C’est lundi, que lisez- vous ? #19

Coucou les paupiettes !

Une nouvelle semaine qui commence.. encore. Plein de nouvelles lectures en perspective, c’est ce qu’il faut se dire pour garder le moral haha. La semaine passée j’ai été plus efficace que ce que je pensais (avec la reprise du boulot, toussa toussa) et j’ai réussi à lire tout ce que j’avais prévu sur ma petite wishlist (et plus encore) – j’avoue que le week-end à lire a pas mal aidé. Je vous montre ?

Concernant ce rendez-vous hebdomadaire, il est aujourd’hui géré par Galleane, chez qui vous pouvez retrouver le récapitulatif de tous les participants et les liens vers leurs articles !

Le principe est simple, il suffit de répondre à trois petites questions chaque lundi :

  • Qu’est-ce que j’ai lu la semaine passée ?
  • Qu’est-ce que je lis actuellement ?
  • Que vais-je lire ensuite ?

# Qu’est-ce que j’ai lu la semaine passée ?

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Quatre romans lus cette semaine. Les gentilles filles vont au paradis, les autres là où elles veulent, dont la sortie est prévue pour le début du mois de mai 2017, m’a beaucoup plu. Je vous en parlerai plus en détails dans quelques temps. J’ai apprécié le premier tome de Witch Hunter, je suis curieuse de voir où ça va aller tout ça ! Mon avis est un peu plus mitigé concernant les deux derniers. Des hauts et des bas avec Sweet, mais la fin m’a vraiment déçue. Concernant Jupons & Poisons, le troisième tome du Pensionnat de Mlle Géraldine de Gail Carriger, je me suis ennuyée à mourir. Ce tome est pour l’instant le moins bon de la série (que je trouve déjà largement moins bonne que Le protectorat de l’ombrelle), c’est dommage.

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Ma PAL pour le premier week-end à lire !

Re-coucou les paupiettes !

Après le TFSA de ce matin, je reviens en ce merveilleux jour qu’est le vendredi (c’est le week-eeeeeeeeeend) pour vous présenter ma PAL pour le premier week-end à lire, qui débute ce soir, à 19h. Comme pour le week-end à 1.000, le challenge prend place du vendredi soir, 19h, au dimanche soir, minuit ! Et comme pour la semaine à lire, dont la première édition a pris place en décembre dernier, c’est à nous de fixer nos objectifs en terme de nombre de pages lues. Personnellement, j’ai décidé de rester sur un week-end à 1.000 « traditionnel ». Afin d’atteindre ce beau nombre tout rond qu’est 1.000, j’ai décidé de sortir plusieurs petites choses de ma PAL, je vous montre tout ça.

Comme d’habitude, je multiplie les possibilités et j’ai sorti de ma PAL des BD, des manga et des romans. Comme ça j’ai de quoi faire, si ça n’avance pas, je passe à autre chose.

Ma PAL principale.

# Joséphine Baker.

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Joséphine Baker a 20 ans quand elle débarque à Paris en 1925. En une seule nuit, la petite danseuse américaine devient l’idole des Années Folles, fascinant Picasso, Cocteau, Le Corbusier ou Simenon. Dans le parfum de liberté des années 1930, Joséphine s’impose comme la première star noire à l’échelle mondiale, de Buenos Aires à Vienne, d’Alexandrie à Londres. Après la guerre et son engagement dans le camp de la résistance française, Joséphine décide de se vouer à la lutte contre la ségrégation raciale. La preuve par l’exemple : au cours des années 1950, dans son Château des Milandes, elle adopte douze orphelins d’origines différentes, la tribu arc-en-ciel. Elle chantera l’amour et la liberté jusqu’à son dernier souffle.

564 pages.

# California Dreamin.

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Ellen naît en 1941 dans une famille juive de Baltimore et, petite déjà, rêve de devenir chanteuse. Sa voix est incroyable, mais sa personnalité aussi excentrique qu’attachante cache une faille de taille : Ellen est boulimique. Et grosse. Trop grosse pour espérer un jour devenir une star. Pourtant quand, à 19 ans, elle devient Cass Elliot, c’est pour échapper à son avenir de vendeuse de pastrami et tenter sa chance à New York ! C’est là que, happée par la folk de l’époque, Cass tombe amoureuse de Denny, le chanteur des Journeymen…

272 pages.

# Le pensionnat de Mlle Géraldine, tome 3 : Jupons et poisons.

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Toujours élégante, Sophronia continue sa deuxième année au pensionnat – avec un éventail à lames d’acier dissimulé dans les plis de sa robe de bal, bien évidemment. Une arme tendance et fort à propos, puisque la jeune espionne, sa meilleure amie Dimity, l’adorable soutier Savon et le charmant Lord Felix Mersey montent clandestinement dans un train en direction de l’Écosse pour ramener leur camarade de classe Sidheag à sa meute de loups-garous. Personne ne se doute de ce qu’ils vont trouver – ou qui – à bord de ce train étrangement vide. Alors que Sophronia met à jour un complot susceptible de plonger Londres tout entière dans le chaos, elle va aussi devoir décider une bonne fois pour toutes vers qui va sa loyauté.

360 pages.

Ce qui me ferait un total de 1196 pages !

Ma PAL de secours.

# Bride Stories, tome 6.

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Tandis que Smith reprend la route, la vie poursuit son cours tranquille pour Amir et Karluk, au gré de petites tâches du quotidien. Seul évènement notable entre deux parties de chasse : la découverte d’un faucon blessé, que les jeunes gens essaient de soigner tant bien que mal.

Mais cette existence paisible est sur le point de voler en éclats… Les terres fertiles des villageois ont fait des envieux, et certains semblent déterminés à s’en emparer !

190 pages.

# Nos faces cachées.

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Ambrose Young est beau comme un dieu. Le genre de physique que l’on retrouve en couverture des romances. Et Fern Taylor en connaît un rayon, elle en lit depuis ses treize ans. Mais peut-être parce qu’il est si beau, Ambrose demeure inaccessible pour une fille comme elle. Jusqu’à ce qu’il cesse de l’être… Nos faces cachées est l’histoire de cinq amis qui partent à la guerre. L’histoire d’amour d’une jeune fille pour un garçon brisé, d’un guerrier pour une fille ordinaire. L’histoire d’une amitié profonde, d’un héroïsme du quotidien bouleversant. Un conte moderne qui vous rappellera qu’il existe un peu de Belle et un peu de Bête en chacun de nous…

434 pages.

# Ekhö, monde miroir : tome 2.

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Fourmille Gratule est à présent installée à New York, dans le monde d’Ekhö, un monde miroir de la Terre où les technologies modernes d’existent pas. À la tête de l’agence artistique Gratule, héritée de sa tante Odelalie, elle se rend à Paris, accompagnée de Yuri et de Grâce, pour un juteux contrat avec le Poulain Rouge. Mais à peine arrivée dans la capitale française, elle est habitée par le fantôme du Prince Antone, fils de Napoléon VII, mort dans un accident de fiacre. Elle devra résoudre le mystère de sa mort pour redevenir elle-même…

49 pages.

Avec tout ça, je devrais bien réussir à atteindre les 1.000 pages ! Advienne que pourra.

Et vous, vous participez au challenge ce week-end ? Vous allez lire quoi ?

Plein de bisous !

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Throwback Thursday #1 – Girl Power !

Coucou les paupiettes !

Ça y est, je saute le pas et je me lance moi aussi dans ce très chouette rendez-vous proposé par BettieRose Books, rendez-vous qui nous invite, je cite, à nous replonger dans nos plus jolis souvenirs livresques. Je ne suis pas sûre de participer toutes les semaines mais il y a régulièrement des thèmes qui me parlent (comme celui de cette semaine par exemple) et ça peut me permettre de vous présenter des livres que je n’ai pas forcément chroniqué sur le blog.

Le thème de cette semaine était donc Girl Power, nous devions vous présenter un livre sur le féminisme ou un roman avec un personnage principal féminin. Lisant énormément de choses en rapport avec le féminisme, difficile de ne choisir qu’un seul ouvrage ! Si vous saviez le nombre de livres qui me sont passés par la tête haha.

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Je joue le jeu et je ne vous en présente qu’un. J’ai lu cette bande-dessinée (je dirais même roman graphique pour le coup) l’an dernier, pendant que je rédigeais mon mémoire sur L’image de la femme dans la photographie de mode. Il me semble que je ne l’ai pas chroniqué, faute de temps, mais j’avais adoré.

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De Montauban en 1748 à l’échafaud parisien en 1793, quarante-cinq ans d’une vie féminine hors normes, et l’invention d’une idée neuve en Europe : la lutte pour les droits des femmes.
Née dans une famille bourgeoise de province, sans doute fille adultérine d’un dramaturge à particule, Marie Gouze dit Olympe de Gouges a traversé la seconde moitié du XVIIIe siècle comme peu de femmes l’ont fait. Femme de lettres et polémiste engagée, elle se distingue par son indépendance d’esprit et l’originalité parfois radicale de ses vues, s’engageant pour l’abolition de l’esclavage et surtout pour les droits civils et politiques des femmes. Opposée aux Robespierristes et aux ultras de la Révolution, elle est guillotinée pendant la Terreur.

Comme ils l’avaient fait avec Kiki de Montparnasse, Catel et Bocquet retracent de façon romancée, mais avec une rigueur historique constante, le parcours de vie de cette femme d’exception, dont les idéaux très en avance sur son temps ont forgé quelques-unes des valeurs clés de nos sociétés d’aujourd’hui. En quelque trois cent planches de création exigeante et généreuse, un magnifique portrait féminin et un hommage vibrant à l’une des figures essentielles du féminisme.

Ce très beau livre, aux dessins plutôt simples et sans prétention, nous offre une belle quantité d’informations sur le personnage qu’était Olympe de Gouges. J’ai trouvé cette lecture très très enrichissante. J’ai adoré découvrir toutes ces choses sur cette femme qui a joué un rôle important avant et surtout après la Révolution dans la lutte pour les droits des femmes (entre autres), mais que l’on connait à ce jour plutôt mal. Le format BD est vraiment un très bon moyen de découvrir l’Histoire avec un grand H, j’approuve totalement et je trouve que c’est un support qui n’est pas suffisamment exploité (même si ces dernières années les ouvrages se multiplient peu à peu et touchent de plus en plus de sujets, notamment la science, l’histoire ou encore l’art).

C’est donc une biographie élégante et très complète que nous proposent Catel et Bocquet, je la recommande à tout le monde et plus particulièrement à ceux qui voudraient approfondir leurs connaissances sur celle qui a écrit La déclaration des droits de la femme et de la citoyenne !

L’avez-vous lu ? Est-ce qu’elle vous tente, cette bande-dessinée ?

Une lecture à me recommander sur ce thème ? 

Plein de bisous !

La semaine à lire #1.

Coucou les paupiettes !

On se retrouve aujourd’hui pour que je vous présente ma PAL pour la toute première semaine à lire. Pour ceux qui participent au week-end à 1.000, vous savez probablement déjà que Lili Bouquine a décidé de pousser le concept plus loin et d’organiser pour la première fois cette année cette fameuse semaine à lire. Cette dernière débute aujourd’hui à 19H et se terminera vendredi prochain (le 30 décembre) à 23h59. Cette fois-ci, c’est à chacun de déterminer les objectifs qu’il se fixe pour cette semaine, selon ses envies, ses disponibilités, sa PAL, etc. Personnellement, étant en vacances, j’ai envie de mettre la barre un peu plus haute que les 1.000 pages, puisque j’avais relevé le challenge haut la main il y a quelques semaines, mais pas trop non plus parce que c’est quand même les fêtes et que je fais pas mal de binge-watching (beaucoup de séries à rattraper).

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Sachant que je peux étaler mes lectures sur une semaine et pas seulement sur un peu plus de deux jours, j’ai envie de me dire que je pourrais réussir à lire 2.000 pages. Vu que j’ai une tonne de livres à rendre prochainement à la médiathèque (moi et mes yeux plus gros que le ventre), c’est l’objectif que je vais me fixer. Ça me permettra peut-être d’en finir quelques uns à temps.

Qu’est-ce que je vais lire ? 

Alors, hier soir j’ai commencé Poppy Wyatt est un sacré numéro, de Sophie Kinsella, dont j’ai lu une centaine de pages donc je commencerais le décompte à partir de la première page que je lirais ce soir.

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Les photos de cet article seront très moches car prises avec un téléphone un matin de décembre. La luminosité n’est pas au rendez-vous.

Cette semaine, je ne pense pas sortir de livre de ma PAL, je ne lirais que des livres de la médiathèque. Après Poppy Wyatt, j’aimerais bien lire le tome 2 de La voie des oracles, Carol de Patricia Highsmith, Lettre à la république des aubergines d’Abbas Khider et Étiquette & Espionnage, le premier tome du Pensionnat de Mlle Géraldine (Gail Carriger). Bien évidemment, je ne vois pas comment je pourrais possiblement lire tous ces romans haha, mais pourquoi pas, c’est beau de rêver.

J’ai également une jolie pile de bandes dessinées qui attendent sagement et j’aimerais bien notamment lire Maus, Le piano oriental et Kiki de Montparnasse.

Combien de pages ?

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# La voie des oracles, tome 2 : Enoch.

Poursuivis par les hommes d’Aedon, Thya, Enoch et Aylus fuient dans les terres barbares…

Sur les routes, les trois acolytes vont découvrir un monde très divers, coloré, fabuleux, où des magies et des mystiques plusieurs fois centenaires côtoient des aspirations farouches à la liberté. Un monde plus vaste et plus étrange que tout ce qu’ils auraient pu imaginer.

Au cours de ce nouveau voyage, Thya et Enoch vont à nouveau être mis à l’épreuve, et se révéler, ou se perdre…. Avec, en fond, la menace grandissante d’Aedon, soutenu cette fois par un nouvel allié surnaturel…

Nombre de pages : 333. 

# Carol.

À New York, Thérèse, une jeune décoratrice de théâtre qui ne trouve pas de travail, accepte un emploi à Frankenberg, un magasin de vêtements. Une autre employée, Mme Robichek, tente de la séduire, mais Thérèse sombre dans une sorte de torpeur.

Le compagnon de Thérèse, Richard, lui fait rencontre Phil, qui peut l’aider à trouver un emploi dans le théâtre. Cependant, lors de son travail au magasin, apparaît une grande femme blonde en manteau de fourrure. La cliente lui achète une poupée pour sa fille. Thérèse ne peut l’oublier et lui envoie une carte avec son numéro de service. La cliente téléphone au magasin pour la remercier et lui propose de prendre un verre ensemble pour le lendemain.

Thérèse fait ainsi la connaissance de Carol, une femme mariée en instance de divorce. Elles découvrent leurs sentiments réciproques, mais Carol craint que son mari ne se serve de leur relation pour lui retirer la garde de leur enfant.

Nombre de pages : 309.

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# Lettre à la république des aubergines.

Bagdad, 1997. Salim, jeune étudiant, est arrêté par la police pour avoir lu des livres interdits lors de soirées entre amis de l’université. Torturé, il parvient à taire le nom des filles qui y participaient, parmi lesquelles se trouvait Samia, sa petite amie. Grâce aux relations de son oncle, un riche industriel bien vu du régime, il est libéré dans l’attente de son procès et parvient à s’enfuir via la Syrie. Comme de nombreux exilés irakiens qui servent de main d’oeuvre bon marché, il trouve refuge à Benghazi, en Libye, où il devient simple ouvrier en bâtiment. Désormais sans nouvelles de ses proches, de ses amis et de Samia, son seul but est de faire parvenir une lettre à sa bien-aimée pour l’assurer de son amour fidèle. Mais, de la Lybie à l’Irak, les dictateurs règnent en maîtres (Kadhafi en Libye, Moubarak en Égypte, Abdallah en Jordanie, Hafez el-Assad en Syrie et Saddam Hussein en Irak) et la censure veille. Faire passer une lettre à travers ses mailles est une entreprise difficile et dangereuse. Fin 1999, Salim découvre l’existence d’un réseau clandestin de courrier qui couvre tout le monde arabe. Sans crainte des représailles dont la destinataire pourrait faire l’objet, il ose enfin envoyer sa déclaration à Samia et la confie, moyennant 200 dollars, à ce réseau semi-mafieux très bien organisé. Abbas Khider invite le lecteur à suivre le parcours chaotique de cette lettre d’amour. Chaque chapitre, très bref, donne la parole à un des intermédiaires qui se trouve en sa possession.

Nombre de pages : 133.

# Étiquette Espionnage.

C’est une chose que d’apprendre à faire une révérence comme il faut. C’en est une autre que d’apprendre à faire une révérence en lançant un couteau. Bienvenue au Pensionnat de Melle Géraldine. Angleterre, début du 19e siècle. Sophronia, 14 ans, est un défi permanent pour sa pauvre môman : elle préfère démonter les horloges et grimper aux arbres qu’apprendre les bonnes manières ! Mrs Temminnick désespère que sa fille devienne jamais une parfaite lady… aussi inscrit-elle Sophronia au Pensionnat de Melle Géraldine pour le Perfectionnement des Jeunes Dames de Qualité. Mais Sophronia comprend très vite que cette école n’est peut-être pas exactement ce que sa mère avait en tête. Certes, les jeunes filles y apprennent l’art de la danse, celui de se vêtir et l’étiquette ; mais elles apprennent aussi à donner la mort, l’art de la diversion, et l’espionnage – le tout de la manière la plus civilisée possible, bien sûr. Cette première année au pensionnat s’annonce tout simplement passionnante.

Nombre de pages : 354.

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# Maus.

Maus est une bande dessinée d’Art Spiegelman. Elle raconte, à travers le dialogue de l’auteur et de son père, juif polonais, survivant des ghettos et d’Auschwitz, l’histoire des persécutions nazies, depuis les premières mesures anti-juives jusqu’à l’effondrement du Troisième Reich et l’immédiat après-guerre.

Nombre de pages : 296.

# Le piano oriental.

Un récit inspiré de la vie de son ancêtre, inventeur d’un nouvel instrument de musique dans le Beyrouth des années 1960. Folle tentative pour rapprocher les traditions musicales d’Orient de d’Occident, ce piano au destin méconnu n’aura vu le jour qu’en un seul exemplaire, juste avant que la guerre civile ne s’abatte sur le Liban.

Une métaphore amusante – et touchante – de la rencontre de deux cultures, de deux mondes, qui cohabitent chez Zeina et dans son oeuvre.

Nombre de pages : 208.

# Kiki de Montparnasse.

Compagne et modèle de Man Ray, elle fut l’amie de nombreux artistes, de Cocteau à Modigliani et de Foujita à Picasso. Le fabuleux destin d’Alice Prin, alias Kiki de Montparnasse, est retracé dans cet album qui s’est vu décerner le Prix Essentiel Fnac-SNCF en 2008. Avec ce portrait d’une femme éprise de liberté, Catel et Bocquet entraînent le lecteur au coeur du Paris d’entre-deux-guerres, qui vit éclore une génération exceptionnelle de créateurs.

Nombre de pages : 336.

Total = 1969

(Sachant qu’il manque les pages de mon roman en cours)

Les autres options qui s’offrent à moi.

Il faut toujours tout prévoir. Si jamais je ne rentre pas complètement dans une lecture, que je veux lire un truc plutôt court.. J’ai de quoi faire, j’ai des solutions de secours ! Saviez-vous que Le protectorat de l’ombrelle avait été adapté en manga ? Et oui, en fait je n’avais pas fini de vous en parler de cette saga haha. J’ai réussi à trouver les trois premiers tomes et honnêtement je suis quasiment sûre qu’ils seront lus cette semaine alors qu’ils ne sont pas vraiment une priorité par rapport au reste de ma PAL.

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229 + 243 + 211 = 683.

J’ai également le second tome de La Petite Mort, de Davy Mourier, que j’ai très hâte de lire. J’avais vraiment beaucoup aimé le premier tome. En BD/Comic, j’ai aussi le premier tome de Gotham Academy qui attend depuis quelques semaines d’être lu, il serait peut-être temps que j’attaque !

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134 et 90 pages.

Ultime ajout. Niveau roman, dans le cadre du challenge Read in English, je compte enfin commencer The Maze Runner de James Dashner. Quelques pages en anglais tous les jours, ça ne fait de mal à personne ! Je ne le finirais sûrement pas cette semaine mais il sera lu en parallèle des autres.

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Un calendrier ayant été mis en place pour l’année 2017, je le partage avec vous. Ça pourrait en intéresser quelques uns !

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A bientôt !

Des bisous.