TAG – Qui a peur du grand méchant livre ?

Coucou les paupiettes !

En ce dimanche j’aurais normalement dû publier un ma-gni-fi-que point culture. Malheureusement, j’ai été trop occupée par la rédaction de la première page de mon mémoire hier.. Puis par une partie de Munchkin endiablée (désolée). Donc je n’ai pas eu le temps de le finir, ce sera pour demain ! En attendant, j’ai décidé de répondre rapidement à un nouveau TAG : Qui a peur du grand méchant livre. Il tourne pas mal en ce moment, je l’ai vu sur beaucoup de blogs. Personnellement, j’ai été nominée par June&Cie et ça m’a fait très plaisir héhé.

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Le principe est simple en soi. Mais en fait non. Il faut commencer par évoquer cinq pavés dans lesquels on redoute de se lancer, puis cinq petits livres que l’on a adorés. C’est là que ça se complique.. June expliquait sur son blog qu’un pavé était un livre de 500 pages et plus et qu’un petit livre faisait moins de 200 pages. Je n’ai pas vraiment peur d’un pavé (en soi) mais disons que je lis surtout des romans qui tournent autour des 300/400 pages. Embêtant, n’est-ce pas ? Après avoir longuement réfléchi, j’ai quand même réussi à trouver quelques ouvrages à citer, c’est parti!

Les gros pavés qui me font (un petit peu) peur.

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# Guerre et Paix, Léon Tolstoï.

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Affichant 1248 pages au compteur (pour cette édition, dans certaines ça va jusqu’à 1600 pages !), j’avoue que je repousse pas mal ma lecture de ce cher Tolstoï. J’ai vraiment très envie de découvrir Guerre et paix, c’est un classique que je veux vraiment lire. Mais 1248 pages, c’est tendu du string quand même. Pour être parfaitement honnête, je pense que c’est surtout le fait qu’il ait été écrit au XIXème siècle qui me fait peur. Je crains les grosses longueurs, j’ai peur à l’avance d’abandonner un roman à cause de choses un peu « futiles » alors que je sais déjà que l’histoire globale va me plaire. Enfin bref. Je m’y mettrais quand j’aurais fini mon propre pavé de 120 pages haha.

# Les piliers de la Terre, Ken Follett. 

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Ce petit livre de 1181 pages a rejoint ma PAL il y a deux semaines, quand je l’ai trouvé en vide-grenier pour 0,50 centimes. Je ne pouvais pas passer à côté d’une telle affaire, je voulais absolument lire ce roman dont j’ai entendu de très très bonnes choses. Le truc un peu con-con, c’est que maintenant qu’il est sur mon étagère, je pense qu’il va y rester un moment.. Un livre de poche de plus de 1000 pages, je sais pas si vous voyez ce que ça donne, mais c’est écrit en pattes de mouche à l’intérieur, les pages sont noires, pas du tout aérées (et moi j’aime une lecture aérée). Quand je le vois, je soupire d’avance. Je sais qu’il va me faire mal aux yeux, même si l’histoire est géniale. Donc je m’y attellerais quand je serais moins fatiguée, ça c’est clair et net. Cet été, je sens que mon objectif va être de vider ma PAL de ses pavés..

Entre copines de TAG, on devrait se lancer un défi pour l’été, un challenge haha. 

# 1Q84, Haruki Murakami.

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Dans ma PAL, j’ai les trois tomes de la saga 1Q84. Depuis presque deux ans haha. Les tomes 1, 2 et 3 font respectivement 552, 504 et 530 pages. 1586 pages au total. Tout pareil que pour Les piliers de la Terre, j’en ai entendu tellement de bonnes choses sur cette trilogie.. Je ne sais pas ce que j’attends. Des fois je me demande si inconsciemment je ne repousse pas certaines lectures juste parce que j’ai peur d’être déçue. Peut-être que j’ai peur de me lancer dans le premier tome et de détester. Et de me dire « noooooon que vas-tu faire des deux autres tomes ? Tu les as acheté, tu dois les lire ! », de ne jamais les lire et les laisser moisir sur mon armoire. Ou de me forcer à les lire, ce qui est encore pire. Et ça m’embêterait franchement beaucoup de me forcer à lire 1586 pages, pas vous ?

# Jane Eyre, Charlotte Brontë. 

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Mon père m’a acheté Jane Eyre, je crois que j’étais au collège. ÇA DATE UN PEU. A l’époque, je vivais SF et Fantasy, je ne jurais que par ça. Donc Jane Eyre, comment dire.. Ça ne me tentait pas plus ça. Et ça nous mène à aujourd’hui, presque 23 ans, je lis à peu près de tout. Mais je n’ai toujours pas lu ce mother-f*cking bouquin qui traine dans ma PAL depuis dix ans. Et le pire, c’est que je ne saurais même pas vous dire vraiment pourquoi je ne l’ai toujours pas lu. J’ai été surprise de voir qu’il faisait 695 pages, il avait l’air plus petit dans ma main haha. Il ne fait pas « gros pavé effrayant ». Je pense qu’il va juste falloir que l’un ou l’une d’entre vous me force à le lire. Genre vraiment. Sinon il continuera à moisir pendant les dix prochaines années dans ma PAL. Ayez pitié de Jane Eyre !

# Sur la route, Jack Kerouac. 

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Sur la route est un peu ma bête noire. J’ai essayé de le lire plusieurs fois mais je crois que je n’étais jamais dans le bon « état d’esprit ». Ça fait plusieurs années qu’il traine donc sur une étagère. Et vu que je garde un mauvais souvenir de mes premières tentatives, j’ai désormais peur de lui redonner sa chance. Peut-être qu’un jour j’arriverais à terminer ses 624 pages. J’espère ! Je ne sais pas vraiment dans quel état d’esprit il faut être d’ailleurs pour lire ce roman.. Si certains d’entre vous l’ont lu (et l’ont aimé, ça a son importance), vous avez fait quelque chose de particulier ? Ou il faut juste que j’abandonne ?

Les petits riquiquis que j’ai (beaucoup) aimé.

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# Des souris et des hommes, John Steinbeck.

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Ce petit livre de 175 pages est un classique que j’ai dévoré en une après-midi, il y a de ça quelques années. Et j’en garde toujours un excellent souvenir ! Le film est également très bon, pour ceux qui n’auraient pas la foi de lire ce livre riquiqui haha. J’en ferais probablement un « Du livre au film » très prochainement. Si vous êtes sages.

# La ferme des animaux, George Orwell.

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Les petits classiques sont les meilleurs haha. La ferme des animaux fait 151 pages. Je l’ai découvert assez tardivement (l’année dernière, j’en avais parlé dans un point culture) mais je l’avais trouvé très enrichissant. Malgré son côté un peu dérangeant, j’avais beaucoup aimé et je le recommande à tout ceux qui ne l’auraient pas encore lu !

# Certaines n’avaient jamais vu la mer, Julie Otsuka.

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J’ai découvert ce petit livre (143 pages) l’année dernière. Si ce n’était pas un coup de coeur, c’était quand même une très belle découverte et je vous recommande ce petit livre très poétique et qui nous permet de découvrir un épisode historique méconnu. Il se lit vraiment  très rapidement et il vaut le détour ! Il nous remue tout l’intérieur !

# Le Petit Prince, Antoine de Saint-Exupéry.

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Maintenant, je pense que vous êtes tous au courant, Le Petit Prince est un de mes petits livres préférés. Il fait 95 pages en version Folio Junior, je l’ai en tellement de version différente.. Le nombre de pages change à chaque fois. Mais bon, dans tous les cas il fait moins de 200 pages ! Plus besoin de le présenter, je pense que tout le monde connait le petit bonhomme. Si jamais vous faites partie des dernières personnes parlant le français et ne l’ayant pas lu.. Bah faites le ! Vous attendez quoi ?

Pour le dernier je triche un peu, je n’ai pas trouvé de livre que j’avais suffisamment aimé pour le mettre ici. Et je ne voulais pas en sortir un pour le mettre parce qu’il fallait en mettre un. Voyez ? Et vu qu’il faut qu’il fasse moins de 200 pages, j’ai décidé de mettre le petit livre riquiqui qui me fait le plus envie dans ma PAL :

# Sans nouvelles de Gurb, Eduardo Mendoza.

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Ce petit livre tout rouge fait 125 pages et il a l’air génial. J’ai vraiment vraiment vraiment très très hâte de le lire. Mais vu que je fais des choix pas super logique dans ma vie, je jongle en ce moment entre mon mémoire et les sept (presque) pavés que j’ai emprunté à la médiathèque (et NON, je ne les ramènerais pas sans les avoir lu ! J’ai enfin La voleuse de livres, U4, Le cirque des rêves et le premier tome des Outrepasseurs, y a des priorités dans la vie). Bref, hors-sujet. Voici le résumé de Sans nouvelles de Gurb (source : Livraddict) :

« 16h.00 – J’entre dans une boutique. J’achète une cravate. Je l’essaye. Je conclus qu’elle me va bien et j’achète quatre-vingt-quatorze cravates pareilles.
17h.00 – J’entre dans une charcuterie et j’achète sept cents jambons fumés.
20h.00 – Je décide que l’argent ne fait pas le bonheur, je désintègre tout ce que j’ai acheté, et je continue ma promenade les mains dans les poches et le coeur léger. »

Gurb a disparu dans Barcelone, dissimulé sous les traits de Madonna. Précision : Gurb est un extraterrestre. Parti à sa recherche sous une apparence moins voyante, son coéquipier tient scrupuleusement le journal de ses observations. Une satire délirante et désopilante des moeurs de notre société…

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Et ça y est, j’ai ENFIN terminé ce Tag. Ça va, je n’ai passé que deux heures et demie dessus.

Normalement, ici, viendrait le temps des nominations. Mais honnêtement, je crois que quasiment tout le monde l’a fait donc je ne vais pas me fatiguer à passer 45 minutes à chercher des gens qui n’ont pas encore eu l’honneur d’y répondre. Considérez-vous comme automatiquement désigné et répondez à ce Tag ! *hahahahaha*

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Plein de bisous !

A demain pour le point culture 😀

Top 10 des livres aux titres farfelus à trainer n’importe où. Et faire genre t’es une personne rigolote et cultivée.

Coucou les paupiettes ! 

Je vous ai concocté un nouveau top 10, tout droit sorti de mon magnifique cerveau (haha) : celui des livres aux noms farfelus que j’ai lu (et qui m’ont plu), mais aussi ceux qui m’ont attiré l’oeil et qui trainent dans ma PAL ou dans ma wishlist. On y va ?

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#1 L’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea. 

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IKEA. Ou comment un banal et innocent mot de quatre lettres, prononcé à mi-voix dans un taxi à Roissy Charles de Gaulle, peut vite devenir le début d’une rocambolesque et hilarante aventure. De la crise européenne au régime post-Kadhafiste libyen, un voyage inattendu, riche en quiproquos et rebondissements, ballotera, dans une armoire, un arnaqueur professionnel sur le chemin de la rédemption et de l’amour.

#2 Le cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates. 

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Janvier 1946. Londres se relève douloureusement des drames de la Seconde Guerre mondiale et Juliet, jeune écrivaine anglaise, est à la recherche du sujet de son prochain roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d’un inconnu, un natif de l’île de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil de ses échanges avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre son monde et celui de ses amis – un monde insoupçonné, délicieusement excentrique. Celui d’un club de lecture créé pendant la guerre pour échapper aux foudres d’une patrouille allemande un soir où, bravant le couvre-feu, ses membres venaient de déguster un cochon grillé (et une tourte aux épluchures de patates…) délices bien évidemment strictement prohibés par l’occupant. Jamais à court d’imagination, le Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates déborde de charme, de drôlerie, de tendresse, d’humanité Juliet est conquise. Peu à peu, elle élargit sa correspondance avec plusieurs membres du Cercle et même d’autres habitants de Guernesey , découvrant l’histoire de l’île, les goûts (littéraires et autres) de chacun, l’impact de l’Occupation allemande sur leurs vies… Jusqu’au jour où elle comprend qu’elle tient avec le Cercle le sujet de son prochain roman. Alors elle répond à l’invitation chaleureuse de ses nouveaux amis et se rend à Guernesey. Ce qu’elle va trouver là-bas changera sa vie à jamais.

#3 Sa majesté des mouches.

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Une bande de garçons de six à douze ans se trouve jetée par un naufrage sur une île déserte. L’aventure apparaît aux enfants comme de merveilleuses vacances : ils se nourrissent de fruits, se baignent, jouent à Robinson. Mais il faut s’organiser et, suivant les meilleures traditions des collèges anglais, ils élisent un chef… Un grand roman d’aventures, mais surtout un magnifique roman d’apprentissage de la vie en société avec ces règles et ses cruautés.

#4 Autobiographie d’une courgette.

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Icare dit « Courgette », petit garçon de 9 ans, est né du mauvais côté de la vie.
Depuis tout petit, il veut tuer le ciel, à cause de sa mère qui dit souvent : « Le ciel, ma Courgette, c’est grand pour nous rappeler que dans la vie on n’est pas grand chose ».
Depuis son accident, la mère d’Icare ne travaille plus, boit de la bière en regardant la télévision et ne s’occupe pas de son fils.
Un jour Courgette, à défaut de tuer le ciel, va tuer accidentellement sa mère. Le juge le déclare « incapable mineur ».
Placé en maison d’accueil, Courgette découvre enfin l’Amitié, les fous rires, les larmes, les émotions et l’Amour…
Un petit chef-d’oeuvre d’humour et d’émotions. L’apprentissage d’une vie…

#5 James et la grosse pêche. 

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Les parents de James ayant été dévoré par un rhinocéros, le petit garçon vit maintenant chez ses deux affreuses tantes qui lui en font voir de toutes les couleurs. Mais un jour, un drôle de personnage lui offre un cadeau pas comme les autres.
Suspense, peur, rebondissements, personnages merveilleux sont au cœur de l’aventure de James.

#6 Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire. 

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Le jour de ses cent ans, alors que tous les notables de la ville l’attendent pour célébrer l’événement, Allan Karlsson s’échappe par la fenêtre de sa maison de retraite quelques minutes avant le début de la fête organisée en son honneur. Ses plus belles charentaises aux pieds, le vieillard se rend à la gare routière, où il dérobe une valise dans l’espoir qu’elle contienne une paire de chaussures. Mais le bagage recèle un bien plus précieux chargement, et voilà comment Allan se retrouve poursuivi par la police et par une bande de malfrats… Commence alors son incroyable cavale à travers la Suède, mais aussi, pour le lecteur, un étonnant voyage au coeur du XXe siècle, au fil des événements majeurs auxquels le centenaire Allan Karlsson, génie des explosifs, a été mêlé par une succession de hasards souvent indépendants de sa volonté.

Ma chronique ici : ***

Ceux que je n’ai pas encore lu…

#7 Journal d’un vieux dégueulasse.

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Le Journal d’un vieux dégueulasse réunit les chroniques de Bukowski parus dans le magazine anti-conformiste Open City depuis 1967.

Avec sa verve scandaleuse, l’écrivain y exprime sa révolte contre la société américaine : argent, famille, morale. Il y dessine aussi le mode de vie pour lequel il sera si connu : sexe, alcool, marginalité.

#8 Comment braquer une banque sans perdre son dentier.

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Wanted : Ils sont cinq, trois femmes, deux hommes. Cheveux blancs, déambulateurs, ils s’apprêtent à commettre le casse du siècle. Si vous les croisez, restez prudents, et surtout ne tentez pas de vous interposer.

Ils s’appellent Märtha, Stina, Anna-Greta, le Génie, le Râteau, ils chantent dans la même chorale et vivent dans la même maison de retraite. Nourriture insipide, traitement lamentable, restrictions constantes, pas étonnant que les résidents passent l’arme à gauche. Franchement, la vie ne serait pas pire en prison ! D’ailleurs, à Stockholm, elles ont plutôt bonne presse… Voilà l’idée ! Les cinq amis vont commettre un délit et faire en sorte d’être condamnés : en plus d’avoir la vie douce, ils pourraient redistribuer les bénéfices aux pauvres et aux vieux du pays.
Un brin rebelles et idéalistes, un peu fous aussi, les cinq comparses se lancent dans le grand banditisme. Mais évidemment rien ne va se passer comme prévu…

#9 Et les hippopotames ont bouilli vifs dans leurs piscines.

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Manhattan, été 1944. Autour de Will, serveur dans un bar, et de Mike, marin dans la Marchande, gravite toute une constellation d’amis sans le sou, qui errent dans la chaleur de la ville, font le va-et-vient entre les appartements des uns et des autres et se retrouvent lors d’improbables soirées. Parmi eux, Phillip, un gamin de dix-sept ans à la beauté insolente, et Ramsay Allen, dit Al, la quarantaine un peu pathétique, qui est éperdument amoureux de lui. Partout où va Phil, Al, jamais découragé par l’indifférence et les refus du garçon, le suit comme son ombre. Pour lui échapper et par goût de l’aventure, Phil accepte la proposition de son ami Mike : s’embarquer, dès que possible, sur un navire de la marine marchande vers Paris, la ville des poètes et des artistes qui aura sûrement été libérée d’ici là. Mais le départ tant attendu est plusieurs fois reporté…

#10 La petite boulangerie du bout du monde.

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Quand son mariage et son entreprise familiale font naufrage, Polly Waterford quitte Plymouth et trouve refuge dans un petit port tranquille d’une île des Cornouailles. Elle s’installe seule dans un minuscule appartement situé au-dessus d’une boutique laissée à l’abandon. Pour se remonter le moral, elle se consacre à son plaisir favori : fabriquer du pain. Alors qu’il n’y a plus dans le village qu’une boulangère irascible au pain sans saveur, les arômes de levain qui s’échappent de chez elle attirent très vite la curiosité et la sympathie des habitants. Petit à petit, d’échanges de services en petits bonheurs partagés, elle ravive l’esprit d’entraide et de partage dans le village. Au fil des rencontres farfelues (un bébé macareux blessé, un apiculteur dilettante, des marins gourmands) et au gré des événements heureux ou tragiques qui touchent la communauté, ce qui ne devait être qu’un simple  » break  » devient l’entreprise de sa vie. Polly se révèle enfin à elle-même : une femme déterminée et créative, prête à mordre dans la vie comme dans une mie de pain chaude et croustillante. Un feel good book qui, sur fond de crise économique prône des valeurs de partage et d’entraide. Un ton bienveillant et drôle, pour une histoire romantique avec quelques accents mélancoliques qui ne tombe jamais dans la mièvrerie.

Ceci est bien entendu une petite sélection. Il semblerait qu’aujourd’hui ce soit la course au titre le plus original, et que ces titres sont ceux qui se vendent le mieux, ceux qui font le buzz. Forcément, je ne vais pas le nier, je suis généralement attirée par ces romans aussi. Mais un bon titre ne signifie pas bon roman, malheureusement. J’ai ainsi été déçue par La femme qui décida de passer une année au lit, La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la Tour Eiffel, Les moustaches de la sagesse – Conte du chat Salomon qui tomba des étoiles, Moi j’attends de voir passer un pingouin

Et vous ?

Quels sont les meilleurs livres aux titres farfelus que vous avez pu lire ?

Ceux qui vous ont déçu ?

A bientôt !

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Des bisous.