Je fête aujourd’hui mes 24 ans et j’avais envie d’immortaliser la chose avec un article sympathique. L’idée m’est venue de créer une playlist de chansons qui sont sorties depuis ma naissance. J’en ai sélectionné une par an (c’était difficiiiiiiiiiile), parmi celles qui m’ont le plus marquées. Je vous laisse imaginer à quel point l’exercice était difficile à partir des années 2000… Allez, trêve de bavardages ! Ouvrez grand vos oreilles et souvenez-vous…
Ça faisait un petit moment que je n’avais pas publié de chroniques sur une adaptation cinématographique. Aujourd’hui, on va parler de l’adaptation de The Revenant, roman écrit par Michael Punke en 2002 (réédité par Le Livre de Poche en 2016). Le film, réalisé par Alejandro Gonzalez Iñárritu est celui qui aura (ENFIN) permis à l’acteur Leonardo DiCaprio d’obtenir un Oscar en février 2016. Alors, qu’en est-il de cette adaptation ?
Le roman.
États-Unis, 1823. Au cours d’une expédition à travers les Grandes Plaines, le trappeur Hugh Glass est attaqué par un grizzly. Défiguré, le corps déchiqueté, Hugh est confié à deux volontaires chargés de le veiller jusqu’à sa mort puis de l’enterrer. Mais ses gardiens décident d’abandonner le blessé. En plein territoire indien, seul, désarmé et à bout de forces, Glass survit. Son unique motivation : la vengeance. Commence alors la légende de Hugh Glass : l’histoire d’un homme hors du commun qui va parcourir cinq mille kilomètres, depuis le Dakota du Sud jusqu’au Nebraska, pour retrouver ceux qui l’ont trahi. (Résumé : Babelio)
Cet article contient peut-être des spoilers. Mais peut-être que non. J’essaye vraiment d’être le plus général possible, mais je vous dévoile quand même quelques grandes lignes du roman (et du film).Continuer la lecture de Du livre au film #5 – The Revenant.
J’espère que vous avez passé de chouettes fêtes de Noël, que vous avez été gâtés et que je ne vous ai pas trop manqué. Je reviens aujourd’hui avec un article qui va peut-être se noyer dans la masse mais je m’en fous, il s’agit ici pour moi de faire le point sur ce que cette année 2015 représente d’un point de vue culturel, sur ce qui m’a marqué. Cet article risque peut-être d’être un peu long mais bon, c’est pas comme si vous aviez autre chose à faire ce soir que de le lire, n’est-ce pas ?
Top 5 musical.
Je me cantonne aux chansons sorties en 2015, sinon il me faudrait 15000 tops différents. Donc ces chansons sont celles qui ont tourné le plus dans mes oreilles cette année.
La découverte musicale (hors 2015) : Biggi Hilmars.
Top 5 livresque.
Après plusieurs années de « vide » littéraire, l’été 2015 a été celui où je me suis replongée dans une de mes passions depuis le plus jeune âge : la lecture. Voici un retour sur mes coups de coeur de l’année, pas forcément parus en 2015 !
D’un point de vue financier, l’année 2015 n’a pas été particulièrement bonne. Je n’ai donc pas pu me rendre souvent au cinéma et j’ai donc majoritairement visionné des films depuis mon lit. Parmi les quelques uns que j’ai pu voir, voici mon top 5.
Voilà pour mon bilan culturel personnel ! J’espère que pour vous aussi cette année a été riche en découvertes. En tout cas, pouvoir continuer à découvrir autant de choses fait partie de mes objectifs, de mes envies pour 2016 (entre autres), et les partager avec vous me fera toujours autant plaisir !
Bonne année 2016 à tous, profitez bien de votre soirée !
Nous nous retrouvons aujourd’hui pour le dernier thème du 30 Day Movie Challenge. Après un mois dessus, un article par jour (presque), je peux vous dire que c’était une chouette expérience. Mais vraiment pas facile à cette période de l’année. Je vais essayer de continuer à poster très régulièrement, probablement pas tous les jours mais tous les deux jours ce serait déjà une grande avancée par rapport à avant.
J’espère que vous avez apprécié tous ces articles sur mes films favoris (ou ceux que je n’ai pas aimé selon les thèmes) !
Aujourd’hui on va parler de mon film préféré de quand j’étais petiote. Ayant déjà mentionné Alice au Pays des Merveilles il y a quelques jours, j’ai réfléchi à touuuuut ce que je regardais quand j’étais petite. Forcément, les Disney sont largement en tête héhé.
Rien de folichon, ce sont des dessins animés que tout le monde connait. Du coup je vous mets juste les deux bande-annonces des films que je préférais dans ma feu jeunesse pour finir ce chouette challenge en beauté !
Les Aristochats.
Sachez que dans ma feu jeunesse j’ai rencontré un monsieur qui a participé ou à la réalisation des dessins, ou à la musique. J’étais tellement petite que je ne m’en souviens plus vraiment. Il faudrait que je demande à mon père, sachant que c’est lui qui devait l’interviewer (il m’avait amené avec lui, trop gentil le papa).
Mary Poppins.
Mary Poppins, elle envoie du pâté.
Et vous, quel est votre film préféré de quand vous étiez enfant ?
Plus que deux thèmes avant de clore le 30 Day Movie Challenge ! Aujourd’hui je vais vous parler du film le plus incompréhensible que j’ai jamais vu. Je n’ai pas eu à réfléchir très longtemps, le premier film qui m’est venu à l’esprit est Kaboom, de Gregg Araki.
Voici le résumé (vu que je n’ai pas compris le film je peux difficilement vous le résumer de moi-même haha) : Smith mène une vie tranquille sur le campus – il traîne avec sa meilleure amie, l’insolente Stella, couche avec la belle London, tout en désirant Thor, son sublime colocataire, un surfeur un peu simplet – jusqu’à une nuit terrifiante où tout va basculer. Sous l’effet de space cookies ingérés à une fête, Smith est persuadé d’avoir assisté à l’horrible meurtre de la Fille Rousse énigmatique qui hante ses rêves. En cherchant la vérité, il s’enfonce dans un mystère de plus en plus profond qui changera non seulement sa vie à jamais, mais aussi le sort de l’humanité.
Voilà ce que ça m’inspire.
J’avoue, c’est le seul Araki que j’ai vu. Mais ce film, c’est juste du grand n’importe quoi ! Normalement j’aime beaucoup les films un peu décalés mais là je ne suis pas du tout rentrée dans le délire du réalisateur. Disons que je n’ai pas compris le fond du film, où il allait avec tout ça. Globalement ce que j’ai retenu du film c’est : des masques d’animaux méga-glauques, des hallucinations chelou, de la drogue, beaucoup trop de sexe et des masques d’animaux méga-glauques (pardon, je l’ai déjà dit mais ça m’a vraiment marqué). L’intrigue est floue. Y avait-il une intrigue ? Et la fin.. Je cherche toujours à la comprendre. Je cherche encore à comprendre beaucoup d’éléments du film d’ailleurs. Je n’arrive même pas à comprendre la bande annonce quand je la regarde. Si quelqu’un a compris quelque chose et serait prêt à m’expliquer le pourquoi du comment, je suis preneuse x)
Et vous, quel est le film le plus incompréhensible que vous ayez vu ?
Aujourd’hui je dois vous présenter mon film d’animation ou film pour enfant préféré ! Je suis une grande amatrice de dessins animés donc le choix n’a pas été facile du tout. Parmi ceux que j’ai vu le plus de fois, mon choix s’est arrêté sur Dragons (et sur Moi, moche et méchant mais bon, je préfère parler de Dragons).
Je pense que vous connaissez le dessin animé (au moins de nom en tout cas). On y suit Harold, un jeune viking peu à son aise dans sa tribu où combattre les dragons est le sport national. Sa vie va être bouleversée par sa rencontre avec un dragon qui va peu à peu l’ amener à voir le monde d’un point de vue totalement différent.
Est-ce que je vous ai déjà montré mon gros chat ?
Il y a une suite, carrément géniale également selon moi (du coup ma critique concerne les deux films). Il y a également une série que je n’ai pas encore regardé mais le moment venu je vous en ferais une critique !
Ce dessin animé me donne le sourire, j’adore l’ambiance qui règne dans ce petit village de vikings, les personnages sont rigolos et touchants (le papa notamment). Les dragons sont très réussis, Krokmou me fait penser à mon gros chat d’ailleurs. Et la musique ! Gé-ni-a-le. Je vous en avais d’ailleurs parlé dans ma carte musicale des pays nordiques. Je ne vais pas m’étaler beaucoup plus. Ce dessin animé est à voir, en tout cas je vous le conseille. Ça change des princesses et des voitures qui parlent (blague, j’adore les princesses).
Ça c’est de la musique qui met l’ambiance. Jonsi forever.
Aujourd’hui je vous écris un petit article rapide sur mon film étranger préféré (hors US, sinon apparemment c’est trop facile). Spontanément, trois films me sont venus à l’esprit : Good bye Lenin !, What we do in the shadows et The Lunch Box. J’avais pas trop envie de parler de Good bye Lenin vu que c’est un film qu’on a presque du regarder 15000 fois au collège et au lycée. What we do in the shadows (ce film géniaaaaaaaaaaaal), je vous en ai déjà parlé dans un point culture (le dernier publié peut-être ? Je ne sais plus. Le prochain est pour dimanche en tout cas – normalement). Donc ça nous laisse The Lunch Box, un très joli film indien.
Ila, une jeune femme indienne délaissée par son mari, décide de se surpasser pour lui préparer un savoureux déjeuner dans l’espoir de le reconquérir. Malheureusement, le service de livraison des repas se trompe de destinataire et la lunch box atterrit sur le bureau de Saajan, un homme solitaire, proche de la retraite. Du coup Ila ne reçoit pas les compliments tant espérés et se demande qui a reçu le repas. Elle glisse alors un petit mot dans la lunch box le lendemain, afin de percer le mystère…
Au menu : Food porn !
Ce film fait du bien au moral, il est très beau, touchant. Les personnages sont humains, ils sont magnifiques, ils sont émouvants. Le cadre est splendide. J’ai un petit faible pour les films ayant lieu en Inde, j’adore l’ambiance qui s’en dégage, les couleurs, les bruits. Et imaginer les odeurs. Bref, je prends mon pied haha ! Je vous recommande chaudement ce film si vous ne l’avez pas vu, en espérant qu’il vous plaise autant qu’à moi !
Et vous, quel est votre film étranger (hors US) préféré ?
Bon, je n’ai pas réussi à suivre le rythme imposé pour le 30 Day Movie Challenge, c’est la dernière fois et j’espère que ça n’arrivera pas de nouveau pour les quelques jours qu’il reste.
Aujourd’hui je rattrape donc les deux thèmes de ce week-end et je publie comme prévu celui d’aujourd’hui. C’est parti !
Jour 24 – Votre thriller préféré.
Sans hésitation aucune, j’ai choisi pour ce thème le film Fight Club, de David Fincher. Il s’agit d’un de mes films préférés. J’ai accroché dès le début et j’étais dedans jusqu’au bout, jusqu’à la dernière minute. Les acteurs sont géniaux, l’histoire (un peu bazar faut l’admettre) est originale, décalée et le dénouement est fifou. Moi qui n’aime pas trop les choses « violentes », j’avoue que je suis assez surprise d’avoir eu un tel coup de coeur pour Fight Club. Mais bon, le coeur a ses raisons comme on dit. En tout cas c’est un film que je recommande, même si je pense que beaucoup l’ont déjà vu !
Résumé SensCritique (vachement pas utile) : La vie d’un employé de bureau est bouleversée lorsqu’il rencontre Tyler Durden. Ils forment ensemble le Fight Club, un club de lutte clandestine.
Jour 25 – Votre western préféré.
Ce thème n’est pas le plus facile (en même temps, il n’y en avait pas beaucoup des faciles hein). Spontanément j’aimerais répondre Django Unchained. Mais tout le monde l’a déjà cité, ce serait dommage de revenir sur ça encore une fois haha.
Mon grand-père était un très grand fan de western et dans ma feu jeunesse j’ai donc eu l’occasion de me forger une certaine culture dans le domaine. En farfouillant dans mes souvenirs, Le bon, la brute et le truand est un peu apparu comme une évidence. Ça date un peu haha (1966) mais c’est celui qui m’a le plus plu. Quand je pense à tout ceux que mon grand-père m’a forcé à regarder, c’est celui dont j’ai le plus de bons souvenirs. Il y a Clint Eastwood dedans, jeune et sexy. Je pense que c’est important de le souligner. Les paysages sont tops, la musique est bien cool. On est dans le western pur et dur et franchement, c’est plutôt sympa ! Et puis, c’est la base.
Résumé : Pendant la Guerre de Sécession, trois hommes, préférant s’intéresser à leur profit personnel, se lancent à la recherche d’un coffre contenant 200 000 dollars en pièces d’or volés à l’armée sudiste. Tuco sait que le trésor se trouve dans un cimetière, tandis que Joe connaît le nom inscrit sur la pierre tombale qui sert de cache. Chacun a besoin de l’autre. Mais un troisième homme entre dans la course : Setenza, une brute qui n’hésite pas à massacrer femmes et enfants pour parvenir à ses fins.
Jour 26 – Votre film français préféré.
Je ne suis pas une grande fan des films français. Il y en a des très bons, mais beaucoup des « comédies » ou mêmes des drames sortis récemment m’ont blasé, je trouve les acteurs de moins en moins crédibles, je ne sais pas pourquoi. Je dois pas regarder les bons films je pense x)
Bref, j’ai réfléchi un petit peu et deux films sont apparus assez rapidement dans mon petit cerveau : L’auberge espagnole et Les émotifs anonymes. J’ai choisi de parler du second parce que le premier est plus que connu, je pense qu’il a quasiment un statut de film culte en France. Non ?
Les émotifs anonymes donc, c’est ça : Jean-René, patron d’une fabrique de chocolat, et Angélique, chocolatière de talent, sont deux grands émotifs. C’est leur passion commune pour le chocolat qui les rapproche. Ils tombent amoureux l’un de l’autre sans oser se l’avouer. Hélas, leur timidité maladive tend à les éloigner. Mais ils surmonteront leur manque de confiance en eux, au risque de dévoiler leurs sentiments.
Et c’est vachement cool. Moi j’adore ce film, il me met toujours de super bonne humeur. Je le trouve drôle, touchant et rafraichissant. Benoit Poelvoorde et Isabelle Carré sont parfaits dans leurs rôles respectifs, ils forment un duo qui fonctionne très bien. A voir ! Par contre, petit conseil de la part de la nana qui a regardé ce film une bonne poignée de fois, prévoyez de la grignote (du chocolat en l’occurrence) parce que sinon vous allez mourir dans votre propre bave.
Et vous, quels sont vos thrillers, westerns et films français préférés ?
On arrive sur la fin du 30 Day Movie Challenge, la dernière semaine, les sept derniers thèmes. Les articles de cette semaine seront probablement assez courts, écrits un peu à l’arrache et j’en suis désolée.
Le mois de décembre s’annonce très chargé pour moi, je travaille tous les jours (samedi et dimanche compris), j’ai des dossiers à terminer, une bibliographie à peaufiner et tout ça pour le 11 décembre. Autant dire que mes journées sont très fatigantes, du coup le soir j’ai plutôt envie de me poser avec un livre ou devant une série et de faire dodo haha.
Je ne prends pas le temps de refaire le sommaire avec tous les liens vers les autres articles, ça prend beaucoup trop de temps et c’est chiant, faut le dire. Donc après mon « film d’horreur » préféré, j’enchaine avec mon film de guerre favori !
Jour 23 – Votre film de guerre préféré.
J’aurais pu vous parler de plusieurs films dans cette catégorie. Initialement je voulais caser Le pianiste ici, mais j’ai préféré le mettre au début. Du coup, après réflexion, j’ai décidé de parler d’Inglourious Basterds, sorti en 2009 et déjà abordé par plusieurs autres participantes au challenge. The reader m’est venu à l’esprit, mais ça se passe plutôt après la guerre (c’est quand même un procès contre les crimes de guerre mais bon). De toute façon je compte en parler début 2016 dans un « Du livre au film », patience !
Revenons à nos moutons : Inglourious Basterds, de Quentin Tarantino. Il n’y a pas grand chose à dire je pense. J’aime beaucoup les films de Tarantino que je trouve bien rythmés, dynamiques, drôles. Il y a de l’action, du sang (haha, le mot est faible), de la recherche. Et ce CASTING mes amis.. De la folie (comme toujours). Christoph Waltz est mon chouchou personnellement, ce mec a juste un charisme de malade. J’adore cet acteur.
Dès la première scène on sait que ce film va être génial. Et j’ai apprécié le côté « original », dans le sens où ça change complètement de tous les films traitant de la Seconde Guerre mondiale. S’il y en a d’autres dans le même genre, n’hésitez pas à me les signaler en commentaire, je les découvrirais avec plaisir !
Je commence à voir le bout du 30 Day Movie Challenge, va falloir que je me mette à chercher de nouvelles idées d’articles pour combler le vide. Enfin, avec Noël j’ai quand même quelques petites choses de prévues, c’est l’après qui va être difficile.
Aujourd’hui, je vais être honnête avec vous hein, j’ai grave la flemme de copier tous les liens de tous les articles précédents pour en faire un sommaire. Donc je fais ma rebelle et je zappe cette partie.
*AU BUUUUUCHER*
Jour 22 – Votre film d’horreur préféré.
Alors, franchement, ce thème il m’emmerde. Les choses sont dites. Je ne regarde pas de films d’horreur, je suis une flippette, je déteste ça. Mais vraiment, je rigole pas ! Donc quand on me demande mon film d’horreur préféré, je reste un peu comme un flan.
Pour vous, j’ai fouillé un peu et, bien que ça ne soit pas complètement un film d’horreur mais plutôt une parodie (je crois, corrigez moi si je me trompe), j’ai décidé de parler de Shaun of the Dead ! J’aime beaucoup les films d’Edgar Wright, bien WTF et qui me font tous bien rire. Je viens de me rendre compte que c’était encore un film anglais, je ne suis décidément pas très originale x)
Synopsis (Allociné) :À presque 30 ans, Shaun ne fait pas grand-chose de sa vie. Entre l’appart qu’il partage avec ses potes et le temps qu’il passe avec eux au pub, Liz, sa petite amie, n’a pas beaucoup de place. Elle qui voudrait que Shaun s’engage, ne supporte plus de le voir traîner. Excédée par ses vaines promesses et son incapacité à se consacrer un peu à leur couple, Liz décide de rompre. Shaun est décidé à tout réparer, et tant pis si les zombies déferlent sur Londres, tant pis si la ville devient un véritable enfer. Retranché dans son pub préféré, le temps est venu pour lui de montrer enfin de quoi il est capable…
J’aime pas du tout les zombies (mais je fais des efforts). Par contre j’adore Simon Pegg. Et Bill Nighy est également dans ce film (forcément). Ils ont réussi à me faire aimer les zombies le temps d’un film. Pari difficile mais ce fut un succès.
Selon moi ça rentre dans la catégorie horreur, puisque même si c’est une parodie, on retrouve tous les codes normalement exploités dans les films du genre.