Ma PAL pour le premier week-end à lire !

Re-coucou les paupiettes !

Après le TFSA de ce matin, je reviens en ce merveilleux jour qu’est le vendredi (c’est le week-eeeeeeeeeend) pour vous présenter ma PAL pour le premier week-end à lire, qui débute ce soir, à 19h. Comme pour le week-end à 1.000, le challenge prend place du vendredi soir, 19h, au dimanche soir, minuit ! Et comme pour la semaine à lire, dont la première édition a pris place en décembre dernier, c’est à nous de fixer nos objectifs en terme de nombre de pages lues. Personnellement, j’ai décidé de rester sur un week-end à 1.000 « traditionnel ». Afin d’atteindre ce beau nombre tout rond qu’est 1.000, j’ai décidé de sortir plusieurs petites choses de ma PAL, je vous montre tout ça.

Comme d’habitude, je multiplie les possibilités et j’ai sorti de ma PAL des BD, des manga et des romans. Comme ça j’ai de quoi faire, si ça n’avance pas, je passe à autre chose.

Ma PAL principale.

# Joséphine Baker.

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Joséphine Baker a 20 ans quand elle débarque à Paris en 1925. En une seule nuit, la petite danseuse américaine devient l’idole des Années Folles, fascinant Picasso, Cocteau, Le Corbusier ou Simenon. Dans le parfum de liberté des années 1930, Joséphine s’impose comme la première star noire à l’échelle mondiale, de Buenos Aires à Vienne, d’Alexandrie à Londres. Après la guerre et son engagement dans le camp de la résistance française, Joséphine décide de se vouer à la lutte contre la ségrégation raciale. La preuve par l’exemple : au cours des années 1950, dans son Château des Milandes, elle adopte douze orphelins d’origines différentes, la tribu arc-en-ciel. Elle chantera l’amour et la liberté jusqu’à son dernier souffle.

564 pages.

# California Dreamin.

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Ellen naît en 1941 dans une famille juive de Baltimore et, petite déjà, rêve de devenir chanteuse. Sa voix est incroyable, mais sa personnalité aussi excentrique qu’attachante cache une faille de taille : Ellen est boulimique. Et grosse. Trop grosse pour espérer un jour devenir une star. Pourtant quand, à 19 ans, elle devient Cass Elliot, c’est pour échapper à son avenir de vendeuse de pastrami et tenter sa chance à New York ! C’est là que, happée par la folk de l’époque, Cass tombe amoureuse de Denny, le chanteur des Journeymen…

272 pages.

# Le pensionnat de Mlle Géraldine, tome 3 : Jupons et poisons.

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Toujours élégante, Sophronia continue sa deuxième année au pensionnat – avec un éventail à lames d’acier dissimulé dans les plis de sa robe de bal, bien évidemment. Une arme tendance et fort à propos, puisque la jeune espionne, sa meilleure amie Dimity, l’adorable soutier Savon et le charmant Lord Felix Mersey montent clandestinement dans un train en direction de l’Écosse pour ramener leur camarade de classe Sidheag à sa meute de loups-garous. Personne ne se doute de ce qu’ils vont trouver – ou qui – à bord de ce train étrangement vide. Alors que Sophronia met à jour un complot susceptible de plonger Londres tout entière dans le chaos, elle va aussi devoir décider une bonne fois pour toutes vers qui va sa loyauté.

360 pages.

Ce qui me ferait un total de 1196 pages !

Ma PAL de secours.

# Bride Stories, tome 6.

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Tandis que Smith reprend la route, la vie poursuit son cours tranquille pour Amir et Karluk, au gré de petites tâches du quotidien. Seul évènement notable entre deux parties de chasse : la découverte d’un faucon blessé, que les jeunes gens essaient de soigner tant bien que mal.

Mais cette existence paisible est sur le point de voler en éclats… Les terres fertiles des villageois ont fait des envieux, et certains semblent déterminés à s’en emparer !

190 pages.

# Nos faces cachées.

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Ambrose Young est beau comme un dieu. Le genre de physique que l’on retrouve en couverture des romances. Et Fern Taylor en connaît un rayon, elle en lit depuis ses treize ans. Mais peut-être parce qu’il est si beau, Ambrose demeure inaccessible pour une fille comme elle. Jusqu’à ce qu’il cesse de l’être… Nos faces cachées est l’histoire de cinq amis qui partent à la guerre. L’histoire d’amour d’une jeune fille pour un garçon brisé, d’un guerrier pour une fille ordinaire. L’histoire d’une amitié profonde, d’un héroïsme du quotidien bouleversant. Un conte moderne qui vous rappellera qu’il existe un peu de Belle et un peu de Bête en chacun de nous…

434 pages.

# Ekhö, monde miroir : tome 2.

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Fourmille Gratule est à présent installée à New York, dans le monde d’Ekhö, un monde miroir de la Terre où les technologies modernes d’existent pas. À la tête de l’agence artistique Gratule, héritée de sa tante Odelalie, elle se rend à Paris, accompagnée de Yuri et de Grâce, pour un juteux contrat avec le Poulain Rouge. Mais à peine arrivée dans la capitale française, elle est habitée par le fantôme du Prince Antone, fils de Napoléon VII, mort dans un accident de fiacre. Elle devra résoudre le mystère de sa mort pour redevenir elle-même…

49 pages.

Avec tout ça, je devrais bien réussir à atteindre les 1.000 pages ! Advienne que pourra.

Et vous, vous participez au challenge ce week-end ? Vous allez lire quoi ?

Plein de bisous !

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Challenge BD 2017 !

Coucou les paupiettes 🙂

J’espère que vous avez passé une bonne semaine – moi je suis claquée, j’ai la force de rien faire et je fais que lire des BD. Ça tombe bien, puisque cette année j’ai décidé de participer à cette première édition du Challenge BD, initié par Savon sur Livraddict. Je n’ai pas hésité une seule seconde ! C’est super rare les challenges qui incluent les bandes-dessinées, encore plus ceux qui y sont entièrement consacrés et moi, la BD, j’adore ça !

Le challenge se présente un peu sous la forme des défis PKJ, on a une liste de consignes et on doit en valider le plus possible jusqu’au 31 décembre. J’ai personnellement décidé de tenter les cinquante consignes, j’aime pas faire les choses à moitié héhé. Voici les consignes :

1 – Le premier tome d’une saga
2 – Une BD qui ne soit ni le premier ni le dernier tome d’une saga – Seuls, tome 4 : Les cairns rouges, Gazzotti et Vehlmann.

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3 – Une saga complète
4 – Une BD acheté dans un Salon du livre ou un festival
5 – Une BD empruntée
6 – Une BD de sa wish-list – Jolies Ténèbres, Vehlmann et Kerascoët.

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7 – Le dernier tome d’une saga
8 – Pour le scénario et les illustrations, un duo d’auteurs de nationalités différentes – Seuls, tome 5 : Au cœur du Maelström / Bruno Gazzotti est belge et Fabien Vehlmann est français !

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9 – Pour le scénario et les illustrations, un duo d’auteurs féminines – END, tome 1 : Elisabeth, Barbara Canepa et Anna Merli.

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10 – Une BD qui cible les moins de 12 ans
11 – Une BD fantasy
12 – Une BD faisant partie d’une série dans laquelle les tomes sont indépendants et que l’on peut lire indépendamment les uns des autres
13 – Une BD d’une maison d’édition que l’on ne connaissait pas
14 – Une BD qui fait voyager
15 – Une BD de super-héros
16 – Une BD tirée d’un roman ou un conte – L’attentat, Dauvillier et Chapron, d’après le roman de Yasmina Khadra.

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17 – Une BD ciblant un public adulte
18 – Une BD humoristique
19 – Une BD que l’on vous a offert
20 – Une BD qui vous a déçu – Holy Wood, Portrait fantasmé de Marilyn Monroe, Tommy Redolfi. 

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21 – Une BD avec un animal en couverture – Miss Peregrine et les enfants particuliers, Ransom Riggs et Cassandra Jean.

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22 – Une BD dont le titre (du tome, si le BD fait partie d’une saga) est constitué d’un seul mot
23 – Une BD dont le titre (du tome si la BD fait partie d’une saga) comporte un prénom
24 – Une BD dont vous avez aimé l’histoire mais moins aimé les illustrations
25 – Une BD dont vous avez aimé les illustrations mais moins l’histoire – Yaxin, le faune Gabriel, Canto 1, Dimitri Vey et Manuel Arenas. 

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26 – Une BD en noir et blanc
27 – Une BD dont l’histoire se déroule à une autre époque – Sambre, tome 1 
28- Une BD tirée d’un blog – Culottées, tome 1
29 – Une BD biographique
30 – Une BD reportage/ documentaire
31 – Une BD qui a été adaptée en film – Valérian (par Luc Besson en 2017)
32 – Une BD dont l’histoire se termine en deux tomes
33 – Un one shot
34 – Une BD d’un auteur qu’on a vu en dédicace
35 – Une BD d’un auteur américain – Sweet Tooth
36 – Une BD steampunk – Lady Mechanika
37 – Une BD dont lés évènement se déroulent dans un endroit célèbre (musée, château…)
38 – Une BD qui a reçu un prix à Angoulême – Come Prima 
39 – Une BD qui fait parti des sélections officielles pour Angoulême 2017
40- Une BD parodique (parodie d’autres BD, de films, etc..) – Bloody Harry : La BD dont il ne faut pas prononcer le nom, Alexandre Arlène.

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41 – Une BD qui rend hommage à une série existante (par exemple, « Spirou vu par…  » Il y en a beaucoup en ce moment !)
42 – Une BD autour des 4 saisons
43 – Une BD autour de la cuisine et de la gastronomie
44 – Une romance
45 – Une BD où la nature joue un rôle prépondérant
46- Une BD dans laquelle les personnages principaux ne sont pas des êtres humains – La Petite Mort, tome 2 : Le secret de la licorne-sirène, Davy Mourier.

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47 – Une BD dont les personnages principaux sont des personnes âgées
48- Une BD autour d’un personnage célèbre
49- Une BD dont l’histoire se déroule dans l’espace – Descender
50 – Une BD sans texte

J’en suis déjà à 10/50 ! Mais j’avoue que certains défis me posent un peu problème et je vais avoir besoin de vos bons conseils. Ainsi, en rouge, vous pouvez trouver ce que j’ai prévu de lire dans le courant de l’année pour ces catégories. En gras, ce sont celles qui me posent problème. Si vous avez des BD à me suggérer par rapport à ces différents thèmes, vous me seriez d’un grand secours !

N’hésitez pas à vous joindre à nous si le challenge vous tente !

Plein de bisous !

Retours sur ma première semaine à lire / Bébé Point Culture.

Coucou les paupiettes !

La dernière semaine de décembre, je vous avais dit que je participais à la semaine à lire, initiée par Lili Bouquine. J’avais partagé avec vous ma PAL, mes livres « de secours », mes objectifs, etc, et maintenant est venu le moment de vous dire si j’ai réussi le challenge ou non.

Ce que j’ai lu. 

Alors, finalement, je n’ai pas réussi à m’en tenir à ma PAL de départ. Je m’y attendais un peu, je me connais haha. Cela dit, j’ai quand même réussi à lire quelques uns des livres que j’avais choisi (surtout parce que je devais les rendre à la médiathèque incessamment sous peu). Je me suis un peu égarée en chemin aussi puisque j’ai binge-watché les cinq premières saisons de Drop Dead Diva cette semaine là… Du coup j’ai lu plus de bande-dessinées que de romans haha.

# Poppy Wyatt est un sacré numéro.

En Angleterre, de nos jours. Poppy Wyatt est au bord de la crise de nerfs : elle vient de perdre sa bague de fiançailles, celle qui est dans la famille de son fiancé Magnus depuis plusieurs générations. Et pour couronner le tout, on vient de lui dérober son portable. Juste au moment où elle envisage la fuite à l’étranger, elle découvre dans une poubelle un téléphone. Miracle ! Enfin pas si sûr… Car ce portable appartient à l’assistante d’un dénommé Sam qui n’a pas l’air de saisir l’urgence de la situation. A force de supplications, Poppy réussit à le persuader de lui laisser ledit téléphone. C’est juré, c’est l’affaire de quelques heures, et elle lui transmettra tous ses messages d’ici là. Sauf que bien entendu, toute cette affaire va rapidement tourner au vinaigre : impossible de retrouver cette foutue bague, la soirée avec les beaux-parents vire au désastre, Magnus n’est pas d’un très grand soutien et Lucinda, la très irritable wedding planner, est aux abonnés absents. Et puis, il y a ces messages étranges reçus sur le portable de Sam, qui laisseraient entendre qu’un complot se prépare contre lui dans sa propre entreprise. Poppy parviendra-t-elle à redresser la situation ?

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Au début du challenge, Poppy Wyatt… était ma lecture en cours. J’ai donc terminé celui-ci en priorité, avant de m’attaquer à autre chose. Je connais vraiment mal le travail de Sophie Kinsella puisque jusqu’à présent je n’avais lu qu’un seul roman d’elle (Audrey retrouvée). J’avoue que personnellement ce n’est pas mon genre littéraire favori mais je ne rechigne pas à lire quelques romans de ce style chaque année, ça ne fait jamais de mal. Je pense que ce qui me gêne principalement c’est le fait que l’histoire soit hyper prévisible. Au bout de dix pages, je savais déjà comment ça allait terminer. Cela dit, les différents développements et rebondissements ne sont pas déplaisants et j’ai passé un bon moment en compagnie de Poppy, que j’ai trouvé plutôt attachante. Par contre, j’ai eu un peu plus de mal avec les personnages masculins, assez clichés et pas suffisamment approfondis. Pas de Book Boyfriend à l’horizon.
Je n’ai pas grand chose à dire de plus. L’histoire ne casse pas trois pattes à un canard mais on passe un bon moment. Poppy est maladroite, touchante et plutôt drôle. C’est un personnage que j’ai aimé suivre tout au long de ce roman. Aucune surprise au niveau du dénouement mais bon, on a l’habitude maintenant avec la chick-lit ! Une lecture pas prise de tête, idéale pour les vacances.

14/20

Nombre de pages au compteur = 279

# Lettre à la république des aubergines.

Bagdad, 1997. Salim, jeune étudiant, est arrêté par la police pour avoir lu des livres interdits lors de soirées entre amis de l’université. Torturé, il parvient à taire le nom des filles qui y participaient, parmi lesquelles se trouvait Samia, sa petite amie. Grâce aux relations de son oncle, un riche industriel bien vu du régime, il est libéré dans l’attente de son procès et parvient à s’enfuir via la Syrie. Comme de nombreux exilés irakiens qui servent de main d’oeuvre bon marché, il trouve refuge à Benghazi, en Libye, où il devient simple ouvrier en bâtiment. Désormais sans nouvelles de ses proches, de ses amis et de Samia, son seul but est de faire parvenir une lettre à sa bien-aimée pour l’assurer de son amour fidèle. Mais, de la Lybie à l’Irak, les dictateurs règnent en maîtres (Kadhafi en Libye, Moubarak en Égypte, Abdallah en Jordanie, Hafez el-Assad en Syrie et Saddam Hussein en Irak) et la censure veille. Faire passer une lettre à travers ses mailles est une entreprise difficile et dangereuse. Fin 1999, Salim découvre l’existence d’un réseau clandestin de courrier qui couvre tout le monde arabe. Sans crainte des représailles dont la destinataire pourrait faire l’objet, il ose enfin envoyer sa déclaration à Samia et la confie, moyennant 200 dollars, à ce réseau semi-mafieux très bien organisé. Abbas Khider invite le lecteur à suivre le parcours chaotique de cette lettre d’amour. Chaque chapitre, très bref, donne la parole à un des intermédiaires qui se trouve en sa possession.

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C’est un fait reconnu dans la communauté littéraire internationale, ibidouu adore les livres aux titres complètement farfelus. Forcément, celui-ci a tout de suite attiré mon attention au milieu des nouveautés à la médiathèque et, après lecture du résumé (quand même, faut pas abuser), il a rapidement fini dans mon panier. Ce roman est très court, très rapide à lire et globalement plutôt inintéressant. C’est dommage parce que l’idée de départ était bonne. Les thématiques de l’exil, de la clandestinité et de l’amour auraient pu donner naissance à un roman vraiment fort. Malheureusement l’auteur s’égare très rapidement. On suit simplement le voyage de la lettre de Salim, qui passe de main en main jusqu’au dernier chapitre. Il n’y a aucune véritable tension, c’est assez plat, il n’y a pas de réel rebondissement. On aborde rapidement quelques questions politiques mais c’est très vite balayé pour mettre l’accent sur des morceaux de vie de chacun des personnages. Morceaux de vie qui ne sont pas très excitants et qui ont pour conséquence quelques petites longueurs dans certains chapitres. J’aurais vraiment préféré que l’auteur se focalise sur un personnage, Salim tant qu’à faire, et qu’il ne perde pas de vue le sujet principal de son roman. Si je ne suis pas rentrée dans l’histoire, j’ai tout de même beaucoup apprécié l’écriture d’Abbas Khider. Son roman a quand même réussi à me faire un peu voyager et à me faire découvrir un peu plus une culture que je connais très mal.

12/20

Nombre de pages au compteur = 133

# Le pensionnat de Mlle Géraldine, tome 1.

C’est une chose que d’apprendre à faire une révérence comme il faut. C’en est une autre que d’apprendre à faire une révérence en lançant un couteau. Bienvenue au Pensionnat de Melle Géraldine. Angleterre, début du 19e siècle. Sophronia, 14 ans, est un défi permanent pour sa pauvre môman : elle préfère démonter les horloges et grimper aux arbres qu’apprendre les bonnes manières ! Mrs Temminnick désespère que sa fille devienne jamais une parfaite lady… aussi inscrit-elle Sophronia au Pensionnat de Melle Géraldine pour le Perfectionnement des Jeunes Dames de Qualité. Mais Sophronia comprend très vite que cette école n’est peut-être pas exactement ce que sa mère avait en tête. Certes, les jeunes filles y apprennent l’art de la danse, celui de se vêtir et l’étiquette ; mais elles apprennent aussi à donner la mort, l’art de la diversion, et l’espionnage – le tout de la manière la plus civilisée possible, bien sûr. Cette première année au pensionnat s’annonce tout simplement passionnante.

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Après avoir dévoré Le Protectorat de l’ombrelle, j’étais décidée à découvrir les autres romans écrits par Gail Carriger. Le Pensionnat de Mlle Géraldine nous transporte vingt-cinq ans en arrière, dans une école assez particulière. Ce premier tome est très prometteur, j’ai adoré retrouver l’univers développé par l’auteure dans sa saga précédente. Le côté steampunk est encore une fois très présent, pour mon plus grand plaisir. On retrouve également l’humour caractéristique de Carriger, même si je l’ai trouvé moins présent que dans ses autres romans. Je n’accroche pas autant au personnage de Sophronia qu’à celui d’Alexia Tarabotti, mais j’ai hâte de découvrir la suite de ses aventures (je commence d’ailleurs le deuxième tome ce soir). On sent tout de même que ce roman est destiné à un public plus jeune, il manque le petit côté piquant que j’aimais tant dans Le Protectorat de l’ombrelle. Autre petit bémol : je trouve que les choses vont vite, beaucoup trop vite et que certains passages sont donc traités de façon plutôt superficielle. J’aurais aimé plus de détails, plus de rebondissements. Ça reste une très bonne introduction à une nouvelle saga et je pense que je ne serais pas déçue par l’ensemble.

16/20

Nombre de pages au compteur = 354

# Le piano oriental.

Un récit inspiré de la vie de son ancêtre, inventeur d’un nouvel instrument de musique dans le Beyrouth des années 1960. Folle tentative pour rapprocher les traditions musicales d’Orient de d’Occident, ce piano au destin méconnu n’aura vu le jour qu’en un seul exemplaire, juste avant que la guerre civile ne s’abatte sur le Liban.

Une métaphore amusante – et touchante – de la rencontre de deux cultures, de deux mondes, qui cohabitent chez Zeina et dans son oeuvre.

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J’avais lu des avis plutôt divergents par rapport à cette bande-dessinée. J’avoue que mon avis est mitigé. J’ai apprécié ma lecture mais sans plus. Je n’ai pas trouvé l’histoire hyper transcendante, elle était un peu confuse par moments (on se perd très facilement entre le présent, les flash-backs et les différents personnages). Il y avait tout de même un petit côté poétique qui n’était pas pour me déplaire et l’auteure aborde des thématiques passionnantes telles que l’amour de la musique, des lettres, de la langue ainsi que l’appartenance à un pays, la double nationalité et ce qu’elle sous-entend d’un point de vue culturel. Visuellement, Le piano oriental est un petit bijou. Il y a un très beau travail au niveau des graphismes et cette BD, tout en noir et blanc, vaut le détour simplement pour cet aspect là.

14/20

Nombre de pages au compteur = 208

# Maus.

Maus est une bande dessinée d’Art Spiegelman. Elle raconte, à travers le dialogue de l’auteur et de son père, juif polonais, survivant des ghettos et d’Auschwitz, l’histoire des persécutions nazies, depuis les premières mesures anti-juives jusqu’à l’effondrement du Troisième Reich et l’immédiat après-guerre.

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Maus est un classique de la bande-dessinée qui traine dans ma wishlist depuis des années. Depuis que je suis au lycée en fait, et qu’on en avait étudié des petits bouts en cours de français. J’ai vraiment tardé mais ça y est, j’ai enfin lu l’intégrale d’Art Spiegelman. C’est une très belle bande-dessinée, à mettre entre toutes les mains. L’histoire qui nous est racontée, on la connaît, on l’a déjà entendue (et même vue, je pense que je ne suis pas la seule à avoir vu des documentaires en cours d’histoire) mais ça n’en rend pas la lecture moins intéressante. Artistiquement, Spiegelman a fait des choix très intéressants. Son récit est émouvant, sans tomber dans l’excès. C’est quelque chose que je reproche souvent aux films sur l’Holocauste. A force de chercher à faire pleurer le spectateur, on oublie de traiter le sujet avec respect et justesse. Mais bref, c’est un autre sujet. Spiegelman, ici, a su illustrer l’histoire de son père avec simplicité et le message n’en ressort que plus clairement, ce qui fait de Maus un témoignage incontournable. Je m’attendais peut-être à un peu plus, mais en même temps je ne saurais pas vous dire à quel niveau. Le noir et blanc me parait le choix le plus juste, le plus logique pour une bande-dessinée sur ce sujet. Les dessins sont simples mais efficaces. Le récit est juste, émouvant et fort. Vraiment, je ne saurais pas vous dire pourquoi ce n’est pas un coup de cœur. Mais ça ne l’est juste pas. A lire absolument quand même !

17/20

Nombre de pages au compteur = 296

# Kiki de Montparnasse.

Compagne et modèle de Man Ray, elle fut l’amie de nombreux artistes, de Cocteau à Modigliani et de Foujita à Picasso. Le fabuleux destin d’Alice Prin, alias Kiki de Montparnasse, est retracé dans cet album qui s’est vu décerner le Prix Essentiel Fnac-SNCF en 2008. Avec ce portrait d’une femme éprise de liberté, Catel et Bocquet entraînent le lecteur au coeur du Paris d’entre-deux-guerres, qui vit éclore une génération exceptionnelle de créateurs.

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Kiki de Montparnasse fait partie des quelques rares figures féminines que j’ai eu l’occasion d’étudier pendant ma licence en histoire de l’art. (Triste hein ? C’est vraiment un problème ça, on étudie pas assez les femmes en histoire de l’art)
J’avais beaucoup aimé la biographie réalisée par les deux auteurs sur Olympe de Gouges et c’est donc sans hésitation que j’ai emprunté celle de Kiki à la médiathèque. Le contenu est vraiment complet et intéressant, j’ai découvert beaucoup de choses sur elle. On ressent à chaque page le gros travail qui a été fourni par Catel et Bocquet. On apprend une quantité impressionnante de choses sur cette femme, qui a eu un parcours riche et passionnant, et tout ça en seulement quelques heures. Le dessin est simple mais efficace. L’ensemble est fluide et se lit très facilement. Le format bande-dessinée pour une biographie peut être dangereux, mais le duo maitrise complètement le truc et j’ai hâte de découvrir celle sur Joséphine Baker !

17/20

Nombre de pages au compteur = 336

# Sans âme et Sans forme, Le protectorat de l’ombrelle version manga. 

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Promis, j’arrêterais de vous en parler un jour ! Et oui, j’ai tellement aimé Le Protectorat de l’ombrelle que j’ai décidé de lire l’adaptation manga très peu de temps après avoir fini la saga. Je n’ai pas grand chose à dire, l’histoire est la même, avec quelques passages coupés bien évidemment. Le résultat est tout à fait à la hauteur de mes attentes, j’ai adoré ! On retrouve l’univers de Gail Carriger, son humour, rien à redire là-dessus. Les personnages ne ressemblent pas forcément à l’image que je m’étais faite d’eux, mais moi je trouve ça encore plus chouette. Ça montre qu’à partir d’un même roman, on interprète chacun les personnages différemment, jusque dans les moindres détails on les voit d’une autre façon. En tout cas je trouve cette adaptation très réussie. Il me reste encore le tome 3 à lire. Je suis quand même un peu déçue puisque j’ai appris que l’illustrateur avait décidé de ne pas réaliser les tomes 4 et 5 (pas tout de suite en tout cas). Sachant que ce sont mes deux tomes préférés, j’avais très hâte de voir certaines choses dessinées mais bon… L’espoir n’est pas mort !

17/20

Nombre de pages au compteur = 229 et 243

Ce qui est passé « à la trappe ». 

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Nombre de pages lues du 23 au 30 décembre 2016 = 2.078 !

Sachant que je m’étais fixée pour objectif 2.000 pages, je suis carrément fière de moi ! C’est un challenge que je reprendrais l’an prochain car il n’est vraiment pas prise de tête. On se fixe soi-même ses objectifs et sur une semaine ça se fait plus facilement que sur un week-end. C’était une expérience sympathique. J’avoue quand même que j’avais préféré l’ambiance du week-end à 1.000, il y avait plus de participation, plus d’échanges sur la page Facebook. Ici c’est plus personnel (c’est pas mal aussi des fois).

Du coup, je n’ai pas publié de C’est lundi que lisez-vous ? hier vu que mes dernières lectures sont celles de la semaine à lire. Si ça vous intéresse, sachez que je compte lire cette semaine tous les livres qui sont passés à la trappe la semaine dernière !

Je vous fais plein de bisous et je vous dis à demain (ou après-demain) avec un nouveau Du livre au film !

Défi livresque PKJ #2 – Octobre !

Coucou les paupiettes !

J’ai tenté de nouveau le défi proposé par Pocket Jeunesse ce mois-ci. Pour ceux qui ne connaitraient pas le principe, il « suffit » d’essayer de réaliser une liste de trente tâches et à la fin du mois, on compte nos points !

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1) Lire un livre où le héros/l’héroïne est orphelin(e).

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Les quatre personnages principaux sont orphelins !

2) Lire un roman où au moins un des personnages est en danger de mort.

Le premier personnage qui me vient à l’esprit est Alexia Tarabotti dans Sans forme, puis dans Sans honte puisque j’ai lu les deux tomes ce mois-ci. Elle a frôlé la mort a plus d’une reprise ! Plusieurs personnages sont également en danger de mort dans Carnaval (Ray Celestin) ou encore dans Pourquoi moi (Chelsea Cain).

3) Lire un roman dans lequel une scène se passe à Halloween.

4) Lire un livre PKJ.

J’ai terminé Incarceron, qui m’a fait la transition entre septembre et octobre. J’ai également lu le premier tome de Fablehaven, écrit par Brandon Mull !

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5) Lire un roman avec un prologue.

J’ai lu plusieurs romans comportant des prologues ce mois-ci, notamment Bleu blanc sang (sacré prologue, on en lit rarement des comme ça), mais aussi Cabaret et Pourquoi moi.

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6) Lire un livre qui met en scène des créatures surnaturelles.

Fablehaven met en avant un certain nombre de créatures surnaturelles. J’ai cependant passé un meilleur moment avec les celles de la saga Le Protectorat de l’ombrelle (Sans honte, Sans forme).

7) Lire un tome 2 que vous estimez meilleur que le tome 1.

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8) Lire un livre qui cite une marque de voiture.

J’ai croisé plusieurs Cadillac sur ma route, dans Cabaret mais aussi dans Carnaval. Au tout début du mois, plusieurs marques de voitures étaient également citées dans Sweet Sixteen,  encore la fameuse Cadillac mais aussi une Pontiac..

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9) Partager son avis sur un livre PKJ avec PKJ.

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10) Parler du #défiPKJ sur les réseaux sociaux.

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11) Lire un one shot (tome unique/pas de suite).

J’ai lu plusieurs one shots ce mois-ci, dont Je m’appelle Leon, Sweet Sixteen, Et je danse, aussi, Carnaval, Re-vive l’empereur et Les mots entre mes mains.

12) Lire un livre écrit par un auteur qui utilise un pseudonyme.

Gail Carriger, auteure de la saga Le Protectorat de l’ombrelle, utilise un pseudonyme puisqu’elle s’appelle en réalité Tofa Borregaard !

13) Lire un livre où l’on peut lire des échanges de textos.

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Échange de SMS entre Harriet et Nat dans le troisième tome de Geek Girl !

14) La dédicace du roman que vous lisez est adressée à un membre de la famille de l’auteur.

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Dédicace de Liz Prince à sa mère au début du roman graphique Garçon manqué.

15) Trouver dans un roman une référence à Harry Potter (sans que ce ne soit un livre Harry Potter ou sur Harry Potter).

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On parle d’Harry Potter à plusieurs reprises dans Re-vive l’empereur (Romain Puertolas). 

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Et on parlait aussi dans Toujours maudit ! (David Safier).

16) Lire un livre triste ou avec un passage triste.

Je m’appelle Leon est un livre plutôt triste dans l’ensemble. Il y avait également des passages tristes dans Et je danse, aussi. Entre autres.

17) Le chapitre 15 de votre livre commence par un mot de 3 lettres.

18) Il y a au moins une feuille (recto/verso) complètement blanche dans votre livre.

Je n’ai pas vraiment compris le but de cette tâche.. Il y a quasiment toujours une page blanche au tout début ou à la fin, je ne savais pas si celles là comptaient ou si c’était forcément une page blanche au milieu du récit. J’ai choisi l’option qui m’arrangeait haha, et j’ai lu plusieurs romans avec des pages blanches au début ou à la fin, notamment Carnaval mais aussi Geek Girl ou encore Sans honte.

19) Lire un roman qui se passe en France.

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20) Lire un roman qui s’appuie sur une mythologie (inventée ou non par l’auteur).

Fablehaven, puisqu’il y a des fées, des faunes et toutes sortes de créatures mythologiques. Et Pocket Jeunesse a dit pourquoi pas. Donc je prends ça pour un oui !

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21) Le nom et le prénom de l’auteur du livre que vous lisez se terminent par la même lettre.

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Jillian Larkin pour Cabaret.

22) Lire un livre où l’on distingue une arme sur la couverture.

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On peut difficilement ne pas la distinguer cette arme.. 

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23) Le héros/l’héroïne a plusieurs frères et sœurs.

Liz Prince a un frère et une sœur dans Garçon manqué.

24) Lire un livre écrit par un duo d’auteurs.

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25) Lire un livre où il y a au moins un arbre sur la couverture.

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Vous remarquerez qu’on distingue des arbres derrière les petits enfants !

26) Lire un livre dans lequel les personnages se déguisent.

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Liz dans Garçon manqué.

27) Lire un livre avec une couverture aux couleurs de l’automne (orange, marron…).

Selon moi, Chemin Perdu, Le musée des monstres et Sweet Sixteen ont des couvertures aux couleurs de l’automne.

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28) Le héros/l’héroïne de votre livre a un fort tempérament.

Dire qu’Alexia Tarabotti (Le protectorat de l’ombrelle) a un fort tempérament est assez faible haha, elle a un caractère absolument impossible !

29) Lire un livre qui propose des flashbacks dans le passé.

Pourquoi moi propose un certain nombre de flashbacks dans le passé, tout comme Garçon manqué qui est globalement une succession de flashbacks.

30) Lire et boire une boisson chaude en même temps.

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Et franchement, je suis super fière de moi ! 28/30, c’est un résultat au top. J’espère faire aussi bien en novembre 😀

Et vous, quel a été votre score final au défi d’octobre ? 

Des bisous !

Petit défi – Grignotage de séries !

Coucou les paupiettes !

Petit article rapide pour vous dire que je participe cet été au défi proposé (pour la seconde fois cette année) par La Chambre Rose et Noire ! La chose est relativement simple, il s’agit de donner sa chance à un certain nombre de nouvelles séries, en regardant le premier (voire le deuxième) épisode de la première saison. Sachant que j’ai une liste de séries à débuter qui ne cesse de s’allonger, je pense que ce sera un bon moyen de faire un tri. Il faut tenter trois séries minimum. Pour moi ce sera un petit peu plus héhé, et je vais vous présenter brièvement les séries que j’ai sorti de ma liste.

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# Outlander.

Les aventures de Claire, une infirmière de guerre mariée qui se retrouve accidentellement propulsée en pleine campagne écossaise de 1743. Elle se retrouve alors mêlée à des histoires de propriétés et d’espionnage qui la poussent à prendre la fuite et menacent sa vie. Elle est alors forcée d’épouser Jamie, un jeune guerrier écossais passionné qui s’enflamme pour elle et la conduit à être déchirée entre fidélité et désir, étant partagée entre deux hommes dramatiquement opposés et deux vies irréconciliables.

# The Girlfriend Experience.

« The Girlfriend Experience » explore les relations de call-girls avec leurs clients, auxquels elles offrent plus que du sexe, mais une intimité proche de celle qu’ils peuvent avoir avec leurs épouses ou compagnes.

# Cuckoo.

Une jeune femme tombe sous le charme d’un homme aussi fainéant que particulièrement givré…

# How to get away with murder.

Annalise Keating possède toutes les qualités requises chez un professeur de droit pénal. Brillante, passionnée, créative et charismatique, elle symbolise également tout ce à quoi on ne s’attend pas : sexy, imprévisible et dangereuse. Avocate de la défense, elle représente les criminels, des plus violents jusqu’à ceux suspectés de simple fraude. Chaque année, Annalise sélectionne un groupe d’élèves, qui se révèlent être les plus intelligents et les plus prometteurs, à venir travailler dans son cabinet. Car apprendre auprès d’Annalise est l’occasion d’une vie, celle qui peut tout changer pour ces étudiants, et cela pour toujours. C’est exactement ce qui se produit lorsqu’ils se retrouvent impliqués dans un assassinat qui fera vibrer toute l’université…

# Lady Dynamite.

Une série tirée de la vie de l’humoriste Maria Bamford. Lady Dynamite, c’est l’histoire d’une femme qui tombe au plus bas mais qui finit par se relever.

# The Odd Couple.

Oscar et Felix ont passé la quarantaine mais vivent pourtant en colocation. Il sont divorcés depuis peu de temps et ne s’en sont pas encore vraiment remis. En attendant de trouver les nouvelles femmes de leurs vies, ils se chamaillent à longueur de journée tant ils sont différents. Comme un vrai petit couple !

# Preacher.

Au premier coup d’oeil, le révérend Jesse Custer n’a rien de spécial. Après tout il n’est qu’un homme d’église d’une petite ville, perdant peu à peu ses fidèles et laissant s’éteindre sa foi. Mais il va bientôt avoir la preuve que Dieu existe bel et bien. Et qu' »Il » est un sacré fils de… Avec sa petite-amie Tulip et un vampire nommé Cassidy, le voilà partie sur les routes américaines pour le trouver…

# Poldark. 

Les Cornouailles, en Angleterre, vers la fin du 18ème siècle. Ross Poldark revient de la guerre d’Indépendance américaine pour retrouver sa bien-aimée, mais il ne trouve qu’un monde en ruine : son père est mort, la mine familiale fermée et sa compagne s’est engagée à épouser son cousin. Heureusement pour Poldark, rien n’est perdu…

# Velvet. 

En 1958, les galeries Velvet, maison de couture et grand magasin de Madrid, dominent la mode espagnole. A leur tête, Rafael Márquez souhaite que son fils Alberto, de retour d’Angleterre où il a fait ses études, prenne sa succession. Mais Alberto voit les choses bien différemment de son père, qu’il s’agisse de style ou de sa façon de mener sa vie sentimentale. A l’aube des années 1960, le bouillonnant jeune homme souhaite moderniser les créations maison en s’inspirant de nouveaux couturiers comme Dior ou Balenciaga. Il désire également vivre son histoire d’amour avec Ana, une simple couturière et même si cette relation n’est pas au goût de sa famille…

# Horace and Pete.

La succession douloureuse d’un bistrot miteux et emblématique de Brooklyn, Horace and Pete. Fondé en 1916 et légué de pères en fils et d’oncles en cousins, ce bar à l’ancienne refuse les téléphones portables, ne sert pas de cocktails et fout à la porte les hipsters du Williamsburg voisin.

Voici ma très modeste liste haha. J’ai jusqu’au 1er septembre pour tester chacune de ces séries, j’espère réussir à m’y tenir ! Je ferai un bilan à la rentrée… D’ici là, n’hésitez pas à vous joindre à nous dans ce défi plus que funky !

A bientôt.

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Plein de bisous !