Coucou les paupiettes !
Le moment est venu de partager mon avis sur le dernier finaliste de cette édition 2022 du PLIB. J’ai personnellement décidé de ne pas candidater pour poursuivre l’aventure, bien que j’ai adoré l’expérience ces dernières années. Manque de temps, mais aussi de motivation. Je réalise que je n’ai plus envie de me « forcer » à lire des romans, même dans le contexte d’un prix aussi intéressant que celui-ci (j’en lis déjà suffisamment pour le boulot, j’ai besoin de me laisser guider par mes envies haha). Je me retrouve également de moins en moins dans les sélections des jurés, et la plupart de mes lectures ont été des flops cette année, je ne vais pas vous mentir. Les rares que j’ai aimé n’ont pas été très loin dans l’aventure… Je continuerai tout de même à suivre les sélections de près, et il y a des chances que je lise certains des sélectionnés de l’année prochaine, mais je ne me mets plus de contraintes.
La chronique du jour est consacrée à Une couronne d’os et d’épines, premier roman d’Emily Norsken publié aux éditions Les trois nornes en septembre 2021. Cette petite brique de plus de 500 pages, découpée en plusieurs parties entrecoupées de contes en lien avec l’univers imaginé par l’autrice, était également mon premier ouvrage de cette maison d’édition.
Servir le royaume qu’importe le prix, qu’importe le moyen.
Bien au Nord, sur le royaume de Cnàimh, les Dieux, les Anciens et le Os veillent. Le souvenir du roi Teodor dit le Boucher hante toujours ses habitants. Pour survivre aux hivers glacials du dieu Wyrn, ces terres doivent rétablir les alliances défaites sous la lame des conquêtes du feu dirigeant sanguinaire.
Nayla appartient au sang sombre, la chamane l’a désignée ainsi lors de son rituel de passage. Corbeau, elle devra devenir. Elle doit rejoindre cet ordre de femmes pour devenir les yeux et les oreilles du roi des Os, Ingvar le Juste. Guidée par la Reine des Corbeaux, Frihër Agn, Nayla devient Nå, son héritière.
