On a déjà parlé dramas ce mois-ci, mais je crois qu’il est temps de vous présenter les autres visionnages qui ont marqué mon mois de septembre (mieux vaut tard que jamais) !
Je vous propose aujourd’hui de découvrir mon avis sur un roman paru aux éditions 10/18 en octobre 2022. Classé parmi les meilleurs romans policiers du New York Times, Ma sœur est morte à Chicago est le premier polar historique de Naomi Hirahara, autrice américaine.
1944, sur la côte californienne, Aki Ito, 20 ans, et ses parents viennent d’être libérés du camp de Manzanar, où ils étaient détenus par le gouvernement américain depuis le bombardement de Pearl Harbor, aux côtés de milliers de citoyens Américains d’origine japonaise. La vie qu’ils avaient avant-guerre n’existe plus et ils sont contraints de quitter leur région pour se réinstaller à deux mille kilomètres de là, à Chicago, où la sœur aînée d’Aki, Rose, avait été envoyée quelques mois plus tôt. Rose vit dans le nouveau quartier nippo-américain, près de la station de métro Clark & Divison. Mais à la veille des retrouvailles de la famille Ito, Rose est tuée par une rame de métro. Les autorités concluent à un suicide, mais Aki, qui vénérait sa sœur, est stupéfaite : comment cette jeune femme, parfaite, polie et optimiste, a pu mettre fin à sa vie ? Ne se fiant qu’à son instinct et à son amour fraternel, Aki se lance dans une enquête qu’elle est la seule à pouvoir mener.
Je vous propose aujourd’hui de découvrir un court roman publié aux éditions L’école des loisirs en août 2017. Dans la forêt de Hokkaido a été écrit par Eric Pessan. J’ai tout de suite repéré sa très belle couverture en librairie, et n’ai pas hésité une seconde à le mettre dans mon panier après avoir lu le résumé…
Les anges gardiens n’existent pas qu’en rêve, le saviez-vous ? Lorsque Julie plonge dans le sommeil, son monde bascule. L’adolescente se retrouve dans la forêt de l’île japonaise d’Hokkaido, reliée physiquement à un petit garçon de sept ans. Abandonné par ses parents, il erre seul, terrifié, et risque de mourir de froid, de soif et de faim. Quel est le lien entre Julie et l’enfant perdu ?
On se retrouve aujourd’hui pour une chronique manga. Je vais vous parler de l’une des dernières sorties des éditions Vega, un seinen assez particulier qui a été publié le 10 septembre 2019. Natsuko no Sake a été écrit par Akira Oze et publié pour la première fois au Japon en 1988. Avant de vous donner mon avis, je tiens à remercier la maison d’édition pour l’envoi de ce livre.
Natsuko Saeki est une employée de bureau à Tokyo, mais elle ne s’épanouit pas dans son travail. Ses supérieurs ne voient en elle qu’une subalterne juste bonne à faire des photocopies et servir du café. Mais un jour son frère tombe malade et l’opportunité s’offre à elle de rentrer auprès de sa famille pour l’aider. Or Natsuko est issue d’une famille de modestes brasseurs de saké, et tente depuis des années de brasser un saké particulièrement savoureux et unique. Motivée par ce défi familial, Natsuko, remplaçant son frère, va se plonger corps et âme dans le travail du saké et tenter de se faire une place dans un milieu très traditionnel et dominé par les hommes. Réussira-t-elle a brasser le meilleur saké du monde, issu d’un riz unique, réputé impossible à cultiver ?
On se retrouve aujourd’hui pour parler du dernier finaliste du PLIB 2019 que je n’avais pas encore chroniqué. La fille qui tressait les nuages a été écrit par Céline Chevet et a été publié aux Éditions du Chat Noir en juin 2018. C’est l’un des romans dont j’appréhendais le plus la lecture au vu de toutes les excellentes chroniques que j’avais pu lire. A force de repousser, je l’ai lu à la dernière minute mais je n’en ai fait qu’une bouchée…
Saitama-ken, Japon.
Entre les longs doigts blancs de Haru, les pelotes du temps s’enroulent comme des chats endormis. Elle tresse les nuages en forme de drame, d’amour passionnel, de secrets.
Sous le nébuleux spectacle, Julian pleure encore la sœur de Souichiro Sakai, son meilleur ami. Son esprit et son cœur encore amoureux nient cette mort mystérieuse. Influencée par son amie Haru, Julian part en quête des souvenirs que sa mémoire a occultés. Il est alors loin de se douter du terrible passé que cache la famille Sakai…
Fable surréaliste, la Fille qui tressait les nuages narre les destins entrecroisés d’un amour perdu, une famille maudite et les tragédies d’une adolescence toujours plus brève.
On se retrouve aujourd’hui pour une chronique de manga, l’un des derniers seinen publiés aux éditions Vega. Kamuya Ride est la nouvelle série de Masato Hisa (Area 51, Jabberwocky) et le premier tome est disponible en librairie depuis le 11 juillet 2019 ! Avant de vous donner mon avis, je tiens à remercier la maison d’édition pour l’envoi de ce livre.
Japon, vers l’an 400. Le Royaume s’embrase. La révolte gronde chez les chefs de clans locaux, opposés aux maîtres du pays, la dynastie Yamato. Pour réprimer la rébellion, une armée est envoyée par le Roi avec à sa tête son propre fils, Yamato Takeru. Cependant, les troupes comme le prince subissent une lourde défaite dans leur périple vers l’Ouest. Le jeune homme ne doit son salut qu’à l’intervention d’un étrange combattant, Kamuya Ride, qui s’attaque à ce qui semble être la source de la dissidence : d’anciennes divinités soudain revenues des limbes. Yamato Takeru découvre que derrière les complots, se cachent les Dieux des différentes provinces du Japon, endormis depuis le début du règne des Hommes. C’est donc l’équilibre du Royaume tout entier qui est menacé…
On se retrouve aujourd’hui pour parler de la suite et fin de la série de mangas Survivant, l’histoire du jeune S. Écrite par Takao Saito et Akira Miyagawa, elle est publiée aux éditions Vega depuis octobre 2018. Elle est constituée de cinq tomes (chronique du tome 1 et des tomes 2 et 3)! Avant de vous donner mon avis, je tiens à remercier la maison d’édition pour l’envoi de ces livres.
L’île de base est détruite par le séisme ?! Les jeunes survivants se dirigent vers Tokyo…
Satoru fait face à la destruction de l’île sur laquelle il a vécu isolé depuis le jour du désastre. Il décide de s’en échapper avec son amie Akina, et ils partant pour « l’Ile en face » ! Sur un chemin ardu, les deux jeunes gens rencontrent des soldats américains qui les aident enfin à retrouver un « Tokyo » ravagé ! Mais, arrivés à la base américaine, rien ne va aller comme ils espéraient. (Résumé tome 4)
Et si on parlait manga aujourd’hui ? J’ai envie de vous présenter la dernière pépite des éditions Vega, publiée le 14 mars 2019. Le bateau de Thésée, écrit par Toshiya Higashimoto, est un seinen que j’ai trouvé très différent des titres précédemment proposés par la maison d’édition. Pour l’instant, il y a cinq tomes publiés au Japon, la série est en cours. Le deuxième tome sera dans les librairies françaises à partir du 11 avril ! Avant de vous donner mon avis, je tiens à remercier la maison d’édition pour l’envoi de ce livre.
Tokyo, de nos jours… la vie d’un père bascule lorsque sa femme meurt lors de l’accouchement de leur enfant. Face à sa vie et perturbé, le père part à Hokkaido, terrain de son enfance. Mais alors qu’il retrouve les traces de son passé familial, on apprend que son propre père fut un criminel responsable d’un massacre à Hokkaido. Un mystère entoure cette histoire, qu’il se défie de résoudre.
Aujourd’hui, nous allons parler manga et plus exactement de Survivant, l’histoire du jeune S dont j’avais découvert le premier tome en novembre 2018. Le second tome venait tout juste de sortir (toujours aux éditions Vega) et j’ai préféré attendre la publication du tome 3 pour découvrir la suite. (Bon, maintenant je me dis que j’aurais presque dû attendre la sortie du tome 4 haha, il va falloir que j’attende avril maintenant !) Celui-ci est sorti le 14 février dernier et, comme vous pouvez le constater, il n’a pas fait long feu dans ma PAL ! Avant de vous donner mon avis sur ces deux tomes, je tiens à remercier la maison d’édition pour leur envoi.
Depuis le jour du séisme, le garçon demeure dans l’isolement le plus total et survit en s’adaptant petit à petit à l’impitoyable réalité de la vie sauvage… à l’instar des animaux qui tentent de survivre au jour le jour, eux aussi. Mais la nourriture vient toujours à manquer. La lutte entre espèces pour la survie devient alors de plus en plus intense.
Aujourd’hui je vous propose de découvrir l’une des dernières publications des éditions Vega, fraichement débarquées sur le marché du manga. Je vous ai déjà parlé de plusieurs de leurs titres ces derniers mois (Peleliu, Deep Sea Aquarium MagMell, Survivant…). Journal d’une vie tranquille a été publié le 17 janvier 2019. Il a été écrit et illustré par Tetsuya Chiba, célèbre mangaka japonais âgé de 80 ans. Avant de vous donner mon avis, je tiens à remercier la maison d’édition pour l’envoi de ce livre !
Après une carrière riche et une vie bien remplie, Tetsuya Chiba n’aspire plus qu’à la tranquillité, au calme. Une vision dont il s’amuse souvent en voyant ses petits-enfants si plein d’énergie et de certitudes. Au travers de scénettes en flash-back, l’auteur né en 39 se remémore les grands moments de sa vie, sa jeunesse sous les bombes américaines, l’exil de Tokyo, son insouciance d’alors… mais aussi sa carrière, ses débuts, les moments durs, la mort de Tezuka… un récit de vie rocambolesque et pourtant empli d’un positivisme rafraichissant. Un témoignage rare signé d’un maître conteur.