Point Culture #21 – Livres, films, séries.

Coucou les paupiettes !

Après le C’est lundi, que lisez-vous ? de ce matin, nous nous retrouvons déjà pour le traditionnel Point Culture ! Ces deux dernières semaines j’ai beaucoup lu (des romans, des mangas, des bande-dessinées).. J’ai également regardé pas mal de séries, il y a beaucoup de choses que j’aime qui ont repris et, en plus de ça, je continue de regarder les pilots de la rentrée afin de vous proposer un bilan des nouveautés la semaine prochaine. Avec tout ça, je n’ai pas eu le temps de regarder de films, mais j’ai quand même plein de choses à vous faire découvrir. C’est parti !

Livres lus.

# Re-vive l’empereur !

Maintenu en parfait état de conservation par les eaux glaciales de la mer du Nord, repêché par un chalutier, puis décongelé, Napoléon Bonaparte revient à la vie au moment des attentats djihadistes de Paris, juste à temps pour sauver le monde…

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Après la déception qu’avait été La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la Tour Eiffel, j’avais un peu peur de me lancer dans la lecture du dernier Puértolas. Avec un résumé comme ça, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre.
Dans l’ensemble, j’ai bien aimé. L’idée de départ est intéressante et promettait un certain nombre de situations cocasses qui devraient être drôles. On retrouve la plume mordante de l’auteur et son humour politiquement incorrect (et ici, c’est le cas de le dire). Comme dans les ouvrages précédents, on retrouve également beaucoup de chapitres « à morale », qui remettent en question la société actuelle et qui nous poussent à réfléchir au monde qui nous entoure.
Si certains passages sont très bons, l’auteur a parfois été un peu trop loin à mon goût. Le roman offre quelques belles leçons de vie, d’humanité et de tolérance, mais certaines réflexions sont très limites, et Puértolas perd de vue l’essentiel en se confondant dans tout un tas de clichés particulièrement gênants.
Dans l’ensemble, j’ai passé un bon moment de lecture. Puértolas a réussi à me faire sourire avec son Napoléon accro au Coca Light. Je regrette qu’il soit parfois allé trop loin mais il s’est clairement attaqué à un sujet très difficile et ça peut très vite déraper. Selon moi, ce n’est pas un roman indispensable mais il propose une réflexion intéressante. Il faut également noter que c’est un roman original et décalé, dans la veine des précédents écrits de l’auteur et que si vous n’avez pas aimé les autres, vous n’aimerez pas celui-ci.

14/20

# Geek Girl, tome 3.

Je m’appelle Harriet Manners et je suis vraiment en couple.
Je sais que je suis en couple parce que je ris bêtement de mes propres blagues, chante les chansons dont j’ignore les paroles et pirouette sur moi-même, les bras en croix, chaque fois que je traverse un rayon de soleil. Mon quotidien n’est plus qu’arcs-en-ciel, couchers de soleil, textos du matin et coups de fil du soir. Pour la première de ma vie, je veux que ne change…
Alors que feriez-vous si, comme moi, vous deviez déménager à New York et laisser votre amoureux derrière vous?

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Je poursuis ma découverte de la série Geek Girl avec un troisième tome un peu décevant. Pour l’instant, je trouve cette série vraiment inégale. L’histoire de Harriet commence à être un tantinet répétitive, le personnage n’évolue pas, elle répète sans cesse les mêmes erreurs. Ce qui m’a particulièrement énervé dans ce tome, c’est son côté (très) naïf et vraiment immature.
J’ai trouvé dommage que le mannequinat soit aussi peu abordé, limite abandonné au profit de son histoire d’amour avec Nick (histoire d’amour de plus en plus clichée d’ailleurs). On a l’impression de lire le journal intime complètement niais d’une gamine immature, ponctué des habituelles anecdotes geek qui, elles, me font toujours autant rire. Le fait d’avoir un peu mis de côté l’aspect mode dans ce tome a pour conséquence la « disparition » de Wilbur, qui devient un personnage plus que secondaire. Le fait qu’il soit aussi effacé ne correspond à l’univers du roman et c’est vraiment dommage, on perd quelque chose d’important.
Si le roman m’a déçu dans son ensemble, je l’ai quand même lu très rapidement. Je ne le recommande pas particulièrement, mais le contenu reste léger et idéal pour un moment de détente.

12/20

# Et je danse, aussi.

La vie nous rattrape souvent au moment où l’on s’y attend le moins. Pour Pierre-Marie, romancier à succès (mais qui n’écrit plus), la surprise arrive par la poste, sous la forme d’un mystérieux paquet expédié par une lectrice. Mais pas n’importe quelle lectrice ! Adeline Parmelan, « grande, grosse, brune », pourrait devenir son cauchemar… Au lieu de quoi, ils deviennent peu à peu indispensables l’un à l’autre. Jusqu’au moment où le paquet révèlera son contenu, et ses secrets… Ce livre va vous donner envie de chanter, d’écrire des mails à vos amis, de boire du schnaps et des tisanes, de faire le ménage dans votre vie, de pleurer, de rire, de croire aux fantômes, d’écouter le Jeu des Mille Euros, de courir après des poussins perdus, de pédaler en bord de mer ou de refaire votre terrasse. Ce livre va vous donner envie d’aimer. Et de danser, aussi !

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Dans le cadre du défi PKJ d’octobre, il fallait lire un roman écrit par un duo d’auteurs. Ayant lu quelques bonnes critiques de celui-ci, je me suis laissée tenter ! Le livre m’a fait la soirée. Je n’arrivais tout simplement pas à le lâcher ! C’est un peu le piège avec les romans épistolaires parce qu’on se dit toujours « allez, encore une lettre et j’arrête »… Sauf qu’au final, 200 pages plus tard, vous n’êtes toujours pas en train de dormir.
Et je danse, aussi n’est pas un grand roman, ce n’est pas de la très grande littérature. Un certain nombre de petits détails sont assez clichés mais il met en avant des personnages touchants, humains et, par conséquent, terriblement attachants. Si bien qu’on oublie assez vite tous ces petits défauts pour se focaliser sur cet échange drôle et touchant. Les deux auteurs ont réussi à développer une intrigue intéressante par le biais de ces échanges de mails, qui paraissent assez inoffensifs au premier abord. Au fil des messages, l’histoire est de plus en plus prenante et addictive. Et on ne lâchera le roman que quand on connaîtra le fin mot de l’histoire…
C’est un roman sans prétention, idéal pour les vacances ou pour un bon moment de détente, et je vous le recommande sans hésiter !

15/20

# Cabaret : Ingénue (tome 1).

Elles sont jeunes, elles sont riches, elles sont belles. Nous sommes en 1923 et tout peut arriver ! Trois jeunes filles issues de la haute société américaine rêvent de vivre avec leur époque et de s’opposer aux codes de bonne conduite dictés par leur milieu.

Gloria, dix-sept ans, rêve de vivre la nuit, de danser, de faire la fête. Un soir, elle sort en cachette en compagnie de son ami Marcus, et se rend dans un bar clandestin, tenu par le bras droit d’Al Capone. Elle y rencontre Jérôme, le pianiste de l’orchestre et en tombe amoureuse. Mais leur histoire st impossible : Gloria est blanche, Jérôme est noir et, dans cette Amérique des années 20, les relations mixtes sont interdites…

De plus, Gloria est fiancée et va bientôt épouser le fils d’une puissante famille de Chicago. Sa cousine Clara arrive de New York pour aider aux préparatifs du mariage. Et Marcus tombe sous son charme. Mais Lorraine, la meilleure amie de Gloria, ne le supporte pas, et semble prête à tout pour conduire Clara à sa perte.

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Fascinée par la couverture et très intriguée par le résumé, je n’ai pas hésité longtemps avant d’emprunter le premier tome de la série Cabaret. Malheureusement, le roman n’a pas répondu à mes attentes et j’ai été très déçue par son contenu.
Le livre a clairement été écrit pour un public un peu plus jeune. Je n’ai pas adhéré au style de l’auteur, que j’ai trouvé confus et brouillon. Le récit est découpé en chapitres alternant les points de vue de Clara, Lorraine et Gloria. C’était une bonne idée mais l’auteure n’a pas su bien l’exploiter et, par conséquent, le résultat est décousu. Il y a un gros problème de fluidité, les chapitres s’enchaînent sans lien particulier, on passe souvent du coq à l’âne et c’est rapidement assez pénible.
Selon moi, le contexte des années folles n’a pas été assez approfondi. C’est une époque très riche historiquement parlant et l’auteure n’a fait que survoler certains aspects. L’élément principal m’ayant interpellé dans le résumé était la relation entre une femme blanche et un homme noir à une époque où c’était très mal vu, voire interdit. Je m’attentais à un truc de fou et au final cette relation est traitée de façon très superficielle, tout comme la Prohibition. Forcément, c’est un roman jeunesse donc j’avais clairement de trop grandes attentes. Mais la déception est quand même bien là. Ce sont peut-être des choses qui seront abordées plus en profondeur dans le deuxième tome, mais j’ai eu tellement de mal avec la plume de l’auteure que je laisse tomber et je ne poursuivrais pas la série.
Par ailleurs, les personnages sont pour la plupart détestables, ce qui n’arrange rien. Lorraine notamment est égoïste et immature. Impossible de s’attacher à ces enfants de riches pourris gâtés qui essayent soi-disant de se « rebeller », je ris grassement.
Bref, vous l’aurez compris, c’est un roman que je ne recommande à personne. Si vous voulez lire un roman jeunesse sur des amours interdits, tournez vous plutôt vers la série écrite par Anna Godbersen il y a quelques années : The Luxe. Le premier tome s’intitule Rebelles. C’est pas tout à fait la même époque, pas le même contexte ni les mêmes interdits mais j’ai trouvé beaucoup de similarités entre les deux romans (sauf que Rebelles est bien meilleur).

08/20

# Fablehaven. 

Depuis des siècles, les créatures fantastiques les plus extraordinaires se cachent dans un refuge secret, à l’abri du monde moderne. Ce sanctuaire s’appelle Fablehaven. Kendra et Seth ignorent tout de ce lieu magique, dont leur grand-père est pourtant le gardien. Un jour, ils découvrent l’incroyable vérité : la forêt qui les entoure est peuplée d’êtres fabuleux – fées, géants, sorcières, monstres, ogres, satyres, naïades…
Aujourd’hui, l’avenir de Fablehaven est menacé par l’avènement de puissances maléfiques. Ainsi commence le combat des deux enfants contre le mal, pour protéger Fablehaven de la destruction, sauver leur famille… et rester en vie.

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Ça faisait un moment que le premier tome de Fablehaven patientait sagement dans ma PAL, je l’avais cité dans ma sélection de livres à lire au milieu des feuilles mortes parmi les livres que je souhaitais lire cette saison. C’est désormais chose faite !
C’est vraiment un roman jeunesse, accessible aux plus jeunes (dès 10-12 ans je dirais) et ça se ressent pendant la lecture. C’est très simple mais c’est aussi très efficace, bien construit et fluide. Ce sont des choses qui ont une grande importance à mes yeux. Ce premier tome introduit un univers riche, mystérieux et intrigant. Personnellement, Brandon Mull a réussi à éveiller ma curiosité et je compte lire la suite de cette série. Je veux savoir ce que vont devenir Kendra et Seth, qui sont des personnages intéressants, attachants et surtout très jeunes.. ce qui devrait conduire à des évolutions intéressantes au fur et à mesure qu’ils grandissent.
Que ce soit pour vous ou pour offrir à un petit cousin (ou à une petite cousine !), n’hésitez pas. C’est un roman vraiment plaisant et un premier tome prometteur.

16/20

# Pourquoi moi.

Tout le monde pensait que Kick Lannigan était morte.
Enlevée par des inconnus à l’âge de six ans, elle a incarné le pire cauchemar de tous les parents. Cinq ans plus tard, elle est retrouvée et fait la une des journaux. Depuis, Kick n’a eu de cesse de vouloir échapper à son passé. Désormais âgée de vingt et un ans, elle sait se défendre. C’est une pro des armes à feu, elle peut crocheter des serrures, esquiver les coups, lancer des couteaux et étudie les arts martiaux, entre autres activités.
Kick n’est pas vraiment quelqu’un de sociable. Mais quand un mystérieux ex-vendeur d’armes baptisé Bishop lui demande de l’aider à retrouver deux enfants récemment kidnappés, elle accepte. Bishop a des contacts dans la police, des moyens visiblement illimités et encore plus de secrets qu’elle.

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Pourquoi moi faisait également partie de ma PAL automnale. Je n’avais pas d’attentes particulières en débutant ce roman, mais j’avoue que je m’attendais quand même à autre chose. À quelque chose de plus violent en tout cas. L’auteure joue plutôt sur des aspects psychologiques, qui sont finalement tout aussi violents à leur manière. Ce roman, qui traite de sujets difficiles comme la pédophilie et la pédopornographie, ne vous laissera pas indifférent !
Les deux personnages principaux se lancent dans une enquête passionnante, haletante et riche en rebondissements. Le roman, très bien construit, est un véritable page turner. Je n’ai pas réussi à le reposer avant de l’avoir terminé ! Je voulais connaître la fin, impossible de faire autrement.
Les personnages sont tous intéressants, ont tous un passé assez fascinant/troublant et j’ai hâte d’en savoir plus sur eux. Ce sont des personnages forts mais qui ont tous des faiblesses plus ou moins visibles, qui ont été fragilisés par un passé difficile. J’espère que leurs histoires respectives seront un peu plus approfondies dans le second tome.
C’est un roman très fort et riche en émotions (colère, pitié, tristesse, joie, peur.. tout y passe). C’est un très très bon thriller, que je vous recommande les yeux fermés. J’ai personnellement très hâte d’avoir le deuxième tome entre les mains, j’espère que ce sera pour bientôt !

17/20

# Sans forme. 

Miss Alexia Tarabotti est devenue Lady Alexia Woolsey. Un jour qu’elle se réveille de sa sieste, s’attendant à trouver son époux gentiment endormi à ses côtés comme tout loup-garou qui se respecte, elle le découvre hurlant à s’en faire exploser les poumons. Puis il disparaît sans explication… laissant Alexia seule, aux prises avec un régiment de soldats non-humains, une pléthore de fantômes exorcisés, et une reine Victoria qui n’est point amusée du tout. Mais Alexia est toujours armée de sa fidèle ombrelle et des dernières tendances de la mode, sans oublier un arsenal de civilités cinglantes. Et même quand ses investigations pour retrouver son incontrôlable mari la conduisent en Écosse, le repère des gilets les plus laids du monde, elle est prête !

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Je suis très contente d’avoir finalement décidé de continuer la saga du Protectorat de l’ombrelle. Mon avis sur le premier tome était assez mitigé, j’avais eu beaucoup de mal avec le style de l’auteure, mais aussi avec les nombreuses scènes de fesses.. J’avais pas trop accroché. Mais j’avais bien aimé l’ambiance steampunk et surnaturelle, cet univers riche et mystérieux. Donc j’ai tenté ma chance avec le tome 2.
Ce second roman est vraiment mieux ! Je ne sais pas si je me suis habituée ou si Gail Carriger s’est un peu calmée au niveau de son écriture, mais j’ai trouvé le récit beaucoup plus fluide. Les rebondissements sont plus nombreux, plus intéressants. L’intrigue de ce tome est plus prenante. On introduit de nouveaux personnages qui sont fascinants, notamment Madame Lefoux. J’ai trouvé la lecture de ce tome beaucoup plus agréable. J’ai bien ri. Alexia a toujours son caractère bien trempé, qui conduit souvent à des situations loufoques absolument délicieuses.
Et puis il y a cette fin.. Cette fin n’appelle qu’à une seule chose : lire la suite (et au plus vite) ! En résumé, je commence à vraiment m’attacher à cette série malgré des débuts un peu difficiles. Je vous en recommande la lecture, vous passerez un moment fort plaisant et drôle. Si, comme moi, vous avez un peu de mal au début.. Accrochez-vous ! La suite vaut son pesant de cacahuètes.

16/20

J’ai aussi lu Le Musée des monstres et Toujours maudit !

Point BD.

# Saga, tome 1.

Un univers sans limite, peuplé de tous les possibles. Une planète, Clivage, perdue dans la lumière froide d’une galaxie mourante. Sur ce monde en guerre, la vie vient d’éclore. Deux amants que tout oppose, Alana et Marko, donnent naissance à Hazel, un symbole d’espoir pour leurs peuples respectifs. L’espoir, une idée fragile qui devra s’extraire du chaos de Clivage pour grandir, s’épanouir et conquérir l’immensité du cosmos.

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Suite à mon article sur Gotham Girls, je vous avais demandé des conseils en matière de comics et Saga m’avait été recommandé par plusieurs d’entre vous. Je me suis donc empressée d’emprunter les deux premiers tomes  lors de mon dernier voyage à la médiathèque.
Et bien ma foi, je ne suis pas déçue ! C’est un premier tome très prometteur. J’ai beaucoup aimé l’ambiance de la bande-dessinée, qui prend place dans un univers fascinant et original. Les personnages sont très attachants. Les dessins sont magnifiques. J’ai également apprécié les petites touches d’humour que l’on retrouve au fil des pages.
L’intrigue qui se développe me plait beaucoup et j’ai hâte de découvrir le second tome (ce qui ne saurait tarder) ! En attendant, je vous conseille de vous jeter sur ce comic !

17/20

Films vus.

Ces deux dernières semaines je n’ai pas regardé un seul film ! C’est assez rare mais ça m’arrive. Il y a beaucoup de séries qui ont repris et j’ai tellement de livres à lire que je n’ai pas pris le temps d’en regarder.

Séries débutées.

# Wrecked.

Après un crash d’avion, un groupe de survivants doit apprendre à vivre ensemble tout en faisant face à la nature qui les entoure, laissant derrière eux leur petit confort personnel.

Allez, un trailer différent de celui d’hier.

J’ai mentionné cette série hier dans le Smells like Tag Séries, dans la catégorie Dernier binge watching intensif. Ça faisait un petit moment que la série trainait dans ma liste et je cherchais un truc nouveau et drôle à regarder, donc je me suis lancée. Je n’ai vraiment pas regretté !

La série est composée pour l’instant d’une seule saison de dix épisodes au format court (20 minutes), elle a été renouvelée pour une saison 2. La série n’a rien de vraiment très original mais les acteurs sont bons, les épisodes sont bien construits et les blagues sont efficaces. L’ensemble fait mouche et moi, ça me fait beaucoup rire. On retrouve toutes sortes de références à Lost et à Koh Lanta. C’est frais, décalé (parfois un peu stupide mais on en a vraiment besoin par moments) et j’adhère complètement. J’ai trouvé la saison 1 trop courte ! J’aurais vraiment apprécié qu’il y ait plus d’épisodes. Mais, dans un sens, c’est peut-être mieux. Ils s’économisent, privilégient la qualité sur la quantité et la saison 2 n’en sera que meilleure (j’espère).
Je vous recommande cette série les yeux fermés (regardez la quand même les yeux ouverts – hahahahahahaha, je sors), surtout si vous voulez passer un bon moment, pas prise de tête, à rire à gorge déployée !

18/20

C’est la fin de ce bilan, j’espère vous avoir fait découvrir quelques petites choses ! N’hésitez pas à me donner vos avis sur les livres que vous auriez possiblement pu lire (ou sur Wrecked, si vous l’avez vue). Et vous, qu’avez-vous lu et vu récemment qui vaut le détour ? Dites moi tout !

A bientôt !

Des bisous.

Publié par

Ibidouu

Petite chose à la recherche d'un avenir.

11 réflexions au sujet de “Point Culture #21 – Livres, films, séries.”

  1. Pour les romans je ne peux pas dire, mais pour SAGA en voilà un très (très) bon choix ! J’adore ! C’est mon comics favoris ! Les 6 tomes sont géniaux. 🙂 D’une manière générale je te conseille toutes les œuvres du scénariste. (mais je te l’avais déjà dit non ?)

    Wrecked est également la dernière série que j’ai « binge watché », une bonne surprise !

    Aimé par 1 personne

    1. Oui il me semble que tu faisais partie de ceux qui m’ont recommandé Saga ! J’ai lu le deuxième tome aujourd’hui, que j’ai trouvé un chouïa moins bon mais je suis toujours à fond dedans! J’irais regarder ce que le scénariste a fait d’autre 🙂
      Aah je suis contente de voir que quelqu’un d’autre a regardé Wrecked ! On en a vraiment très peu entendu parler de cette série. Si je n’étais pas tombée sur le trailer par hasard sur Youtube, je ne l’aurais probablement jamais vue x)

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