C’est avec grand plaisir que je vous propose aujourd’hui de découvrir le nouveau guide humoristique écrit et illustré par Bénédicte Voile et Coco. Après le body-positive Comment maigrir sans rien manger, elles s’attaquent aux relations de couple avec Le prince charmant est-il une arnaque ?. Le livre a été publié aux éditions Archipoche cette semaine, le 15 mai 2019. Avant de vous donner mon avis, je tiens à remercier la maison d’édition pour l’envoi de cet ouvrage.
ENTREZ DANS L’UNIVERS FABULEUX DE LA VIE A DEUX !
Vous vous demandez pourquoi les contes de fées s’arrêtent toujours à « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants… » ? Vous pensiez avoir séduit le prince charmant et vous vivez avec Shrek ? Eh bien, vous avez gagné… deux journées : une fois achevé vos heures de working girl, à vous les plaisirs de la vie familiale ! Il est donc logique que vous soyez proche de la fission nucléaire par instants. Et il y a ce minuscule chromosome Y qui différencie les deux sexes. Mais quel est son pouvoir magique ? Ou maléfique ? Chaque sexe a ses particularités physiques, psychiques et ses hormones qui s’affolent…
Je vous propose de découvrir mon avis sur un roman qui sort aujourd’hui, jeudi 16 mai 2019, en librairie : Ma vie, en plus sexy. Écrit par Chiara Moscardelli, autrice italienne, il est publié aux éditions Belfond, dans la collection Le Cercle. Elle a publié pour la première fois ce roman en 2011, bien avant Quand on s’y attend le moins, livre avec lequel j’avais découvert sa plume il y a quelques mois. Avant de vous donner mon avis, je tiens à remercier la maison d’édition pour l’envoi de ce livre.
Longtemps, Chiara n’avait qu’un rêve : être une gatta morta, une séduisante mante religieuse déployant ruses et minauderies pour entraîner tous les hommes dans ses filets. Mais n’est pas manipulatrice qui veut. Malheureusement, Chiara est plutôt du genre spontané. Trop spontané. À côté, Bridget Jones passerait presque pour une femme fatale ! Alors qu’âgée de 33 ans elle s’apprête à se faire enlever une tumeur au sein, l’heure est venue pour Chiara de faire le bilan de sa vie. Et s’il n’est pas glorieux, il a le mérite d’être drôle. De l’adolescence à l’âge adulte, en passant par le lycée, la fac, une multitude de boulots, beaucoup de râteaux, et surtout une bande d’amis un brin névrosés mais dévoués, Chiara nous entraîne dans ses tribulations de serial gaffeuse à la recherche du job de rêve et du prince charmant.
Aujourd’hui, c’est le coup d’envoi de la deuxième édition du mois de la romance organisé par Ludo du blog Prends un livre et détends toi. C’est un genre que je lis moins que les autres mais depuis l’année dernière j’aime bien en lire un de temps en temps. Je participe donc de nouveau ce mois de février 2019 ! Dans cet article, je vais vous expliquer brièvement en quoi consiste le challenge puis vous présenter ma PAL. Let’s do this !
# Le mois de la romance, késako ?
C’est tout simple, en ce mois de février on va lire de la romance (pas que hein, mais on va lire un peu plus de romance que d’habitude dans mon cas). Il y a plusieurs niveaux (un peu, beaucoup, passionnément, à la folie), vous pouvez ainsi choisir de lire deux, six, neuf ou douze romances. Si vous voulez en lire plus, personne ne vous en empêche !
Comme promis en début de semaine, je vais vous donner mon avis sur un petit roman que j’ai dévoré le week-end dernier. Quand on parle de Lou est le premier roman que je lis de Julie Gouazé, autrice lyonnaise. Peut-être avez-vous déjà lu Les corps de Lola ou Louise, ses deux autres publications qui me tentent énormément. Son petit dernier a été publié aux éditions Belfond le 4 octobre 2018, dans la collection Pointillés. Je tiens à remercier la maison d’éditions pour l’envoi de ce livre !
» Elle s’appelle Lou et demain elle change de tanière. Elle prend ses louveteaux dans sa gueule pour les emmener ailleurs. Elle défait son couple. Elle déconstruit sa famille. Elle va bâtir sa vie. « C’est avec le cœur serré mais une volonté de fer au fond de sa poche que Lou quitte Marc, l’homme de sa vie. Elle part avec leurs deux enfants. La rage au ventre, elle subit les assauts du monde extérieur devenu féroce. D’abord à terre offrant sa gorge à la morsure, Lou, devenue chef de meute, petit à petit renaît. Puis elle tombe à nouveau amoureuse. D’une femme. Comme dans un conte pour enfants, faussement naïf et terriblement cruel, Julia Gouazé livre avec force et authenticité le combat de Lou contre l’homophobie, révélant le courage de tout laisser derrière soi alors que l’on avait tout pour soi.
Aujourd’hui on se retrouve pour un nouveau Top Five Séries Addict. Quel est le thème du jour mesdames et messieurs ? Les meilleures séries sur les relations familiales. Les séries sur la famille, il y en a à la pelle. Chaque rentrée a droit à son lot de sitcoms sur les familles nombreuses, recomposées, catholiques, « normales », irlandaises, extraterrestres, j’en passe et des meilleures. Si certaines valent le coup d’œil, la plupart ne font pas preuve d’une très grande originalité et sont souvent annulées au bout d’une ou deux saisons. Difficile de faire le tri dans tout ça mais j’ai réussi à en trouver quelques unes qui, à mes yeux, valent la peine d’être vues. Il y en a bien évidemment plus de cinq, j’ai du mal vraiment à m’y tenir haha (il faut que je regarde moins de séries).
# Life in Pieces.
Les grands-parents, les frères et sœurs, les oncles, les tantes, les parents, les beaufs… Dans Life in Pièces les chemins de vie des membres de la famille se croisent et s’entrecroisent. J’ai mis un petit moment à me lancer dans cette série car l’affiche me faisait trop penser à Modern Family et je commençais à en avoir marre des séries comiques sur la famille. Je ne sais plus qui m’a fait changé d’avis mais, en tout cas, j’en suis ravie car cette série est un petit bijou d’humour. Les rapports entre les différents personnages sont de plus en plus approfondis au fil des épisodes, ils me font toujours plus rire et je ne peux que vous encourager à vous lancer !
Petite originalité de la série (ça m’a surpris quand j’ai regardé le premier épisode mais j’adore) : les épisodes sont segmentés en quatre « mini-épisodes », focalisés sur les grands-parents, les parents ou même les enfants. Il y a donc plusieurs histoires dans un épisode !
Comme (presque) tous les vendredis, on se retrouve pour un nouveau Top Five Séries Addict. Saint Valentin oblige, la sélection de cette semaine va évoquer l’amoûûûûûr, la passion ! Je vais vous présenter les cinq plus belles histoires d’amour de séries, les cinq couples qui me font rêver..
Pour rappel, ce rendez-vous a été mis en place par Tequi. Le système est simple, toutes les semaines nous parlerons de certaines séries que l’on regarde, que l’on a regardé ou que l’on veut regarder un jour, selon un thème prédéfini. C’est ouvert à tout le monde, donc n’hésitez pas à vous joindre à nous !
Il est temps pour moi de commencer à faire le point sur toutes les séries qui ont débuté depuis le début du mois de septembre. Si certaines sont de véritables coups de cœur, d’autres sont un peu décevantes, voire franchement nulles. J’ai décidé de diviser l’article en deux parties car j’ai regardé un grand nombre de pilots et il y en a encore quelques uns qui ne sont pas encore sortis.
# This is us.
Selon Wikipédia, en moyenne 18 millions d’êtres humains partagent le même jour d’anniversaire à travers le monde. Mais il existe une famille, dispatchée entre New York et Los Angeles, dont quatre des membres sont nés le même jour ! Voici leur histoire drôle et émouvante…
This is us, c’est vraiment LE coup de cœur série de cette rentrée (et pas que pour moi d’après ce que j’ai pu lire à gauche et à droite). L’intrigue de départ est assez simple mais la série nous présente un ensemble de personnages complexes, intéressants, touchants et surtout attachants. Je ne sais pas trop où ils vont avec tout ça, mais pour l’instant j’adhère complètement, c’est une série de qualité et j’espère que ça continuera sur cette voie ! C’est une véritable ode à la famille, portée par des acteurs absolument formidables. C’est beau, c’est triste, c’est drôle et émouvant. C’est le numéro gagnant de la saison !
# The Good Place.
Après avoir été percutée et tuée par un semi-remorque, Eleanor se réveille dans ce qui semble être la vie après la mort. Lorsque Michael, l’Architecte des lieux, lui apprend qu’elle est au « Bon endroit » compte tenu ses bonnes actions, elle réalise qu’elle a été confondue avec quelqu’un d’autre. L’arrivée d’Eleanor pourrait bien mettre en péril l’équilibre de ce monde où personne ne jure ou ne boit de l’alcool à outrance. La jeune femme va devoir travailler sur elle-même afin de devenir une meilleure personne si elle souhaite conserver sa place dans l’au-delà. Bien entendu, elle sera épaulée par de nouvelles connaissances à l’instar de Chidi, son « âme soeur » qui voit toujours le bon côté des gens, ses voisins un peu trop parfaits Tahani et Jianyu, et enfin Janet, véritable source de savoir ambulante…
Je n’attendais pas grand chose de cette série parce que j’ai beaucoup de mal avec Kristen Bell et j’étais persuadée que le fait qu’elle joue le personnage principal allait me gêner et que j’allais abandonner très vite. Que nenni ! Cette série se révèle en fait être l’une des bonnes surprises de cette rentrée. C’est frais, c’est original. J’aime beaucoup les différents personnages. On rigole bien, il y a quelques scènes très très wtf donc il faut être assez ouverts d’esprit avant de se lancer. J’ai regardé tous les épisodes sortis jusqu’à maintenant, j’ai passé un très bon moment devant chacun d’entre eux. Je trouve que la série réussit à bien se renouveler pour l’instant, il y a des rebondissements plutôt intéressants et prometteurs. J’espère qu’ils réussiront à continuer sur leur lancée. Niveau comédie, je crois que cette série est le petit coup de cœur de cette rentrée. En tout cas c’est celle qui sort le plus du lot !
# Insecure.
Les expériences quotidiennes savoureuses et parfois surréalistes d’une Afro-Américaine à l’aube de la trentaine et de sa meilleure amie délurée…
Nope. Je n’ai pas du tout accroché. Je suis déçue parce que le trailer m’avait vraiment donné envie et je me suis retrouvée face à un truc complètement nul. Faut le dire. J’ai tenté de regarder trois épisodes, histoire de voir si ça se bonifiait avec le temps.. Et bien pas du tout. J’ai trouvé le personnage principal frustrant, peu intéressant et fade. Sachant que la série tourne autour d’elle, ça devient compliqué d’apprécier quoi que ce soit. Je tire un trait dessus, et je ne vous la conseille vraiment pas.
# Kevin Can Wait.
Un policier récemment à la retraite décide de passer plus de temps avec sa femme et ses trois enfants… Sauf qu’il réalise que ce qui l’attend à la maison est pire que ce qu’il a connu dans les rues.
Je n’attendais pas grand chose de cette série et j’ai eu bien raison. L’ensemble est prévisible, déjà vu et décevant. On retrouve le même schéma que dans un grand nombre de séries qui débutent à chaque rentrée et qui sont annulées très rapidement. Les acteurs ne sont pas particulièrement bons, les blagues sont souvent lourdes ou tombent à plat. Niveau comédie familiale, vous trouverez sûrement mieux ailleurs ! 22 épisodes ont été commandés pour l’instant, on verra si la série sera renouvelée. Personnellement je laisse tomber, c’est une perte de temps.
# Loosely Exactly Nicole.
Nicole Byer, jeune femme confiante et irrévérencieuse, vit le rêve hollywoodien à sa façon, entre auditions humiliantes, difficultés à payer ses factures et le champ de bataille que représente Tinder, tout en essayant de trouver sa voix en tant que comédienne.
J’avais bien accroché au pilot de cette série. Malheureusement, au fil des épisodes qui ont suivi j’ai rapidement décroché, jusqu’à décider d’abandonner complètement Nicole. Le personnage s’enfonce de plus en plus dans des clichés plus gros que mon immeuble. La série toute entière d’ailleurs n’est qu’un gros tas de clichés. Ce qui me faisait rire dans le premier épisode devient terriblement répétitif et lourd. La série ne se renouvelle absolument pas et j’ai beaucoup de mal à m’attacher aux personnages tellement ils sont énervants. Je passe mon chemin (et je vous conseille d’en faire de même).
# Better Things.
Le quotidien d’une actrice qui élève seule ses trois enfants.
Better Things raconte le quotidien difficile d’une mère célibataire. J’ai bien accroché au premier épisode mais j’avoue qu’actuellement, je ne suis pas plus emballée que ça. Au bout de six épisodes, je trouve l’ensemble assez inégal. Je me suis attachée au personnage principal mais j’ai beaucoup de mal avec les personnages secondaires, surtout ses trois filles (elles sont toutes insupportables à leur manière). La série explore quelques problématiques intéressantes mais je ne suis pas transcendée par le résultat. La série est censée être drôle mais personnellement je la trouve plutôt dramatique, je peine vraiment à rire. Elle souffre également de pas mal de longueurs, ce qui est assez dommage pour un format court (20 minutes).
Elle aurait déjà été renouvelée pour une saison 2. Pour l’instant, je ne sais même pas si je vais finir la première !
# Mary + Jane.
Jordan et Paige sont deux meilleures amies qui gèrent un service de livraison de cannabis à Los Angeles, les amenant souvent dans des situations cocasses et imprévisibles.
Je n’accroche pas du tout ! J’ai regardé trois épisodes et j’ai arrêté. Les actrices sont mauvaises, le scénario est très faible. Ce n’est pas drôle, on a juste l’impression de suivre la vie pas du tout palpitante de deux dealeuses un peu bê-bêtes. Il y a quelques bonnes idées mais elles sont mal exploitées. A mon sens, la série n’a absolument aucun intérêt et, par la même occasion, aucun avenir.
# Timeless.
Un criminel mystérieux vole une machine à voyager dans le temps top-secrète. Il veut détruire les Etats-Unis en modifiant le passé. Le seul espoir est dans une petite équipe formée d’un scientifique, d’un soldat, et d’une professeur d’histoire. Ils doivent utiliser un prototype de la machine pour poursuivre le fugitif, mais faire attention à ne pas changer l’histoire à leur tour.
Timeless est, à mon sens, l’une des séries les plus prometteuses de cette rentrée. J’en attendais beaucoup et j’avoue ne pas être déçue. J’aime bien l’idée du voyage dans le temps pour sauver l’Histoire (même si le côté « sauvons l’Amérique » est peu énervant). Chaque épisode nous immerge complètement dans un moment historique et on a pas le temps de s’ennuyer. Ces quelques premiers épisodes soulèvent beaucoup de questions très intrigantes qui promettent des rebondissements intéressants et j’ai hâte de découvrir le reste de la série, en espérant que les scénaristes ne se perdent pas en chemin et continuent sur cette voie !
# Easy.
Easy suit des habitants de Chicago de tous horizons pris dans les méandres de l’amour, du sexe, de la technologie et de la culture.
J’ai regardé seulement trois épisodes de cette série proposée par Netflix. J’avoue ne pas avoir été impressionnée du tout. Les épisodes m’ont mis mal à l’aise, je n’ai pas réussi à m’attacher aux différents personnages présentés (sachant que chaque épisode présente des couples différents donc pas vraiment le temps de s’y attacher de base). La série n’a pas vraiment d’intérêt, les dialogues sont creux, on s’ennuie très rapidement… Je peine à voir ce que Netflix a voulu faire avec tout ça. Je ne chercherais pas à le savoir, j’abandonne !
# No tomorrow.
Une femme sérieuse, responsable des achats pour un business du genre d’Amazon, tombe amoureuse d’un homme qui vit sa vie à fond, car il est convaincu que l’apocalypse va bientôt de produire. Le couple s’embarque alors dans une quête pour réaliser leur bucket list.
Je ne m’attendais pas à un format de 40 minutes pour cette série, mais au final c’est pas plus mal. Les premiers épisodes m’ont bien plu, même si je ne suis pas sûre que ça puisse fonctionner sur la durée. L’idée de base est intéressante et originale, il y a beaucoup de situations assez cocasses et drôles, les personnages sont attachants. Je suis ravie de retrouver Joshua Sasse dans un rôle qui lui va aussi bien. Pour l’instant je prends beaucoup de plaisir à découvrir les épisodes chaque semaine. Ce qui me fait vraiment peur c’est le renouvellement, le concept peut devenir lassant assez vite. A voir !
# Speechless.
Maya DiMeo est une mère de famille prête à tout pour combler son mari Jimmy ainsi que ses enfants Ray, Dylan et surtout JJ, son fils aîné souffrant d’infirmité motrice cérébrale. Alors que Maya se bat contre des injustices aussi réelles qu’imaginées, la famille DiMeo fait son maximum pour rester soudée tout en cherchant la bonne personne capable d’apporter le soutien nécessaire à JJ.
On retrouve ici Minnie Driver dans un rôle assez semblable à celui qu’elle avait dans About a boy. Cette série n’est pas très originale, je ne pense pas qu’elle ait un avenir très prometteur. Pour l’instant j’ai quand même apprécié les quelques épisodes que j’ai pu voir. Les différents membres de la famille sont plutôt attachants et il y a quelques bons passages. Dans l’ensemble on rigole bien, même s’il y a quelques blagues un peu lourdes ou déplacées. Je trouve également qu’on tombe rapidement dans le cliché, ce qui pourrait m’énerver sur le long terme. Pour l’instant je continue, on verra si la situation évolue d’ici quelques épisodes. Mais honnêtement, je ne pense pas que la série ira très loin.
Et voilà pour cette première partie du bilan des pilots de la rentrée ! Je vous avoue que dans l’ensemble je suis assez déçue des nouveautés, il n’y a qu’une petite poignée de série qui valent vraiment le coup ou que je continue à regarder parce qu’elles ne sont pas prise de tête et que je passe un bon moment devant. Je ne suis pas devin, je ne peux pas prédire l’avenir de toutes ces séries, mais je pense qu’un certain nombre vont passer à la trappe (j’espère qu’ils vireront les bonnes, des fois ils font vraiment des choix difficiles à comprendre).
Je reviens très vite avec la suite du bilan, il me reste encore quelques très bonnes séries à vous présenter (et quelques très mauvaises mais bon, ça arrive).
J’espère que vous passez un chouette week-end de Pâques, je vous avoue que je ne sais pas si je vais vous faire un point culture complet, je vais peut-être garder quelques petites choses pour dans deux semaines. Je suis rentrée chez papa-maman pour trois jours, j’aimerais bien en profiter au maximum haha (entendez ici « je vais me gaver de couscous, de tarte aux pommes et de chocolat jusqu’à étouffement »). Maintenant que tout le monde dort (oui, j’écris cette article pendant la nuit, je suis une rebelle), je vais profiter du changement d’heure pour en écrire le plus possible et vous dire ce qu’il s’est passé culturellement parlant ces deux dernières semaines chez ibidouu !
Livres lus.
# Fahrenheit 451.
451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s’enflamme et se consume. Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif. Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d’un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l’imaginaire au profit d’un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé.
Je me suis lancée dans la lecture de Fahrenheit 451 dans le cadre du Book Club de mars sur Livraddict. Je n’en attendais pas grand chose, je l’avoue. Apparemment c’est un « classique » de la littérature SF.. Si le résumé m’a plu (en tout cas il m’a intrigué), j’ai assez vite déchanté au fil des pages.
Les idées de fond sont bonnes, très bonnes même pour certaines. Mais elles sont mal exploitées. Je n’ai pas du tout accroché à la plume de Bradbury, je l’ai trouvé chiant et fouillis. Après avoir tourné la dernière page, je me suis juste dit « Ah. Ok. ».. Pas terrible, n’est ce pas ? Je n’ai pas accroché au personnage de Montag, ni à aucun autre personnage d’ailleurs. Ils sont tous fadasses et ils me font tous un peu pitié, mais je pense qu’au final c’était un peu le but. C’est un roman plat, avec quelques rares rebondissements par-ci par-là. On ne ressent pas vraiment d’émotions, ce qui est vraiment dommage ! Mieux traités, certains passages auraient pu être très forts et avoir un réel impact sur le lecteur (sur moi en tout cas).
Tout n’est pas à jeter, il y a quelques bons passages, l’univers dans lequel évolue Montag est fascinant (et effrayant, un peu).. Et le livre se lit finalement assez vite. Je n’ai pas spécialement accroché mais j’ai quand même l’impression d’avoir lu quelque chose d’important (je sais pas si vous voyez ce que je veux dire), un roman qui a son importance dans l’évolution de l’histoire de la science-fiction.. Je pense qu’il faut lui laisser sa chance. Personnellement c’était pas le kiff total, mais les avis sont tellement nuancés qu’il faut se faire son avis tout seul !
13/20
# Tous en coeur.
Dans cette comédie romantique inédite signée Adama Mané, les vies se croisent et se décroisent, toujours guidées par un seul maître, l’amour. Une déclinaison du mot cœur à travers une palette d’émotions. Lorsque Caroline s’aperçoit que sa grand-mère l’a inscrite sur un site de rencontre sans lui en parler, elle réalise qu’il est peut-être temps de trouver l’amour et surtout qu’il est grand temps d’oublier Lucas, l’homme qui lui a brisé le cœur.
Mais ce nouveau départ pourrait bien la conduire à vivre des aventures et des déceptions auxquelles elle ne s’attend pas. Sa vie va être totalement bouleversée. Même si sa famille et ses amis sont là pour l’épauler, ils vivent également, de leur côté, des événements qui vont les changer à jamais. Sally, sa meilleure amie, commence à avoir des doutes sur la fidélité de son mari. D’autres, comme Christelle, ont déjà découvert la vérité. La question est de savoir, comme le dit la chanson, si, réellement, toutes les histoires d’amour finissent mal ou pas… en général !
Après ma lecture très mitigée de Fahrenheit 451, je me suis laissée tenter par le nouveau roman d’Adama du blog A trois on sourit. Si le roman a quelques défauts, il a le mérite d’être très divertissant ! J’avoue avoir eu beaucoup de mal à le lâcher et je l’ai lu très très rapidement. Si vous cherchez une comédie romantique, ce livre est probablement fait pour vous !
L’histoire est riche en personnages aux parcours (relativement) différents, qui se croisent, se rencontrent, se quittent, tombent amoureux.. Il y en a pour tous les goûts haha. Je pense que ce roman pourrait tout à fait être adapté en film. Et c’est là un des seuls reproches que je pourrais lui faire : on fait parfois un peu dans le cliché, on retrouve vraiment tous les codes de la comédie romantique hollywoodienne. Mais finalement, ça n’a pas vraiment dérangé ma lecture. La fin ne m’a pas du tout surprise, mais c’est plutôt commun pour une lecture du genre (en tout cas dans mon cas, en aurais-je trop lu/vu ?).
Je n’ai pas accroché à tous les personnages. J’avoue que j’ai trouvé le personnage principal parfois un peu naïf et imbu de sa personne, et des fois j’avais juste envie de lui faire des câlins de réconfort. Je ne suis pas du tout contradictoire comme nana. Par contre j’ai adoré la grand-mère ! J’aurais vraiment aimé que son histoire soit un peu plus développée. Et j’ai plutôt bien apprécié le côté un peu « policier »/enquête avec l’histoire de Xavier et Sally, ça mettait un peu de suspense héhé !
Sinon la lecture est fluide, j’aime beaucoup la façon d’écrire de l’auteure. C’est dynamique, c’est drôle, c’est naturel. Ça passe tout seul. Au début j’avais presque l’impression d’être entre copines ! J’ai par contre été parfois un peu décontenancée quand d’un paragraphe à un autre on changeait de personnage sans transition. Mais, encore une fois, rien de bien gênant.
Ce roman était donc une très agréable surprise que je vous recommande si vous aimez les comédies romantiques, les romans pas prise de tête qui vous permettent de vous changer les idées, de passer un bon moment !
15/20
# Animale, La prophétie de la Reine des Neiges.
Et si le plus merveilleux des contes cachait le plus sombre des complots ?
1833, sur une île perdue du Danemark. Elle s’appelle Blonde, il se nomme Gaspard. Elle est animale, il est fou d’elle. Le destin s’apprête à les arracher l’un à l’autre : ils sont les victimes d’une prophétie qui bouleversera le monde à jamais. Blonde parviendra-t-elle à déjouer les plans de l’énigmatique Reine des neiges, avec pour seul allié un jeune écrivain nommé Andersen ?
Je ne sais pas si vous vous en souvenez, il y a quelques semaines/mois j’avais lu le premier tome d’Animale, de Victor Dixen. Il m’avait plu mais il n’y avait pas eu de coup de coeur, je n’avais pas été pleinement convaincue. J’avais d’ailleurs trouvé la fin un peu bâclée. BREF. J’ai lu le deuxième tome. Et j’ai trouvé ça beauuuucouuuuup mieux.
On entre directement dans l’histoire et jusqu’au bout (vraiment, je rigole pas) on ne peut pas le lâcher. J’avoue être encore un peu déçue par la fin, on nous monte tout un truc de folie sur 400 pages par rapport à la Reine des neiges et en fermant le livre on a un peu envie de dire « tout ça pour ça ». Mais franchement, vu les 400 pages de folie qu’il y a eu juste avant, je m’en fous, ça reste une fin satisfaisante. Blonde saute de situation folle en situation folle, se créant des alliés dans les endroits les plus inattendus. Les rebondissements sont nombreux et on a l’impression de courir après Blonde pendant une grande partie du roman (complètement essoufflée pour ma part).
J’avoue avoir beaucoup apprécié le fait que le roman soit construit comme une correspondance avec Andersen. J’ai aimé retrouver ce côté historique et recherché que j’avais découvert dans le premier tome, mais aussi ce côté fantastique et original beaucoup plus approfondi. Dixen va plus loin et franchement, ça valait le coup.
Je n’ai pas envie de spoiler donc je m’arrête là. Pour ceux qui ont lu le premier, le deuxième tome vaut le détour ! Je ne suis pas déçue d’avoir décidé de continuer. Et pour ceux qui n’ont rien lu du tout, lisez donc les deux. C’est sympathique comme tout !
16/20
J’ai également lu un essai intitulé Petit éloge des séries télé, je lui dédierais un article pour lui tout seul !
Point BD.
# Les promeneurs sous la lune.
Conte urbain vantant l’amour, Les Promeneurs sous la Lune nous emmène dans l’épopée nocturne de Napoleon Cavallo qui découvre, non sans étonnement, qu’il est somnambule. Plusieurs nuits, dans un laps de temps assez rapproché, il se retrouve ainsi dans le lit de la douce Linh Yu. Cette dernière, quant à elle, n’attendait rien d’autre de la vie qu’on la laisse tranquille. Malheureusement pour elle, elle n’est pas au bout de ses surprises.
Ça faisait un moment que j’attendais de pouvoir emprunter Les promeneurs sous la lune, après l’avoir découvert sur le blog de.. (quelqu’un ? ça fait tellement longtemps que je l’attends que je ne sais plus !)
J’ai été un peu déçue. Je pense que mes attentes devaient être trop grandes, je ne sais pas. J’ai trouvé l’histoire un peu bâclée. Ils auraient pu continuer sur plusieurs pages encore, ça n’aurait pas été de trop. J’ai l’impression que tout va très vite, comme en accéléré et qu’on a jamais vraiment de réponses.. Ça reste une joli histoire d’amour et les dessins sont absolument magnifiques. Mais pas de coup de coeur de mon côté !
14/20
# Sixteen Kennedy Express.
1968, États Unis, une petite ville « in the middle of nowhere » bordée par les champs de blé à perte de vue et seulement animée par le chantier de son Mall en construction… Rob, 14 ans, a le bras dans le plâtre depuis un stupide accident, qui le prive du bénéfice des petits boulots d’été. Il s’ennuie ferme. Un évènement imprévu (le passage du train funéraire transportant la dépouille de Robert F. Kennedy – assassiné – à travers la moitié des États-Unis) va lui permettre de rencontrer une jeune fille nommée Sixteen qui aura16 ans à la fin de l’été, et qui : «j’te jure que dès que j’ai 16 ans je me casse de ce bled pourri… » Rob va partager cet été avec elle, et en tomber fou amoureux. Du haut de ses 14 ans, Il n’y connaît rien aux filles… Aussi handicapé par ses sentiments que par son bras dans le plâtre…
J’ai emprunté cette BD pour sa couverture (mais ça je pense que ça ne vous étonne plus). Gros coup de coeur pour la couverture. Et après.. J’ai moins accroché. Les dessins sont plaisants mais la palette de couleurs est trop réduite et au bout d’un moment tout se mélange, c’est confus, c’est monotone et c’est dommage. En ce qui concerne l’histoire, elle est intéressante, surtout sur la fin, lorsque Rob et Sixteen mènent l’enquête et font face aux dures réalités de la ségrégation et des inégalités raciales à la fin des années 60. Mais ce n’est pas non plus ce à quoi je m’attendais. On est loin du coup de coeur pour le contenu mais, globalement, ça reste une lecture agréable (mais sans plus).
13/20
# La page blanche.
Une jeune femme reprend ses esprits sur un banc sans se rappeler ni de son nom ni de ce qu’elle fait là. Menant l’enquête tant bien que mal, elle tente de recouvrer la mémoire et de retrouver son identité. Mais que va-t-elle découvrir ? Un passé romanesque fait de drames et de romances ou l’existence banale d’une femme ordinaire ? Et dans ce cas, saura-t-elle devenir quelqu’un après avoir été quelconque ?
J’aime beaucoup les dessins de Pénélope Bagieu donc bon, sans surprise, j’ai adoré cette BD visuellement parlant. En ce qui concerne le contenu.. On partait de quelque chose de super intéressant, traité avec humour et détachement. Le développement suivait son cours, de façon toujours très intéressante. Les questions d’identité, de découverte de soi étaient traitées avec justesse. On sentait qu’on approchait du but eeeeeet.. J’ai pas compris. J’ai pas compris pourquoi cette fin. On ne sait même pas ce qu’il se passe dans son cerveau au final. Ou alors il y avait une métaphore que je n’ai pas su attraper au vol. Je suis dé-çue. Je ne voulais vraiment pas que ça finisse comme ça. Mais bon, je peux pas avoir tout ce que je veux dans la vie. C’est quand même une BD que je vous recommande chaudement, rien que pour tous les films que se fait la personnage principale avant de rentrer chez elle. Elle aura eu le mérite de me faire rire. Et d’être très jolie.
15/20
# Porcelaine, tome 1 : Gamine.
Dans un monde presque identique au nôtre, comme un écho magique de la Terre, Gamine, une enfant au caractère bien trempé, n’accepte pas la violence de la rue à laquelle elle est confrontée. Décidée à fuir le froid de Snowy City, elle trouve refuge chez le porcelainier. Ce vieil homme bienveillant vit là, entouré de ses automates. Une seule condition à leur cohabitation : ne JAMAIS pénétrer dans son atelier…
Cette BD est le premier tome d’une série qui débute tout juste et dont la suite n’a pas encore été publiée (mais ça ne saurait tarder). J’ai trouvé les dessins très beaux et l’histoire fascinante. On est plongés dans un univers assez sombre, plutôt glauque par moments, voire flippant ! Si la BD n’est pas sans rappeler le conte de Barbe Bleue, on est projetés dans une ambiance beaucoup plus fantastique et mystérieuse, peuplée d’automates qui cachent un lourd secret. On arrive difficilement à lâcher l’ouvrage dont on tourne fiévreusement les pages. C’est un excellent premier tome et j’ai très hâte de tenir la suite entre mes mains !
17/20
# Poulbots.
Au coeur de la butte Montmartre, nous suivons cinq enfants pauvres, petits poulbots qui vont avoir maille à partir avec un promoteur immobilier véreux bien décidé à les déloger de leur mare aux grenouilles.
Cette fable urbaine, chronique d’un lieu et d’une époque en pleine mutation, prend le contrepied du Montmartre présent dans l’imaginaire collectif. Nous y croisons Poulbot, Steinlen, Bruant, Dorgeles, … ces artistes devenus emblématiques de Montmarte, quartier mis à l’honneur dans le récit, mais celui-ci met avant tout l’accent sur ces indigents qui évoluent en marge de la bohême, et dont la principale préoccupation est de survivre. Des familles sont expropriées faute de pouvoir payer leur loyer, notamment celle de l’un des protagonistes, ce à quoi nos poulbots comptent remédier en kidnappant le fils du promoteur immobilier pour demander une rançon.
Le petit bourgeois va se retrouver immergé dans l’univers et le quotidien de ces miséreux. C’est un vrai choc culturel. Peu à peu, il va tisser des liens d’amitié avec eux. Jamais il n’aura été aussi heureux que parmi ces gamins. Cette histoire met en lumière la pauvreté qui régnait sur la butte à l’époque, mais de façon légère ; à travers les aventures de cinq enfants, que le dénuement a abîmé mais pas brisé. Frondeurs et gouailleurs, ils luttent pour préserver le peu qu’ils ont : leur terrain de jeu, leur coin de paradis. A la fin, la guerre fait irruption sur le devant de la scène. Petites histoires sur fond de grande Histoire. La bataille a fauché bien des vies, enfants du Maquis comme privilégiés, tous logés à la même enseigne. La guerre balaie les différences de classe.
Poulbots nous plonge dans un Paris historique, un Paris d’avant-guerre, sur la butte Montmartre plus précisément, où un certain nombre de personnages évoluent dans la misère. La BD rend hommage à l’artiste Francisque Poulbot, dessinateur et illustrateur français décédé en 1946. Ce dernier représentait beaucoup les enfants de rue, les « titis parisiens ». Cette bande-dessinée représente donc ces titis dans leurs aventures, cherchant à protéger l’endroit où ils vivent et à se faire un peu d’argent pour sortir de la misère. Tout en restant bien entendu des enfants. J’ai trouvé l’histoire sympathique sans pour autant qualifier cette lecture de coup de coeur. J’ai adoré visiter le vieux Paris par le biais des dessins de Patrick Prugne, réalisés à l’aquarelle. Le rendu est magnifique. L’objet livre est très beau et complet, proposant notamment à la fin un carnet de croquis très agréable à feuilleter. Si vous avez l’occasion de croiser cette BD n’hésitez pas à la lire, ou du moins à la feuilleter pour voir toutes les jolies choses qu’elle renferme !
14/20
Films vus.
# Brooklyn.
Dans les années 50, attirée par la promesse d’un avenir meilleur, la jeune Eilis Lacey quitte son Irlande natale et sa famille pour tenter sa chance de l’autre côté de l’Atlantique. À New York, sa rencontre avec un jeune homme lui fait vite oublier le mal du pays… Mais lorsque son passé vient troubler son nouveau bonheur, Eilis se retrouve écartelée entre deux pays… et entre deux hommes.
Brooklyn est un joli film sur l’immigration. C’est le mot je pense, « joli ». C’est une jolie mise en scène, il y a quelques très belles images, quelques très belles scènes. Le film n’est pas très original, rien de folichon, mais j’ai quand même passé un bon moment. Les personnages sont tous attachants. Saoirse Ronan est très bonne dans le rôle d’Eilis. C’est une actrice que je ne connais que très peu, il faut que je découvre plus de films dans lesquels elle a joué. En tout cas elle m’a largement convaincue. Je la trouve douce, élégante (elle a des tenues trop belles !) et forte. Je ne vais pas m’étaler pendant 115 ans, le film est sympathique mais sans plus. Honnêtement, comme je l’ai dit plus haut, il n’y a rien d’original, rien de nouveau dans le traitement de l’immigration (alors que pourtant, ils auraient pu, il y a de la matière).. Le film est en soi assez prévisible. Mais c’était chouette quand même !
14/20
# Kung-Fu Panda 3.
Po avait toujours cru son père panda disparu, mais le voilà qui réapparait ! Enfin réunis, père et fils vont voyager jusqu’au paradis secret du peuple panda. Ils y feront la connaissance de certains de leurs semblables, tous plus déjantés les uns que les autres. Mais lorsque le maléfique Kaï décide de s’attaquer aux plus grands maîtres de kung-fu à travers toute la Chine, Po va devoir réussir l’impossible : transformer tout un village de pandas maladroits et rigolards en experts des arts martiaux, les redoutables Kung-Fu Pandas !
Mouais. Ça faisait un petit moment qu’on voulait voir Kung-Fu Panda 3 et on l’a enfin trouvé en bonne qualité. Donc on s’est lancé et on a été un peu déçus. Honnêtement je n’avais pas de très grandes attentes. On en est quand même au troisième film, et en général ces suites ne sont guère satisfaisantes (L’âge de glace et Shrek, par exemple, ont perdu beaucoup au fil des années je trouve). La franchise est synonyme d’argent plus que de chef d’oeuvre. Il y a quelques bonnes choses, tout n’est pas à jeter. Le rythme est bon, les personnages sont attachants (ravie d’avoir enfin rencontré les pandas), il y a quelques bonnes répliques. Mais finalement ce sont presque toujours les mêmes choses. Rien d’original, on réarrange juste quelques petits trucs, on change de méchant et hop hop hop, on a une suite. Dommage qu’ils ne se renouvellent pas plus que ça ! C’est un divertissement qui se laisse regarder mais que je ne verrais pas deux fois.
13/20
# Mon voisin Totoro.
Un professeur d’université, M. Kusakabe, et ses deux filles, Satsuki, onze ans, et Mei, quatre ans, s’installent dans leur nouvelle maison à la campagne. Celle-ci est proche de l’hôpital où leur mère est hospitalisée. Les deux enfants vont alors faire la rencontre des esprits de la forêt.
J’ai enfin regardé Mon voisin Totoro haha. Ça nous a pris comme ça, l’autre soir. J’ai agrandi un petit peu ma culture générale en regardant ce qui est apparemment un classique des studios Ghibli. Honnêtement je m’attendais à beaucoup plus. Le film est très court et à la fin, je n’ai pas pu m’empêcher de lâcher un « c’est tout ? ». C’est très simple, ça casse pas trois pattes à un canard comme on dit. Mais c’est chouette. J’ai aimé beaucoup de choses dans ce petit dessin animé qui met de bonne humeur. C’est ça en fait, le film respire la bonne humeur, la joie et l’innocence. On retrouve également toute la magie de l’univers de Miyazaki (petit clin d’oeil au chat-bus, je veux le même) et la musique est superbe. Donc, pour moi, c’est une bonne découverte mais ce n’est pas non plus hyper transcendant. Je m’attendais sincèrement à plus. Mais c’est un joli film, à regarder avec des petits je pense pour plus de magie.
15/20
# La Cinquième Vague.
Cassie Sullivan, adolescente de 16 ans, essaie de survivre dans un monde en proie à des invasions extraterrestres, appelés Les Autres, ayant déjà décimé la population et part à la recherche de son frère.
Je tiens à préciser que je n’ai pas lu le roman, donc je ne fais pas une critique de l’adaptation mais juste du film en soi. Je me jette dans le bain, je n’ai pas adoré. Beaucoup de petits détails m’ont gênée dans ce film plutôt prévisible (reste à voir la suite, peut-être que ça s’améliorera haha). Si les acteurs sont globalement bons (j’ai quand même vu Chloé Moretz dans de bien meilleurs rôles), je n’ai malheureusement absolument rien ressenti. Aucune émotion. C’est bête quand même quand tu regardes un film sur la fin de l’humanité.. Je pense qu’en fait le film n’est pas fini, ils n’ont pas cherché à aller plus loin que le public ciblé, c’est à dire les adolescents. On reste un peu sur notre faim du coup, attendant le « petit truc en plus » qui ne viendra finalement jamais. Après tout n’est pas mauvais. Il reste le côté « spectacle », les effets spéciaux sont plutôt pas mal. C’est déjà ça ! Mon avis est donc assez mitigé. S’il y a une suite je la regarderais par curiosité. Mais ça ne restera certainement pas gravé dans les annales. Rien d’original ici, vous pouvez passer votre chemin, ce ne sera pas un problème !
11/20
Séries débutées.
Je tiens bon les gars ! J’ai toujours pas commencé de nouvelles séries (trop de fierté) ! Par contre je suis ENFIN à jour dans :
Pretty Little Liars
Doctor Who
Teen Wolf
Once upon a time
Younger
Je vous fais plein de bisous les copains ! Mangez pas trop de chocolats ! Et peut-être à demain pour les trouvailles, si j’ai le temps pendant la nuit haha.
Aujourd’hui, St Valentin oblige (trop pas), j’ai décidé de vous concocter un petit top 10 des comédies romantiques que vous pourriez regarder avec votre copain. Ou toute seule. Toute seule c’est bien aussi ! Mais qui a dit que les garçons (ou les hommes, pardon) n’aimaient pas les comédies romantiques ou les « films de filles » ? Ce n’est pas forcément leur genre de prédilection, mais je pense qu’ils savent apprécier ce type de film de temps en temps haha. Fun fact : c’est mon copain qui m’a montré Confessions d’une accro du shopping pour la première fois. J’avoue que vu ce qu’on regardait autrement, ça m’a surprise. Comme quoi !
Bien que j’essaye de caser Love actually dans toutes mes sélections films (et là ça colle plutôt bien au thème), je ne le mettrais pas dans l’article (à part dans cet aparté, notez comment je suis pas subtiiiiile). Allez, petite sélection…
Cet article est entièrement approuvé par mon copain. (Si ça peut aider.)
# I give it a year – Mariage à l’anglaise.
Vu au cinéma (il y a deux ans je crois), très drôle !
# What’s your number ? – (S)ex List.
Une comédie assez « classique » mais on passe plutôt un bon moment.
# Crazy, stupid, love.
Une de mes comédies romantiques préférées 🙂
# About time – Il était temps.
Bill Nightyyyyyyyyyy !
# Silver Lining Playbook – Happiness Therapy.
Gros coup de coeur pour ce film au casting complètement fou !
# Hitch.
Pas ma comédie préférée mais on passe un bon moment !
# Eternal sunshine of the spotless mind.
Une des meilleures comédies romantiques de tous les temps !
# Man up.
Je vous en ai déjà parlé dans un point culture : ***.
# Cashback.
Désolée pour la qualité un peu pourrave de la bande-annonce, c’est vraiment un très très chouette film que je vous recommande fortement !
# Moonrise Kingdom.
Un des meilleurs Wes Anderson selon moi !
Voilà, j’espère que vous arriverez à trouver votre bonheur dans cette petite sélection !
Bonne St Valentin, que vous aimiez cette fête ou non. Profitez, comme tous les jours de l’année, de votre aimé(e) et faites quelque chose qui vous plait.