On se retrouve aujourd’hui pour une nouvelle chronique livresque. Je vais vous parler d’un roman que j’ai lu en lecture commune avec Sorbet Kiwi. Publié aux éditions 10/18, Comment se sortir d’une poupée gonflable et de beaucoup d’autres ennuis encore est le premier tome de la série Wilt. Elle a été écrite par Tom Sharpe, un auteur britannique, en 1976.
Professeur de culture générale d’un lycée technique à Londres, Henry Wilt aborde la quarantaine dans un état critique. Alors qu’il tente à longueur de journée d’instruire une bande d’adolescents qui se soucient du sonnet shakespearien comme de leur premier porridge, sa femme Eva saisit la moindre occasion pour le harceler. Et tout y passe : son manque d’ambition, sa virilité de mollusque, son goût immodéré pour la bière. Wilt ne peut que grommeler en subissant ces réprimandes. Jusqu’à cette fameuse soirée, où ridiculisé une fois de trop, il décide de supprimer celle qui a fait de sa vie un enfer.
Après quelques jours (semaines ?) d’absence, je suis de retour ! Je n’ai pas eu le temps de planifier des articles avant de partir en vacances mais on va rattraper tout ça dès aujourd’hui. On va commencer par regarder ce que j’ai lu ces derniers temps.. c’est à dire pas grand chose, puis je vais vous présenter mes prochaines lectures. Ça vous dit ? C’est parti !
Concernant ce rendez-vous hebdomadaire, il est aujourd’hui géré par Galleane, chez qui vous pouvez retrouver le récapitulatif de tous les participants et les liens vers leurs articles.
Le principe est simple, il suffit de répondre à trois petites questions chaque lundi :
Dans cinq jours je suis en vacances, j’ai hâââââââte ! Je vais pouvoir passer un peu de temps à glandouiller et à ne rien faire à part lire et regarder des séries héhé. Ma panne de lecture semble être derrière moi puisque j’ai réussi à lire quelques petites choses cette semaine. J’ai également cassé ma tirelire et j’ai fait une razzia chez Gibert Joseph ! J’ai hâte d’attaquer tout ça. En attendant, on fait le point sur mes lectures ?
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Le principe est simple, il suffit de répondre à trois petites questions chaque lundi :
Je vais avoir un tout petit peu plus de choses à vous dire cette semaine (mais vraiment pas beaucoup plus haha). Je retrouve lentement mais sûrement mon appétit pour la lecture et j’ai réussi à terminer mes deux lectures en cours cette semaine ! Victoiiiiire ! Vu mon état de fatigue en rentrant le soir, j’ai quand même surtout regardé des séries ces derniers jours (mais je pense que ça va être le cas jusque fin juillet, je vais surtout lire le week-end). Cette semaine je me suis mise à jour dans Friday Night Dinner et Good Girls, deux très bonnes séries ! Bon, on parle lecture ?
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J’ai envie d’une nouvelle rubrique. De partager encore plus de trucs avec vous. Et du coup j’ai décidé de créer une rubrique « Trouvailles ». J’ai pas inventé l’idée, c’est pas original ou quoi que ce soit, mais j’ai des trucs à partager avec vous et je vais le faire. Je vais essayer de publier dans cette rubrique toutes les semaines ou toutes les deux semaines, comme le Point Culture. Sauf que ce sera le lundi. Voilà. J’espère que vous êtes contents.
# La trouvaille choc – Sonita Alizadeh, le rap contre le mariage forcé.
L’autre jour, sur le blog Le Four’tou de Lexy, j’ai cliqué sur un lien qui m’a mené au site Terra Femina. De clic en clic, je suis tombée sur cette vidéo qui, je pense, mérite d’être partagée. Je ne suis vraiment pas une fan du rap, mais les paroles de Sonita Alizadeh sont vraiment très fortes et doivent être entendues.
Magnifiques photographies surréalistes de Logan Zillmer. Je n’aime pas tout ce qu’il fait, mais certaines photos sont très poétiques ou pleines d’humour. Je suis fascinée par son portfolio.
Professeur de culture générale d’un lycée technique à Londres, Henry Wilt aborde la quarantaine dans un état critique. Alors qu’il tente à longueur de journée d’instruire une bande d’adolescents qui se soucient du sonnet shakespearien comme de leur premier porridge, sa femme Eva saisit la moindre occasion pour le harceler. Et tout y passe : son manque d’ambition, sa virilité de mollusque, son goût immodéré pour la bière. Wilt ne peut que grommeler en subissant ces réprimandes. Jusqu’à cette fameuse soirée, où ridiculisé une fois de trop, il décide de supprimer celle qui a fait de sa vie un enfer.
Après avoir lu la chronique de ce roman sur le blog de Serial Bookineuse, je me le suis approprié la semaine dernière. J’espère qu’il me plaira autant qu’à elle ! Il aurait (par ailleurs) lui aussi pu rentrer dans le Top 10 des titres farfelus x)
La Petite Mort vit des jours heureux avec Papa et Maman Mort. Il va à l’école, tombe amoureux d’une fille de sa classe et essaie de se faire des amis. Bref, à quelques détails près, la Petite Mort est un enfant comme les autres, si ce n’est qu’il a un avenir tout tracé : quand il sera grand, il reprendra le travail de Faucheuse de son père. Ce qui tombe mal, car la Petite Mort veut être fleuriste !
Sur les bons conseils de Noisetierspell, je me suis également procuré le premier tome de La Petite Mort, reçu juste avant de partir à Paris. Je n’ai pas encore eu le temps de le lire, mais j’ai très hâte !
La paupiette culturelle 