur immobilier pour demander une rançon.
Le petit bourgeois va se retrouver immergé dans l’univers et le quotidien de ces miséreux. C’est un vrai choc culturel. Peu à peu, il va tisser des liens d’amitié avec eux. Jamais il n’aura été aussi heureux que parmi ces gamins. Cette histoire met en lumière la pauvreté qui régnait sur la butte à l’époque, mais de façon légère ; à travers les aventures de cinq enfants, que le dénuement a abîmé mais pas brisé. Frondeurs et gouailleurs, ils luttent pour préserver le peu qu’ils ont : leur terrain de jeu, leur coin de paradis. A la fin, la guerre fait irruption sur le devant de la scène. Petites histoires sur fond de grande Histoire. La bataille a fauché bien des vies, enfants du Maquis comme privilégiés, tous logés à la même enseigne. La guerre balaie les différences de classe.
Poulbots nous plonge dans un Paris historique, un Paris d’avant-guerre, sur la butte Montmartre plus précisément, où un certain nombre de personnages évoluent dans la misère. La BD rend hommage à l’artiste Francisque Poulbot, dessinateur et illustrateur français décédé en 1946. Ce dernier représentait beaucoup les enfants de rue, les « titis parisiens ». Cette bande-dessinée représente donc ces titis dans leurs aventures, cherchant à protéger l’endroit où ils vivent et à se faire un peu d’argent pour sortir de la misère. Tout en restant bien entendu des enfants. J’ai trouvé l’histoire sympathique sans pour autant qualifier cette lecture de coup de coeur. J’ai adoré visiter le vieux Paris par le biais des dessins de Patrick Prugne, réalisés à l’aquarelle. Le rendu est magnifique. L’objet livre est très beau et complet, proposant notamment à la fin un carnet de croquis très agréable à feuilleter. Si vous avez l’occasion de croiser cette BD n’hésitez pas à la lire, ou du moins à la feuilleter pour voir toutes les jolies choses qu’elle renferme !
14/20
Films vus.
# Brooklyn.
Dans les années 50, attirée par la promesse d’un avenir meilleur, la jeune Eilis Lacey quitte son Irlande natale et sa famille pour tenter sa chance de l’autre côté de l’Atlantique. À New York, sa rencontre avec un jeune homme lui fait vite oublier le mal du pays… Mais lorsque son passé vient troubler son nouveau bonheur, Eilis se retrouve écartelée entre deux pays… et entre deux hommes.
Brooklyn est un joli film sur l’immigration. C’est le mot je pense, « joli ». C’est une jolie mise en scène, il y a quelques très belles images, quelques très belles scènes. Le film n’est pas très original, rien de folichon, mais j’ai quand même passé un bon moment. Les personnages sont tous attachants. Saoirse Ronan est très bonne dans le rôle d’Eilis. C’est une actrice que je ne connais que très peu, il faut que je découvre plus de films dans lesquels elle a joué. En tout cas elle m’a largement convaincue. Je la trouve douce, élégante (elle a des tenues trop belles !) et forte. Je ne vais pas m’étaler pendant 115 ans, le film est sympathique mais sans plus. Honnêtement, comme je l’ai dit plus haut, il n’y a rien d’original, rien de nouveau dans le traitement de l’immigration (alors que pourtant, ils auraient pu, il y a de la matière).. Le film est en soi assez prévisible. Mais c’était chouette quand même !
14/20
# Kung-Fu Panda 3.
Po avait toujours cru son père panda disparu, mais le voilà qui réapparait ! Enfin réunis, père et fils vont voyager jusqu’au paradis secret du peuple panda. Ils y feront la connaissance de certains de leurs semblables, tous plus déjantés les uns que les autres. Mais lorsque le maléfique Kaï décide de s’attaquer aux plus grands maîtres de kung-fu à travers toute la Chine, Po va devoir réussir l’impossible : transformer tout un village de pandas maladroits et rigolards en experts des arts martiaux, les redoutables Kung-Fu Pandas !
Mouais. Ça faisait un petit moment qu’on voulait voir Kung-Fu Panda 3 et on l’a enfin trouvé en bonne qualité. Donc on s’est lancé et on a été un peu déçus. Honnêtement je n’avais pas de très grandes attentes. On en est quand même au troisième film, et en général ces suites ne sont guère satisfaisantes (L’âge de glace et Shrek, par exemple, ont perdu beaucoup au fil des années je trouve). La franchise est synonyme d’argent plus que de chef d’oeuvre. Il y a quelques bonnes choses, tout n’est pas à jeter. Le rythme est bon, les personnages sont attachants (ravie d’avoir enfin rencontré les pandas), il y a quelques bonnes répliques. Mais finalement ce sont presque toujours les mêmes choses. Rien d’original, on réarrange juste quelques petits trucs, on change de méchant et hop hop hop, on a une suite. Dommage qu’ils ne se renouvellent pas plus que ça ! C’est un divertissement qui se laisse regarder mais que je ne verrais pas deux fois.
13/20
# Mon voisin Totoro.
Un professeur d’université, M. Kusakabe, et ses deux filles, Satsuki, onze ans, et Mei, quatre ans, s’installent dans leur nouvelle maison à la campagne. Celle-ci est proche de l’hôpital où leur mère est hospitalisée. Les deux enfants vont alors faire la rencontre des esprits de la forêt.
J’ai enfin regardé Mon voisin Totoro haha. Ça nous a pris comme ça, l’autre soir. J’ai agrandi un petit peu ma culture générale en regardant ce qui est apparemment un classique des studios Ghibli. Honnêtement je m’attendais à beaucoup plus. Le film est très court et à la fin, je n’ai pas pu m’empêcher de lâcher un « c’est tout ? ». C’est très simple, ça casse pas trois pattes à un canard comme on dit. Mais c’est chouette. J’ai aimé beaucoup de choses dans ce petit dessin animé qui met de bonne humeur. C’est ça en fait, le film respire la bonne humeur, la joie et l’innocence. On retrouve également toute la magie de l’univers de Miyazaki (petit clin d’oeil au chat-bus, je veux le même) et la musique est superbe. Donc, pour moi, c’est une bonne découverte mais ce n’est pas non plus hyper transcendant. Je m’attendais sincèrement à plus. Mais c’est un joli film, à regarder avec des petits je pense pour plus de magie.
15/20
# La Cinquième Vague.
Cassie Sullivan, adolescente de 16 ans, essaie de survivre dans un monde en proie à des invasions extraterrestres, appelés Les Autres, ayant déjà décimé la population et part à la recherche de son frère.
Je tiens à préciser que je n’ai pas lu le roman, donc je ne fais pas une critique de l’adaptation mais juste du film en soi. Je me jette dans le bain, je n’ai pas adoré. Beaucoup de petits détails m’ont gênée dans ce film plutôt prévisible (reste à voir la suite, peut-être que ça s’améliorera haha). Si les acteurs sont globalement bons (j’ai quand même vu Chloé Moretz dans de bien meilleurs rôles), je n’ai malheureusement absolument rien ressenti. Aucune émotion. C’est bête quand même quand tu regardes un film sur la fin de l’humanité.. Je pense qu’en fait le film n’est pas fini, ils n’ont pas cherché à aller plus loin que le public ciblé, c’est à dire les adolescents. On reste un peu sur notre faim du coup, attendant le « petit truc en plus » qui ne viendra finalement jamais. Après tout n’est pas mauvais. Il reste le côté « spectacle », les effets spéciaux sont plutôt pas mal. C’est déjà ça ! Mon avis est donc assez mitigé. S’il y a une suite je la regarderais par curiosité. Mais ça ne restera certainement pas gravé dans les annales. Rien d’original ici, vous pouvez passer votre chemin, ce ne sera pas un problème !
11/20
Séries débutées.
Je tiens bon les gars ! J’ai toujours pas commencé de nouvelles séries (trop de fierté) ! Par contre je suis ENFIN à jour dans :
Pretty Little Liars
Doctor Who
Teen Wolf
Once upon a time
Younger
Je vous fais plein de bisous les copains ! Mangez pas trop de chocolats ! Et peut-être à demain pour les trouvailles, si j’ai le temps pendant la nuit haha.