Est-ce qu’il ne serait pas temps pour moi de vous partager mon avis sur le dernier roman de Clémentine Beauvais ? Vous savez, celui qui est sorti le 24 août 2022 ? Publié aux éditions Sarbacane ? Les Facétieuses ! Vous en avez très probablement déjà entendu parler puisqu’il faisait partie des sorties les plus attendues de la rentrée littéraire jeunesse/young adult, mais je vais vous rafraîchir un peu la mémoire, si vous le voulez bien.
Paris, XXIe siècle. Autrice jeunesse en manque d’inspiration, Clémentine Beauvais s’interroge sur la disparition des marraines et de leur magie après la Révolution française et plus particulièrement sur l’identité de la bonne fée du prince Louis XVII.
Je vous propose aujourd’hui d’en découvrir un peu plus sur le dernier roman d’Ann Granger publié aux éditions 10/18 : le tome 5 de la saga Campbell et Carter ! A la racine du malfait suite à Cottage, fantômes et guet-apens ; Manoir, magouilles et coq-au-vin ; Brasier, héritage et coup du sort ; et Pluie, pubs et chouettes hulottes. Le roman est disponible en librairie depuis le 15 septembre 2022 !
Quand le corps d’un homme est retrouvé dans la forêt de Cotswold, une balle dans la tête, tout fait penser à un suicide. Mais la police ne se fie pas aux apparences et repère rapidement qu’il n’en est rien. Lorsque les enquêteurs Ian Carter et Jess Campbell commencent les interrogatoires, quelque-chose cloche : le binôme se rend rapidement compte que la victime était loin de faire l’unanimité dans la petite communauté de Cotswold. Malgré l’aide financière que lui donnait sa belle-sœur dans le dos de son mari, l’homme accumulait les dettes et sombrait doucement dans le désespoir. Alors que Ian Carter et Jess Campbell progressent dans l’enquête, les masques tombent et une rancœur amère est révélée, dévoilant ainsi le profil d’un tueur.
Le moment est venu de partager mon avis sur le dernier finaliste de cette édition 2022 du PLIB. J’ai personnellement décidé de ne pas candidater pour poursuivre l’aventure, bien que j’ai adoré l’expérience ces dernières années. Manque de temps, mais aussi de motivation. Je réalise que je n’ai plus envie de me « forcer » à lire des romans, même dans le contexte d’un prix aussi intéressant que celui-ci (j’en lis déjà suffisamment pour le boulot, j’ai besoin de me laisser guider par mes envies haha). Je me retrouve également de moins en moins dans les sélections des jurés, et la plupart de mes lectures ont été des flops cette année, je ne vais pas vous mentir. Les rares que j’ai aimé n’ont pas été très loin dans l’aventure… Je continuerai tout de même à suivre les sélections de près, et il y a des chances que je lise certains des sélectionnés de l’année prochaine, mais je ne me mets plus de contraintes. La chronique du jour est consacrée à Une couronne d’os et d’épines, premier roman d’Emily Norsken publié aux éditions Les trois nornes en septembre 2021. Cette petite brique de plus de 500 pages, découpée en plusieurs parties entrecoupées de contes en lien avec l’univers imaginé par l’autrice, était également mon premier ouvrage de cette maison d’édition.
Servir le royaume qu’importe le prix, qu’importe le moyen. Bien au Nord, sur le royaume de Cnàimh, les Dieux, les Anciens et le Os veillent. Le souvenir du roi Teodor dit le Boucher hante toujours ses habitants. Pour survivre aux hivers glacials du dieu Wyrn, ces terres doivent rétablir les alliances défaites sous la lame des conquêtes du feu dirigeant sanguinaire. Nayla appartient au sang sombre, la chamane l’a désignée ainsi lors de son rituel de passage. Corbeau, elle devra devenir. Elle doit rejoindre cet ordre de femmes pour devenir les yeux et les oreilles du roi des Os, Ingvar le Juste. Guidée par la Reine des Corbeaux, Frihër Agn, Nayla devient Nå, son héritière.
On se retrouve aujourd’hui pour parler d’un des deux derniers finalistes du PLIB 2022 qu’il me reste à chroniquer : Encens, écrit par Johanna Marines et publié aux éditions SNAG en juin 2021.
Nouvelle Orléans, 1919. Alors que le tueur à la hache sème la terreur dans les rues et nargue les enquêteurs, le corps mutilé d’une jeune femme est découvert en ville. Que signifient ces notes de musique et ces marques de brûlures retrouvées sur sa peau et ces étranges plumes métalliques plantées dans son dos ? Pour les inspecteurs Perkins et Bowie, une nouvelle enquête s’ouvre. Se pourrait-il qu’un deuxième meurtrier soit à l’œuvre ? Que faire quand deux tueurs en série rivalisent de cruauté et que la ville devient leur terrain de jeu ? Plongez au cœur des Bayous où le jazz est roi et prenez de la hauteur à bord du Mécanic Hall, un aérocabaret où les dancing-automates sont devenus des déesses de la fête. Découvrez le passé trouble de Grace, une intrépide cartomancienne et de sa chouette mécanique et sautez de toits en toits aux côtés des désembobineurs qui collectent l’électricité pour la New Orleans General Electric Company.
Je vous propose aujourd’hui de découvrir une des dernières publications des éditions L’Archipel (collection Instants Suspendus). La délicieuse imposture du chant des sirènes est le nouveau roman de Charlotte Léman, dont j’avais découvert la plume l’année dernière avec Si la vie te donne des citrons, fais-en une tarte meringuée. Il a été publié le 16 juin 2022 ! Un grand merci à la maison d’édition pour l’envoi de ce livre.
Jeune trentenaire, Claire se laisse un peu trop bercer par les illusions. Un samedi matin, dans les rayons d’une librairie, elle choisit un roman à la hâte : 422 pages qui vont chahuter son quotidien, au point de questionner son couple. Emportée par sa lecture, Claire décide de marcher dans les pas de son héroïne et de prendre le large. Loin de ses repères, elle part à la découverte des sentiers côtiers, espérant se retrouver elle-même. Mais que faire lorsque le destin met sur sa route un marin pêcheur qui pourrait bien la faire chavirer ? Se laisser porter par le courant ou résister ? Et s’il était temps d’arrêter de rêver sa vie pour commencer à la vivre ?
Je vous propose de continuer à découvrir les finalistes du PLIB 2022 avec mon avis sur Prospérine Virgule-Point et la phrase sans fin. Le roman a été écrit par Laure Dargelos, illustré/mis en page par Céline Perrier, et publié aux éditions Rivka en avril 2021. Le roman avait d’abord été auto-édité en août 2020, et il a tout récemment fait l’objet d’une réédition augmentée, avec une nouvelle couverture et quelques pages bonus à la fin !
Demi-Mot aurait pu être un village ordinaire, s’il n’était pas bâti à la limite du Texte. Jour après jour, les habitants polissent et astiquent les lettres ; ils entretiennent ces milliers de caractères qui, sans leur concours, se seraient déjà effondrés. Chez les Virgule-Point, l’aînée de la fratrie a choisi une voie bien différente : fleuriste ! Elle préfère bichonner des Trompettes à pétales plutôt que de faire prospérer l’empire des points et des virgules. Mais un événement inexplicable ne tarde pas à l’entraîner dans une spirale qui la dépasse… Et si l’avenir du village était en jeu ? Et si tout était lié à la Phrase sans fin, cette mystérieuse phrase laissée en suspens par l’Auteur ?
Je viens aujourd’hui vous parler d’un roman que j’ai lu au début du mois de septembre. Un baiser qui palpite là, comme une petite bête est le petit dernier de Gilles Paris. Il a été publié aux éditions Gallimard Jeunesse le 9 septembre 2021. Avant toute chose, merci à l’auteur et à la maison d’édition pour l’envoi de ce livre.
Iris, une lycéenne, se suicide. Cet événement bouleverse ses camarades, Emma et son frère jumeau Tom, Aaron, le nouveau, Chloé et Sarah, les amies d’Emma, Léon, le génie de l’informatique, et d’autres encore qui se rassemblent le temps d’un week-end. En quête d’identité, les adolescents font l’expérience de leurs limites tandis que l’histoire d’Iris se dévoile.
On se retrouve aujourd’hui pour parler d’un roman que j’ai lu il y a quelques semaines et qui fait partie de la nouvelle collection des éditions L’Archipel : Instants suspendus. Au début de l’été, je vous avais parlé du roman Si la vie te donne des citrons, fais-en une tarte meringuée, de Charlotte Léman. Cette fois-ci, je vais vous donner mon avis sur Les indécis, écrit par Alex Daunel et publié le 26 août 2021. Je tiens à remercier la maison d’édition pour l’envoi de ce livre !
Après un accident qui lui a coûté la vie, Max doit choisir un genre littéraire pour inspirer un auteur sur Terre et pouvoir ainsi gagner l’au-delà. Il découvre que nous avons tous des livres qui nous ont fait grandir et rêver.
Je vous propose de découvrir mon avis sur un roman qui sort (devait sortir ? avec tout ça, on ne sait plus) aujourd’hui, jeudi 19 mars 2020, en librairie. Je l’ai lu en lecture commune avec mes copines Le journal de Joh et Sorbet Kiwi ! Les incroyables aventures des sœurs Shergill est le deuxième roman de Balli Kaur Jaswal que je lis. J’avais adoré Le club des veuves qui aimaient la littérature érotique l’année dernière, et j’avais très hâte de découvrir celui-ci, également publié aux éditions Belfond (collection Le Cercle). Avant de vous dire ce que j’ai bien pu en penser, je tiens à remercier la maison d’édition pour l’envoi de ce livre.
Dans la famille Shergill, il y a : Rajni, l’aînée, mère de famille au bord de l’implosion depuis que son fils ado lui a fait une révélation fracassante. Jezmeen, la séductrice un brin égoïste, petite actrice londonienne dont le dernier bad buzz tourne en boucle sur les réseaux sociaux. Et enfin, Shirina, la docile cadette, dont le parfait mariage arrangé commence à sérieusement battre de l’aile. Trois sœurs que tout oppose et qui vont devoir se supporter pour réaliser la dernière volonté de leur mère : accomplir un pèlerinage en son honneur en Inde, de Delhi au Temple d’or d’Amritsar. Combien de temps avant que tout dérape ? Les voies d’une mère sont impénétrables… Dans ce pays aux facettes multiples, et parfois violentes, les sœurs Shergill embarquent pour un incroyable voyage à la découverte de leurs racines et d’elles-mêmes.
J’espère que vous passez un bon dimanche. Je vous retrouve pour une chronique un peu plus tardive que d’habitude, afin de vous donner mon avis sur un roman publié aux éditions Michel Lafon le 29 août 2019. AIR a été écrit par Bertil Scali, écrivain et reporter, et Raphaël de Andréis, qui dirige un grand groupe de communication. Avant de vous donner mon avis, je tiens à remercier la maison d’édition pour l’envoi de ce livre.
Je m’appelle Samuel Bourget. Je suis né en 1969, l’année où Neil Armstrong posant le pied sur la Lune a déclaré : » C’est un petit pas pour l’homme, mais un grand pas pour l’humanité. » Cette phrase a comme scellé le caractère de ma génération : l’optimisme à tout prix. Mes parents étaient pleins d’espoir pour mon avenir. Celui-ci s’annonçait pavé de plaisirs et de joies. Sauf qu’il n’en a rien été. Le monde qu’ils m’ont laissé a été anéanti et il ne reste presque rien de mon enfance. J’ai moi-même contribué à l’hécatombe. Des hommes ont été jugés et condamnés selon leur responsabilité dans le génocide écologique – » l’écocide « , ont dit les juges – qui se profilait, et qui, heureusement, a pu être évité. D’autres ont gravi les échelons du nouvel ordre en raison de leur engagement au service de l’écologie. À mon sens, ce n’était rien d’autre qu’une dictature. Bien plus tard, les révélations sur les excès de la cellule AIR ont mis fin à ce régime. Lors de leur procès, les dirigeants verts ont affirmé avoir sauvé l’humanité. C’est possible. Mais à quel prix ?
À l’époque, mieux valait ne pas être dans leur collimateur. Comme moi lorsqu’ils m’ont inscrit sur leur liste noire : la liste carbone.