Top Ten Tuesday #12 – Les romans qui parlent de guerres, de terrorisme et d’attentats.

Coucou les paupiettes !

On se retrouve aujourd’hui pour une nouvelle sélection livresque. Le thème de la semaine n’est pas un sujet très fun mais de nombreux auteurs ont écrit de très beaux romans sur le sujet. Je vous propose une dizaine de livres parlant de guerres (39-45 mais aussi des guerres fictives), de terrorisme et d’attentats. Certains de ces romans ont été adapté en bande-dessinée. Si les romans sont plus forts, plus puissants, les adaptations sont vraiment réussies et j’ai beaucoup aimé me replonger dans ces histoires. Voici ma sélection, tout a été lu et généreusement approuvé par ma personne !

Pour ceux qui ne connaîtraient pas, le Top Ten Tuesday est un rendez-vous hebdomadaire dans lequel on liste un top 10 littéraire selon un thème prédéfini. Il a initialement été créé par The Broke and the Bookish et a ensuite été repris en français par le blog Frogzine !

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Vendredi 13 novembre 2015. L’air est encore doux pour un soir d’hiver. Tandis que les Bleus électrisent le Stade de France, aux terrasses des brasseries parisiennes on trinque aux retrouvailles et aux rencontres heureuses. Une ceinture d’explosifs autour de la taille, Khalil attend de passer à l’acte. Il fait partie du commando qui s’apprête à ensanglanter la capitale. Qui est Khalil ? Comment en est-il arrivé là ? Dans ce nouveau roman, Yasmina Khadra nous livre une approche inédite du terrorisme, d’un réalisme et d’une justesse époustouflants, une plongée vertigineuse dans l’esprit d’un kamikaze qu’il suit à la trace, jusque dans ses derniers retranchements, pour nous éveiller à notre époque suspendue entre la fragile lucidité de la conscience et l’insoutenable brutalité de la folie.

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Retours sur ma première semaine à lire / Bébé Point Culture.

Coucou les paupiettes !

La dernière semaine de décembre, je vous avais dit que je participais à la semaine à lire, initiée par Lili Bouquine. J’avais partagé avec vous ma PAL, mes livres « de secours », mes objectifs, etc, et maintenant est venu le moment de vous dire si j’ai réussi le challenge ou non.

Ce que j’ai lu. 

Alors, finalement, je n’ai pas réussi à m’en tenir à ma PAL de départ. Je m’y attendais un peu, je me connais haha. Cela dit, j’ai quand même réussi à lire quelques uns des livres que j’avais choisi (surtout parce que je devais les rendre à la médiathèque incessamment sous peu). Je me suis un peu égarée en chemin aussi puisque j’ai binge-watché les cinq premières saisons de Drop Dead Diva cette semaine là… Du coup j’ai lu plus de bande-dessinées que de romans haha.

# Poppy Wyatt est un sacré numéro.

En Angleterre, de nos jours. Poppy Wyatt est au bord de la crise de nerfs : elle vient de perdre sa bague de fiançailles, celle qui est dans la famille de son fiancé Magnus depuis plusieurs générations. Et pour couronner le tout, on vient de lui dérober son portable. Juste au moment où elle envisage la fuite à l’étranger, elle découvre dans une poubelle un téléphone. Miracle ! Enfin pas si sûr… Car ce portable appartient à l’assistante d’un dénommé Sam qui n’a pas l’air de saisir l’urgence de la situation. A force de supplications, Poppy réussit à le persuader de lui laisser ledit téléphone. C’est juré, c’est l’affaire de quelques heures, et elle lui transmettra tous ses messages d’ici là. Sauf que bien entendu, toute cette affaire va rapidement tourner au vinaigre : impossible de retrouver cette foutue bague, la soirée avec les beaux-parents vire au désastre, Magnus n’est pas d’un très grand soutien et Lucinda, la très irritable wedding planner, est aux abonnés absents. Et puis, il y a ces messages étranges reçus sur le portable de Sam, qui laisseraient entendre qu’un complot se prépare contre lui dans sa propre entreprise. Poppy parviendra-t-elle à redresser la situation ?

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Au début du challenge, Poppy Wyatt… était ma lecture en cours. J’ai donc terminé celui-ci en priorité, avant de m’attaquer à autre chose. Je connais vraiment mal le travail de Sophie Kinsella puisque jusqu’à présent je n’avais lu qu’un seul roman d’elle (Audrey retrouvée). J’avoue que personnellement ce n’est pas mon genre littéraire favori mais je ne rechigne pas à lire quelques romans de ce style chaque année, ça ne fait jamais de mal. Je pense que ce qui me gêne principalement c’est le fait que l’histoire soit hyper prévisible. Au bout de dix pages, je savais déjà comment ça allait terminer. Cela dit, les différents développements et rebondissements ne sont pas déplaisants et j’ai passé un bon moment en compagnie de Poppy, que j’ai trouvé plutôt attachante. Par contre, j’ai eu un peu plus de mal avec les personnages masculins, assez clichés et pas suffisamment approfondis. Pas de Book Boyfriend à l’horizon.
Je n’ai pas grand chose à dire de plus. L’histoire ne casse pas trois pattes à un canard mais on passe un bon moment. Poppy est maladroite, touchante et plutôt drôle. C’est un personnage que j’ai aimé suivre tout au long de ce roman. Aucune surprise au niveau du dénouement mais bon, on a l’habitude maintenant avec la chick-lit ! Une lecture pas prise de tête, idéale pour les vacances.

14/20

Nombre de pages au compteur = 279

# Lettre à la république des aubergines.

Bagdad, 1997. Salim, jeune étudiant, est arrêté par la police pour avoir lu des livres interdits lors de soirées entre amis de l’université. Torturé, il parvient à taire le nom des filles qui y participaient, parmi lesquelles se trouvait Samia, sa petite amie. Grâce aux relations de son oncle, un riche industriel bien vu du régime, il est libéré dans l’attente de son procès et parvient à s’enfuir via la Syrie. Comme de nombreux exilés irakiens qui servent de main d’oeuvre bon marché, il trouve refuge à Benghazi, en Libye, où il devient simple ouvrier en bâtiment. Désormais sans nouvelles de ses proches, de ses amis et de Samia, son seul but est de faire parvenir une lettre à sa bien-aimée pour l’assurer de son amour fidèle. Mais, de la Lybie à l’Irak, les dictateurs règnent en maîtres (Kadhafi en Libye, Moubarak en Égypte, Abdallah en Jordanie, Hafez el-Assad en Syrie et Saddam Hussein en Irak) et la censure veille. Faire passer une lettre à travers ses mailles est une entreprise difficile et dangereuse. Fin 1999, Salim découvre l’existence d’un réseau clandestin de courrier qui couvre tout le monde arabe. Sans crainte des représailles dont la destinataire pourrait faire l’objet, il ose enfin envoyer sa déclaration à Samia et la confie, moyennant 200 dollars, à ce réseau semi-mafieux très bien organisé. Abbas Khider invite le lecteur à suivre le parcours chaotique de cette lettre d’amour. Chaque chapitre, très bref, donne la parole à un des intermédiaires qui se trouve en sa possession.

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C’est un fait reconnu dans la communauté littéraire internationale, ibidouu adore les livres aux titres complètement farfelus. Forcément, celui-ci a tout de suite attiré mon attention au milieu des nouveautés à la médiathèque et, après lecture du résumé (quand même, faut pas abuser), il a rapidement fini dans mon panier. Ce roman est très court, très rapide à lire et globalement plutôt inintéressant. C’est dommage parce que l’idée de départ était bonne. Les thématiques de l’exil, de la clandestinité et de l’amour auraient pu donner naissance à un roman vraiment fort. Malheureusement l’auteur s’égare très rapidement. On suit simplement le voyage de la lettre de Salim, qui passe de main en main jusqu’au dernier chapitre. Il n’y a aucune véritable tension, c’est assez plat, il n’y a pas de réel rebondissement. On aborde rapidement quelques questions politiques mais c’est très vite balayé pour mettre l’accent sur des morceaux de vie de chacun des personnages. Morceaux de vie qui ne sont pas très excitants et qui ont pour conséquence quelques petites longueurs dans certains chapitres. J’aurais vraiment préféré que l’auteur se focalise sur un personnage, Salim tant qu’à faire, et qu’il ne perde pas de vue le sujet principal de son roman. Si je ne suis pas rentrée dans l’histoire, j’ai tout de même beaucoup apprécié l’écriture d’Abbas Khider. Son roman a quand même réussi à me faire un peu voyager et à me faire découvrir un peu plus une culture que je connais très mal.

12/20

Nombre de pages au compteur = 133

# Le pensionnat de Mlle Géraldine, tome 1.

C’est une chose que d’apprendre à faire une révérence comme il faut. C’en est une autre que d’apprendre à faire une révérence en lançant un couteau. Bienvenue au Pensionnat de Melle Géraldine. Angleterre, début du 19e siècle. Sophronia, 14 ans, est un défi permanent pour sa pauvre môman : elle préfère démonter les horloges et grimper aux arbres qu’apprendre les bonnes manières ! Mrs Temminnick désespère que sa fille devienne jamais une parfaite lady… aussi inscrit-elle Sophronia au Pensionnat de Melle Géraldine pour le Perfectionnement des Jeunes Dames de Qualité. Mais Sophronia comprend très vite que cette école n’est peut-être pas exactement ce que sa mère avait en tête. Certes, les jeunes filles y apprennent l’art de la danse, celui de se vêtir et l’étiquette ; mais elles apprennent aussi à donner la mort, l’art de la diversion, et l’espionnage – le tout de la manière la plus civilisée possible, bien sûr. Cette première année au pensionnat s’annonce tout simplement passionnante.

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Après avoir dévoré Le Protectorat de l’ombrelle, j’étais décidée à découvrir les autres romans écrits par Gail Carriger. Le Pensionnat de Mlle Géraldine nous transporte vingt-cinq ans en arrière, dans une école assez particulière. Ce premier tome est très prometteur, j’ai adoré retrouver l’univers développé par l’auteure dans sa saga précédente. Le côté steampunk est encore une fois très présent, pour mon plus grand plaisir. On retrouve également l’humour caractéristique de Carriger, même si je l’ai trouvé moins présent que dans ses autres romans. Je n’accroche pas autant au personnage de Sophronia qu’à celui d’Alexia Tarabotti, mais j’ai hâte de découvrir la suite de ses aventures (je commence d’ailleurs le deuxième tome ce soir). On sent tout de même que ce roman est destiné à un public plus jeune, il manque le petit côté piquant que j’aimais tant dans Le Protectorat de l’ombrelle. Autre petit bémol : je trouve que les choses vont vite, beaucoup trop vite et que certains passages sont donc traités de façon plutôt superficielle. J’aurais aimé plus de détails, plus de rebondissements. Ça reste une très bonne introduction à une nouvelle saga et je pense que je ne serais pas déçue par l’ensemble.

16/20

Nombre de pages au compteur = 354

# Le piano oriental.

Un récit inspiré de la vie de son ancêtre, inventeur d’un nouvel instrument de musique dans le Beyrouth des années 1960. Folle tentative pour rapprocher les traditions musicales d’Orient de d’Occident, ce piano au destin méconnu n’aura vu le jour qu’en un seul exemplaire, juste avant que la guerre civile ne s’abatte sur le Liban.

Une métaphore amusante – et touchante – de la rencontre de deux cultures, de deux mondes, qui cohabitent chez Zeina et dans son oeuvre.

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J’avais lu des avis plutôt divergents par rapport à cette bande-dessinée. J’avoue que mon avis est mitigé. J’ai apprécié ma lecture mais sans plus. Je n’ai pas trouvé l’histoire hyper transcendante, elle était un peu confuse par moments (on se perd très facilement entre le présent, les flash-backs et les différents personnages). Il y avait tout de même un petit côté poétique qui n’était pas pour me déplaire et l’auteure aborde des thématiques passionnantes telles que l’amour de la musique, des lettres, de la langue ainsi que l’appartenance à un pays, la double nationalité et ce qu’elle sous-entend d’un point de vue culturel. Visuellement, Le piano oriental est un petit bijou. Il y a un très beau travail au niveau des graphismes et cette BD, tout en noir et blanc, vaut le détour simplement pour cet aspect là.

14/20

Nombre de pages au compteur = 208

# Maus.

Maus est une bande dessinée d’Art Spiegelman. Elle raconte, à travers le dialogue de l’auteur et de son père, juif polonais, survivant des ghettos et d’Auschwitz, l’histoire des persécutions nazies, depuis les premières mesures anti-juives jusqu’à l’effondrement du Troisième Reich et l’immédiat après-guerre.

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Maus est un classique de la bande-dessinée qui traine dans ma wishlist depuis des années. Depuis que je suis au lycée en fait, et qu’on en avait étudié des petits bouts en cours de français. J’ai vraiment tardé mais ça y est, j’ai enfin lu l’intégrale d’Art Spiegelman. C’est une très belle bande-dessinée, à mettre entre toutes les mains. L’histoire qui nous est racontée, on la connaît, on l’a déjà entendue (et même vue, je pense que je ne suis pas la seule à avoir vu des documentaires en cours d’histoire) mais ça n’en rend pas la lecture moins intéressante. Artistiquement, Spiegelman a fait des choix très intéressants. Son récit est émouvant, sans tomber dans l’excès. C’est quelque chose que je reproche souvent aux films sur l’Holocauste. A force de chercher à faire pleurer le spectateur, on oublie de traiter le sujet avec respect et justesse. Mais bref, c’est un autre sujet. Spiegelman, ici, a su illustrer l’histoire de son père avec simplicité et le message n’en ressort que plus clairement, ce qui fait de Maus un témoignage incontournable. Je m’attendais peut-être à un peu plus, mais en même temps je ne saurais pas vous dire à quel niveau. Le noir et blanc me parait le choix le plus juste, le plus logique pour une bande-dessinée sur ce sujet. Les dessins sont simples mais efficaces. Le récit est juste, émouvant et fort. Vraiment, je ne saurais pas vous dire pourquoi ce n’est pas un coup de cœur. Mais ça ne l’est juste pas. A lire absolument quand même !

17/20

Nombre de pages au compteur = 296

# Kiki de Montparnasse.

Compagne et modèle de Man Ray, elle fut l’amie de nombreux artistes, de Cocteau à Modigliani et de Foujita à Picasso. Le fabuleux destin d’Alice Prin, alias Kiki de Montparnasse, est retracé dans cet album qui s’est vu décerner le Prix Essentiel Fnac-SNCF en 2008. Avec ce portrait d’une femme éprise de liberté, Catel et Bocquet entraînent le lecteur au coeur du Paris d’entre-deux-guerres, qui vit éclore une génération exceptionnelle de créateurs.

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Kiki de Montparnasse fait partie des quelques rares figures féminines que j’ai eu l’occasion d’étudier pendant ma licence en histoire de l’art. (Triste hein ? C’est vraiment un problème ça, on étudie pas assez les femmes en histoire de l’art)
J’avais beaucoup aimé la biographie réalisée par les deux auteurs sur Olympe de Gouges et c’est donc sans hésitation que j’ai emprunté celle de Kiki à la médiathèque. Le contenu est vraiment complet et intéressant, j’ai découvert beaucoup de choses sur elle. On ressent à chaque page le gros travail qui a été fourni par Catel et Bocquet. On apprend une quantité impressionnante de choses sur cette femme, qui a eu un parcours riche et passionnant, et tout ça en seulement quelques heures. Le dessin est simple mais efficace. L’ensemble est fluide et se lit très facilement. Le format bande-dessinée pour une biographie peut être dangereux, mais le duo maitrise complètement le truc et j’ai hâte de découvrir celle sur Joséphine Baker !

17/20

Nombre de pages au compteur = 336

# Sans âme et Sans forme, Le protectorat de l’ombrelle version manga. 

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Promis, j’arrêterais de vous en parler un jour ! Et oui, j’ai tellement aimé Le Protectorat de l’ombrelle que j’ai décidé de lire l’adaptation manga très peu de temps après avoir fini la saga. Je n’ai pas grand chose à dire, l’histoire est la même, avec quelques passages coupés bien évidemment. Le résultat est tout à fait à la hauteur de mes attentes, j’ai adoré ! On retrouve l’univers de Gail Carriger, son humour, rien à redire là-dessus. Les personnages ne ressemblent pas forcément à l’image que je m’étais faite d’eux, mais moi je trouve ça encore plus chouette. Ça montre qu’à partir d’un même roman, on interprète chacun les personnages différemment, jusque dans les moindres détails on les voit d’une autre façon. En tout cas je trouve cette adaptation très réussie. Il me reste encore le tome 3 à lire. Je suis quand même un peu déçue puisque j’ai appris que l’illustrateur avait décidé de ne pas réaliser les tomes 4 et 5 (pas tout de suite en tout cas). Sachant que ce sont mes deux tomes préférés, j’avais très hâte de voir certaines choses dessinées mais bon… L’espoir n’est pas mort !

17/20

Nombre de pages au compteur = 229 et 243

Ce qui est passé « à la trappe ». 

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Nombre de pages lues du 23 au 30 décembre 2016 = 2.078 !

Sachant que je m’étais fixée pour objectif 2.000 pages, je suis carrément fière de moi ! C’est un challenge que je reprendrais l’an prochain car il n’est vraiment pas prise de tête. On se fixe soi-même ses objectifs et sur une semaine ça se fait plus facilement que sur un week-end. C’était une expérience sympathique. J’avoue quand même que j’avais préféré l’ambiance du week-end à 1.000, il y avait plus de participation, plus d’échanges sur la page Facebook. Ici c’est plus personnel (c’est pas mal aussi des fois).

Du coup, je n’ai pas publié de C’est lundi que lisez-vous ? hier vu que mes dernières lectures sont celles de la semaine à lire. Si ça vous intéresse, sachez que je compte lire cette semaine tous les livres qui sont passés à la trappe la semaine dernière !

Je vous fais plein de bisous et je vous dis à demain (ou après-demain) avec un nouveau Du livre au film !

La semaine à lire #1.

Coucou les paupiettes !

On se retrouve aujourd’hui pour que je vous présente ma PAL pour la toute première semaine à lire. Pour ceux qui participent au week-end à 1.000, vous savez probablement déjà que Lili Bouquine a décidé de pousser le concept plus loin et d’organiser pour la première fois cette année cette fameuse semaine à lire. Cette dernière débute aujourd’hui à 19H et se terminera vendredi prochain (le 30 décembre) à 23h59. Cette fois-ci, c’est à chacun de déterminer les objectifs qu’il se fixe pour cette semaine, selon ses envies, ses disponibilités, sa PAL, etc. Personnellement, étant en vacances, j’ai envie de mettre la barre un peu plus haute que les 1.000 pages, puisque j’avais relevé le challenge haut la main il y a quelques semaines, mais pas trop non plus parce que c’est quand même les fêtes et que je fais pas mal de binge-watching (beaucoup de séries à rattraper).

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Sachant que je peux étaler mes lectures sur une semaine et pas seulement sur un peu plus de deux jours, j’ai envie de me dire que je pourrais réussir à lire 2.000 pages. Vu que j’ai une tonne de livres à rendre prochainement à la médiathèque (moi et mes yeux plus gros que le ventre), c’est l’objectif que je vais me fixer. Ça me permettra peut-être d’en finir quelques uns à temps.

Qu’est-ce que je vais lire ? 

Alors, hier soir j’ai commencé Poppy Wyatt est un sacré numéro, de Sophie Kinsella, dont j’ai lu une centaine de pages donc je commencerais le décompte à partir de la première page que je lirais ce soir.

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Les photos de cet article seront très moches car prises avec un téléphone un matin de décembre. La luminosité n’est pas au rendez-vous.

Cette semaine, je ne pense pas sortir de livre de ma PAL, je ne lirais que des livres de la médiathèque. Après Poppy Wyatt, j’aimerais bien lire le tome 2 de La voie des oracles, Carol de Patricia Highsmith, Lettre à la république des aubergines d’Abbas Khider et Étiquette & Espionnage, le premier tome du Pensionnat de Mlle Géraldine (Gail Carriger). Bien évidemment, je ne vois pas comment je pourrais possiblement lire tous ces romans haha, mais pourquoi pas, c’est beau de rêver.

J’ai également une jolie pile de bandes dessinées qui attendent sagement et j’aimerais bien notamment lire Maus, Le piano oriental et Kiki de Montparnasse.

Combien de pages ?

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# La voie des oracles, tome 2 : Enoch.

Poursuivis par les hommes d’Aedon, Thya, Enoch et Aylus fuient dans les terres barbares…

Sur les routes, les trois acolytes vont découvrir un monde très divers, coloré, fabuleux, où des magies et des mystiques plusieurs fois centenaires côtoient des aspirations farouches à la liberté. Un monde plus vaste et plus étrange que tout ce qu’ils auraient pu imaginer.

Au cours de ce nouveau voyage, Thya et Enoch vont à nouveau être mis à l’épreuve, et se révéler, ou se perdre…. Avec, en fond, la menace grandissante d’Aedon, soutenu cette fois par un nouvel allié surnaturel…

Nombre de pages : 333. 

# Carol.

À New York, Thérèse, une jeune décoratrice de théâtre qui ne trouve pas de travail, accepte un emploi à Frankenberg, un magasin de vêtements. Une autre employée, Mme Robichek, tente de la séduire, mais Thérèse sombre dans une sorte de torpeur.

Le compagnon de Thérèse, Richard, lui fait rencontre Phil, qui peut l’aider à trouver un emploi dans le théâtre. Cependant, lors de son travail au magasin, apparaît une grande femme blonde en manteau de fourrure. La cliente lui achète une poupée pour sa fille. Thérèse ne peut l’oublier et lui envoie une carte avec son numéro de service. La cliente téléphone au magasin pour la remercier et lui propose de prendre un verre ensemble pour le lendemain.

Thérèse fait ainsi la connaissance de Carol, une femme mariée en instance de divorce. Elles découvrent leurs sentiments réciproques, mais Carol craint que son mari ne se serve de leur relation pour lui retirer la garde de leur enfant.

Nombre de pages : 309.

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# Lettre à la république des aubergines.

Bagdad, 1997. Salim, jeune étudiant, est arrêté par la police pour avoir lu des livres interdits lors de soirées entre amis de l’université. Torturé, il parvient à taire le nom des filles qui y participaient, parmi lesquelles se trouvait Samia, sa petite amie. Grâce aux relations de son oncle, un riche industriel bien vu du régime, il est libéré dans l’attente de son procès et parvient à s’enfuir via la Syrie. Comme de nombreux exilés irakiens qui servent de main d’oeuvre bon marché, il trouve refuge à Benghazi, en Libye, où il devient simple ouvrier en bâtiment. Désormais sans nouvelles de ses proches, de ses amis et de Samia, son seul but est de faire parvenir une lettre à sa bien-aimée pour l’assurer de son amour fidèle. Mais, de la Lybie à l’Irak, les dictateurs règnent en maîtres (Kadhafi en Libye, Moubarak en Égypte, Abdallah en Jordanie, Hafez el-Assad en Syrie et Saddam Hussein en Irak) et la censure veille. Faire passer une lettre à travers ses mailles est une entreprise difficile et dangereuse. Fin 1999, Salim découvre l’existence d’un réseau clandestin de courrier qui couvre tout le monde arabe. Sans crainte des représailles dont la destinataire pourrait faire l’objet, il ose enfin envoyer sa déclaration à Samia et la confie, moyennant 200 dollars, à ce réseau semi-mafieux très bien organisé. Abbas Khider invite le lecteur à suivre le parcours chaotique de cette lettre d’amour. Chaque chapitre, très bref, donne la parole à un des intermédiaires qui se trouve en sa possession.

Nombre de pages : 133.

# Étiquette Espionnage.

C’est une chose que d’apprendre à faire une révérence comme il faut. C’en est une autre que d’apprendre à faire une révérence en lançant un couteau. Bienvenue au Pensionnat de Melle Géraldine. Angleterre, début du 19e siècle. Sophronia, 14 ans, est un défi permanent pour sa pauvre môman : elle préfère démonter les horloges et grimper aux arbres qu’apprendre les bonnes manières ! Mrs Temminnick désespère que sa fille devienne jamais une parfaite lady… aussi inscrit-elle Sophronia au Pensionnat de Melle Géraldine pour le Perfectionnement des Jeunes Dames de Qualité. Mais Sophronia comprend très vite que cette école n’est peut-être pas exactement ce que sa mère avait en tête. Certes, les jeunes filles y apprennent l’art de la danse, celui de se vêtir et l’étiquette ; mais elles apprennent aussi à donner la mort, l’art de la diversion, et l’espionnage – le tout de la manière la plus civilisée possible, bien sûr. Cette première année au pensionnat s’annonce tout simplement passionnante.

Nombre de pages : 354.

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# Maus.

Maus est une bande dessinée d’Art Spiegelman. Elle raconte, à travers le dialogue de l’auteur et de son père, juif polonais, survivant des ghettos et d’Auschwitz, l’histoire des persécutions nazies, depuis les premières mesures anti-juives jusqu’à l’effondrement du Troisième Reich et l’immédiat après-guerre.

Nombre de pages : 296.

# Le piano oriental.

Un récit inspiré de la vie de son ancêtre, inventeur d’un nouvel instrument de musique dans le Beyrouth des années 1960. Folle tentative pour rapprocher les traditions musicales d’Orient de d’Occident, ce piano au destin méconnu n’aura vu le jour qu’en un seul exemplaire, juste avant que la guerre civile ne s’abatte sur le Liban.

Une métaphore amusante – et touchante – de la rencontre de deux cultures, de deux mondes, qui cohabitent chez Zeina et dans son oeuvre.

Nombre de pages : 208.

# Kiki de Montparnasse.

Compagne et modèle de Man Ray, elle fut l’amie de nombreux artistes, de Cocteau à Modigliani et de Foujita à Picasso. Le fabuleux destin d’Alice Prin, alias Kiki de Montparnasse, est retracé dans cet album qui s’est vu décerner le Prix Essentiel Fnac-SNCF en 2008. Avec ce portrait d’une femme éprise de liberté, Catel et Bocquet entraînent le lecteur au coeur du Paris d’entre-deux-guerres, qui vit éclore une génération exceptionnelle de créateurs.

Nombre de pages : 336.

Total = 1969

(Sachant qu’il manque les pages de mon roman en cours)

Les autres options qui s’offrent à moi.

Il faut toujours tout prévoir. Si jamais je ne rentre pas complètement dans une lecture, que je veux lire un truc plutôt court.. J’ai de quoi faire, j’ai des solutions de secours ! Saviez-vous que Le protectorat de l’ombrelle avait été adapté en manga ? Et oui, en fait je n’avais pas fini de vous en parler de cette saga haha. J’ai réussi à trouver les trois premiers tomes et honnêtement je suis quasiment sûre qu’ils seront lus cette semaine alors qu’ils ne sont pas vraiment une priorité par rapport au reste de ma PAL.

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229 + 243 + 211 = 683.

J’ai également le second tome de La Petite Mort, de Davy Mourier, que j’ai très hâte de lire. J’avais vraiment beaucoup aimé le premier tome. En BD/Comic, j’ai aussi le premier tome de Gotham Academy qui attend depuis quelques semaines d’être lu, il serait peut-être temps que j’attaque !

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134 et 90 pages.

Ultime ajout. Niveau roman, dans le cadre du challenge Read in English, je compte enfin commencer The Maze Runner de James Dashner. Quelques pages en anglais tous les jours, ça ne fait de mal à personne ! Je ne le finirais sûrement pas cette semaine mais il sera lu en parallèle des autres.

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Un calendrier ayant été mis en place pour l’année 2017, je le partage avec vous. Ça pourrait en intéresser quelques uns !

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A bientôt !

Des bisous.

C’est lundi, que lisez-vous ? #10

Coucou les paupiettes !

Comme tous les lundis, je vais vous présenter mes lectures de la semaine passée et mon « planning » pour les jours à venir. Je suis enfin en vacances, j’ai rattrapé mon sommeil en retard et maintenant je suis au taquet. J’ai plein de livres à lire dans ma PAL, on y croit ! Je commence aussi lentement mais sûrement à réfléchir à mes objectifs pour la semaine à lire, qui commence le vendredi 23 décembre. J’hésite, j’hésite !

Concernant ce rendez-vous hebdomadaire, il est aujourd’hui géré par Galleane, chez qui vous pouvez retrouver le récapitulatif de tous les participants et les liens vers leurs articles !

Le principe est simple, il suffit de répondre à trois petites questions chaque lundi :

  • Qu’est ce que j’ai lu la semaine passée ?
  • Qu’est-ce que je lis actuellement ?
  • Que vais-je lire ensuite ?

# Qu’est-ce que j’ai lu la semaine passée ?

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Cette semaine j’ai terminé trois romans qui m’ont chacun fait ressentir des choses totalement différentes. J’ai lu The Revolution of Ivy, suite de The Book of Ivy. J’ai bien aimé ce second tome, j’ai passé un bon moment, sans non plus sauter au plafond. Je m’attendais à beaucoup plus de rebondissements, de tension entre les différents personnages. J’ai également terminé The November Criminals, qui s’est révélé être une grosse déception (je vous mettrai le lien vers ma chronique plus bas). J’ai fini ma semaine en lisant Le restaurant de l’amour retrouvé, beau coup de cœur ! Ce roman est une petite douceur, un bonbon que je recommande à tout le monde.
En parallèle, j’ai lu un manga, No Longer Heroine. J’ai trouvé ce dernier plutôt sympathique, j’ai trouvé le ton original et je suis suffisamment intriguée pour lire la suite. Niveau BD, j’ai lu Le temps des mitaines, plutôt axé jeunesse mais que j’ai trouvé adorable et j’ai passé un très bon moment. J’ai également lu un Batgirl, que j’ai apprécié mais que je n’ai pas trouvé transcendant non plus.

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# Ce que je lis.

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Le portrait de Linde à 16 ans, puis à 28, 34, 47 et 63 ans. Une série de moments qui évoquent ses apprentissages, ses déceptions et ses joies. Attendant toujours de la vie et des autres ce que personne ne peut lui donner, elle prend conscience à 63 ans que, pour quelqu’un qui a raté sa vie, elle ne s’en sort pas trop mal.

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Maus est une bande dessinée d’Art Spiegelman. Elle raconte, à travers le dialogue de l’auteur et de son père, juif polonais, survivant des ghettos et d’Auschwitz, l’histoire des persécutions nazies, depuis les premières mesures anti-juives jusqu’à l’effondrement du Troisième Reich et l’immédiat après-guerre.

# Ce que je compte lire.

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Au final, par rapport à mes prévisions de la semaine dernière, je n’ai lu que Le restaurant de l’amour retrouvé. Je compte donc lire Le piano oriental cette semaine et éventuellement commencer Le pensionnat de Mlle Géraldine. J’envisage aussi de commencer mon second Sophie Kinsella avec Poppy Wyatt est un sacré numéro ! Voili voilou !

Côté blog, j’ai été un peu plus présente cette semaine et j’ai publié quelques petites choses :

Et vous ? Dites moi tout !

On se retrouve demain pour un nouveau Point Culture.

Des bisous !

C’est lundi, que lisez-vous ? #9

Coucou les paupiettes !

Le blog a un peu été laissé à l’abandon la semaine dernière. J’ai commencé à travailler dans les écoles, j’avais toutes mes activités à préparer et les enfants m’ont tué donc je vous avoue que le blog n’était pas ma priorité. J’ai tout de même réussi à lire quelques petites choses, surtout des bande-dessinées ! J’ai fait de grosses razzias à la médiathèque et j’ai une PAL de trois kilomètres de long pour le mois de décembre. On y croit ! Je vais donc vous présenter tout ça d’ici quelques instants.

Ce rendez-vous hebdomadaire est aujourd’hui géré par Galleane, chez qui vous pouvez retrouver le récapitulatif de tous les participants et les liens vers leurs articles !

Le principe est simple, il suffit de répondre à trois petites questions chaque lundi :

  • Qu’est ce que j’ai lu la semaine passée ?
  • Qu’est-ce que je lis actuellement ?
  • Que vais-je lire ensuite ?

# Qu’est-ce que j’ai lu la semaine passée ? 

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La semaine dernière j’ai lu deux romans (presque trois puisque je suis sur le point de terminer ma lecture en cours). Deux lectures que j’ai beaucoup apprécié : La voie des oracles, que j’avais repéré chez Ma toute petite culture il y a quelques semaines (j’ai tellement aimé que j’ai déjà emprunté la suite !), et Histoire d’une mouette et du chat qui lui apprit à voler, qui trainait dans ma wishlist depuis un long moment et que j’ai dévoré en quelques heures. Niveau BD, le bilan est un peu plus conséquent haha. J’ai relu les trois premiers tomes de la saga Seuls. J’ai appris il y a quelques temps qu’une adaptation ciné était prévue pour début 2017 et j’ai eu envie de les relire. D’ailleurs le tome 10 est sorti récemment, c’est l’occasion de me rappeler des débuts avant de rattraper les trois tomes que je n’ai pas encore découverts.

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J’ai enchaîné avec Clochette au pays des merveilles et Le grand méchant renard, deux bande-dessinées qui me faisaient de l’œil depuis un moment. Si j’ai adoré Le grand méchant renard, j’avoue avoir été un peu déçue par Clochette.. J’ai également lu (et beaucoup aimé) Wonder, dont je trouve la couverture sublime, et je me suis laissée tenter par Harlem sur la route du diable, qui fut une lecture agréable mais sans plus. Vous en saurez plus dans le prochain Point Culture ! Pour finir, j’ai lu le premier tome du manga Sawako, dont j’ai trouvé les personnages attachants et j’ai hâte de découvrir la suite.

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# Ce que je lis.

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Née pour trahir et faite pour tuer… sera-t-elle à la hauteur ?

J’ai tout perdu. Mon foyer. Ma famille. L’homme que j’aime.
Ce serait si facile de capituler, de fermer les yeux et d’attendre que la faim et la soif et raison de moi. Ou bien qu’une bête sauvage me trouve. Ou même un autre survivant… Mais je refuse d’abandonner. J’en ai terminé avec la lâcheté. Il est temps pour moi d’agir, enfin.
Bishop me l’avait bien dit, cet univers hostile ne pardonne pas la moindre erreur. Et au-delà e la barrière, c’est encore pire. L’hiver approche, et si je veux survivre, il va me falloir trouver de l’eau, des vivres, un abri. D’autres condamnés avec lesquels m’allier. Mais surtout, je vais devoir faire un choix : dois-je oublier ma vie d’avant, me venger de ceux qui m’ont trahie… ou mener, purement et simplement, la révolution ?
Car je ne suis plus une Westfall, ni une Lattimer. Simplement Ivy. Et je suis enfin libre.

Je peine à le lâcher ! Il devrait être terminé d’ici la fin de la journée, il ne me reste que quelques pages à lire.

*

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Addison Schacht, 18 ans. Je deale un peu d’herbe, mais bon, à mon échelle, rien de bien méchant. Je ne glande rien au lycée, mais à mon niveau, ça n’a rien d’étonnant. De toute façon, ce qui vous intéresse, c’est ce qui s’est passé, tout a commencé le jour où Kevin Broadus, un type du lycée, a été abattu. Le jour où, parce que tout le monde s’en foutait, j’ai décidé d’enquêter, avec pelle, ma pote  » et plus si affinités ». Après, si vous voulez connaître la suite, il va falloir vous accrocher.

Je lis également The November Criminals depuis quelques jours, dans le cadre d’un partenariat avec les éditions Hachette et Netgalley.

# Ce que je compte lire. 

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Au menu cette semaine, mesdames et messieurs, je pense débuter par Le restaurant de l’amour retrouvé, roman qui me fait de l’œil depuis looooongtemps et que j’ai enfin en ma possession ! J’aimerais également commencer une nouvelle saga de Gail Carriger, maintenant que j’ai fini Le Protectorat de l’ombrelle héhé. Niveau BD, je n’ai pas encore commencé Maus, comme je le souhaitais la semaine passée.. Peut-être cette semaine, on verra si je suis d’humeur ! J’aimerais également lire Le piano oriental.

Et puis les vacances approchent ! Vu que je travaille dans des écoles, j’ai mes deux semaines pour Noël. Je vais pouvoir lire pleiiiiin de choses (et rattraper mon méga retard accumulé dans les séries ces dernières semaines).

Et vous ? Dites moi tout !

On se retrouve demain pour une partie du Point Culture #24 😉

Des bisous !

C’est lundi, que lisez-vous ? #8

Coucou les paupiettes !

C’est déjà lundi, c’est malheureux. On se retrouve pour le désormais traditionnel « C’est lundi, que lisez-vous ? », qui ne sera pas très très long cette semaine puisque je n’ai pas lu des tonnes de choses cette semaine.

Ce rendez-vous hebdomadaire est aujourd’hui géré par Galleane, chez qui vous pouvez retrouver le récapitulatif de tous les participants et les liens vers leurs articles !

Le principe est simple, il suffit de répondre à trois petites questions chaque lundi :

  • Qu’est ce que j’ai lu la semaine passée ?
  • Qu’est-ce que je lis actuellement ?
  • Que vais-je lire ensuite ?

# Qu’est-ce que j’ai lu la semaine passée ?

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Cette semaine, niveau roman, je n’ai lu que Sans âge, le dernier tome du Protectorat de l’ombrelle. Un final à la hauteur du reste de la saga, c’est avec regrets que j’ai quitté Alexia Tarabotti. J’ai finalement décidé d’abandonner Hyde, ça m’a pris un peu de temps mais je n’avançais vraiment pas. J’ai aussi découvert Ondine, album illustré par le talentueux Benjamin Lacombe. Pour le reste, j’ai surtout lu des bandes-dessinées et des albums jeunesse (je vous prépare une sélection pour très bientôt). Niveau BD donc, j’ai lu les deux premiers tomes de Superworld, un comic plutôt intéressant et dont j’ai hâte de découvrir le dernier volet. Comme prévu, j’ai également lu Tokyo Home, que j’ai trouvé sympathique comme tout ! J’ai terminé ma semaine par le premier tome de L’envers des contes. Un peu trop jeunesse pour moi, je n’ai pas complètement accroché mais ça reste une lecture agréable.

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# Ce que je lis.

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La Gaule, au début du cinquième siècle après Jésus-Christ.
Cerné par les barbares, minés par les intrigues internes et les jeux malsains du pouvoir, l’Empire romain, devenu chrétien depuis peu, décline lentement.
Dans une villa d’Aquitania, perdue au milieu des forêts, vit Thya, seize ans, fille du général romain Gnaeus Sertor. À cinq ans, elle a manifesté pour la première fois des dons de devin. Mais dans l’Empire chrétien, il ne fait plus bon être oracle, et à cause de ce secret qu’elle doit garder, Thya est devenue une adolescente solitaire, à l’avenir incertain.
Lors d’une des visites en Aquitania, Gnaeus tombe sous les coups d’assassins à la solde de son fils Aedon qui souhaite s’emparer de son siège au sénat. Il est ramené à la villa entre la vie et la mort et Thya cherche dans ses visions un moyen de le sauver. Son don lui permet d’apercevoir la forteresse de Brog, dans les montagnes du nord, là où, autrefois, Gnaeus a obtenu sa plus grande victoire contre les Vandales. Elle comprend alors qu’elle doit s’y rendre et s’enfuit dans la nuit.

Sa route sera pavée de rencontres, Enoch, un jeune et séduisant barbare, ou encore un faune, un être surnaturel issu du monde païen, et Thya va évoluer et découvrir un monde en mutation qui n’est pas exactement celui que lui décrivait son père…

# Ce que je compte lire.

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Je n’ai pas eu le temps d’attaquer The Maze Runner, je compte m’y mettre rapidement car il faut que je le rende à la médiathèque à la fin de la semaine haha. Sinon j’ai emprunté pas mal de bandes-dessinées lors de mon dernier périple donc cette semaine j’ai décidé que j’allais (enfin) lire Maus en entier. Ça fait des années que je veux découvrir cette œuvre ! Je vais également essayer de lire The revolution of Ivy, que j’ai réussi à trouver en format papier à la bibliothèque héhéhé. Il était temps ! Voilà voilàààà. Carrément utopique comme programme, mais on y croit !

Et vous ? Dites moi tout !

Des bisous !