Du livre au film #6 – Bridget Jones’s Diary.

Coucou les paupiettes ! 

Les articles se font un peu rare en ce moment, je suis hyper fatiguée et j’ai beaucoup de choses à préparer pour mon service civique. Je vous en parlerai plus en détails à la fin du mois je pense. J’envisage de créer un nouveau rendez-vous où je vous parlerai des livres que je vais être amenée à lire aux enfants de 3 à 12 ans, et des activités que j’organiserai autour. Ça avait l’air d’en tenter plusieurs quand j’avais posé la question sur Twitter.

Bref. Mon rythme de lecture a également considérablement ralenti haha. Ça avance lentement mais sûrement. Je vous avais dit que je reprenais la lecture en anglais. Choisir ma première lecture pour le challenge Read in English (Livraddict) n’a pas été facile. Je m’étais lancée dans un bouquin que j’avais emprunté parce que la couverture était magnifique et le résumé plutôt rigolo. Au final j’ai abandonné au bout de 50 pages, c’était impossible à lire, très long, inintéressant. Tout bien considéré, il valait mieux commencer par un truc que je « connaissais », plus léger, plus accessible. Bridget Jones m’est apparu comme une évidence dans la bibliothèque. Je connais le film par cœur, mais je n’avais jamais lu le roman dont il est tiré, c’était l’occasion !

2006

Bridget Jones’s Diary est un roman écrit par Helen Fielding en 1996 (il a presque mon âge haha) et adapté au cinéma en 2001. Le film a été réalisé par Sharon Maguire. Pour ceux que ça pourrait intéresser, Richard Curtis a participé à l’écriture du scénario (pour moi c’est important, en grande fan de Curtis que je suis) !

# Le roman.

Bon Dieu, pourquoi suis-je aussi moche? Dire que je me suis persuadée que je me gardais tout mon weekend pour travailler alors que j’étais simplement en faction devant le téléphone à attendre que Daniel m’appelle. Atroce ! Pourquoi n’a-t-il pas appelé ? Qu’est-ce qui cloche chez moi ?

Bridget a presque trente ans et n’est toujours pas mariée. Entre une mère égoïste et des amis plus ou moins en couple, elle cherche le prince charmant qui changera sa vie, son regard sur elle-même et sur le monde. Comment s’y prendre avec les hommes ?

Par où commencer ? Avec humour décapant, Helen Fielding trace le portrait d’une génération femmes socialement responsables, financièrement autonomes, affectivement… frustrées ! Une comédie sentimentale, ironique et tendre.

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Cet article contient peut-être des spoilers. Mais peut-être que non. J’essaye vraiment d’être le plus général possible, mais je vous dévoile quand même quelques grandes lignes du roman (et du film).

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Point Culture #21 – Livres, films, séries.

Coucou les paupiettes !

Après le C’est lundi, que lisez-vous ? de ce matin, nous nous retrouvons déjà pour le traditionnel Point Culture ! Ces deux dernières semaines j’ai beaucoup lu (des romans, des mangas, des bande-dessinées).. J’ai également regardé pas mal de séries, il y a beaucoup de choses que j’aime qui ont repris et, en plus de ça, je continue de regarder les pilots de la rentrée afin de vous proposer un bilan des nouveautés la semaine prochaine. Avec tout ça, je n’ai pas eu le temps de regarder de films, mais j’ai quand même plein de choses à vous faire découvrir. C’est parti !

Livres lus.

# Re-vive l’empereur !

Maintenu en parfait état de conservation par les eaux glaciales de la mer du Nord, repêché par un chalutier, puis décongelé, Napoléon Bonaparte revient à la vie au moment des attentats djihadistes de Paris, juste à temps pour sauver le monde…

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Après la déception qu’avait été La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la Tour Eiffel, j’avais un peu peur de me lancer dans la lecture du dernier Puértolas. Avec un résumé comme ça, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre.
Dans l’ensemble, j’ai bien aimé. L’idée de départ est intéressante et promettait un certain nombre de situations cocasses qui devraient être drôles. On retrouve la plume mordante de l’auteur et son humour politiquement incorrect (et ici, c’est le cas de le dire). Comme dans les ouvrages précédents, on retrouve également beaucoup de chapitres « à morale », qui remettent en question la société actuelle et qui nous poussent à réfléchir au monde qui nous entoure.
Si certains passages sont très bons, l’auteur a parfois été un peu trop loin à mon goût. Le roman offre quelques belles leçons de vie, d’humanité et de tolérance, mais certaines réflexions sont très limites, et Puértolas perd de vue l’essentiel en se confondant dans tout un tas de clichés particulièrement gênants.
Dans l’ensemble, j’ai passé un bon moment de lecture. Puértolas a réussi à me faire sourire avec son Napoléon accro au Coca Light. Je regrette qu’il soit parfois allé trop loin mais il s’est clairement attaqué à un sujet très difficile et ça peut très vite déraper. Selon moi, ce n’est pas un roman indispensable mais il propose une réflexion intéressante. Il faut également noter que c’est un roman original et décalé, dans la veine des précédents écrits de l’auteur et que si vous n’avez pas aimé les autres, vous n’aimerez pas celui-ci.

14/20

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