Il est grand temps de rallumer les étoiles – Virginie Grimaldi.

Coucou les paupiettes !

On se retrouve aujourd’hui pour une chronique livresque toute fraîche ! Au début de la semaine, je vous ai présenté ma PAL de l’été (les livres que je possède et ceux que j’aimerais acquérir). Parmi les auteurs présents dans cette liste, il y avait Virginie Grimaldi. C’est une auteure dont j’entends beaucoup parler depuis que je suis sur la blogo littéraire, une auteure que j’avais hâte de découvrir et c’est désormais chose faite puisque j’ai lu cette semaine son dernier roman : Il est grand temps de rallumer les étoiles. Ce dernier a été publié aux éditions Fayard en mai 2018. Avant de vous donner mon avis, je tiens à remercier la maison d’édition et Netgalley pour l’envoi de ce livre !

Anna, 37 ans, croule sous le travail et les relances des huissiers. Ses filles, elle ne fait que les croiser au petit déjeuner. Sa vie défile, et elle l’observe depuis la bulle dans laquelle elle s’est enfermée. À 17 ans, Chloé a des rêves plein la tête mais a choisi d’y renoncer pour aider sa mère. Elle cherche de l’affection auprès des garçons, mais cela ne dure jamais. Comme le carrosse de Cendrillon, ils se transforment après l’amour. Lily, du haut de ses 12 ans, n’aime pas trop les gens. Elle préfère son rat, à qui elle a donné le nom de son père, parce qu’il a quitté le navire. Le jour où elle apprend que ses filles vont mal, Anna prend une décision folle : elle les embarque pour un périple en camping-car, direction la Scandinavie. Si on ne peut revenir en arrière, on peut choisir un autre chemin.

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Premières lignes #12

Coucou les paupiettes !

I’M BAAAAACK ! Ça y est, mes vacances bretonnes sont terminées et je vais pouvoir me consacrer pleinement au blog (et, accessoirement, à ma recherche d’emploi). La semaine dernière, je vous avais présenté la préface des Mémoires, par Lady Trent : une histoire naturelle des dragons. Je vous en parlerai rapidement très prochainement puisque j’ai choisi de ramener les Point Culture sur le blog au mois d’août !
Aujourd’hui, mon choix s’est porté sur Le jour où Anita envoya tout balader, roman écrit par Katarina Bivald et publié aux éditions Denoël en mai 2016. Il fait partie de ma PAL pour la semaine à venir et il s’agira de mon premier Bivald (je n’ai pas encore lu La bibliothèque des cœurs cabossés, shame on me).

Découvert sur le blog Ma Lecturothèque, ce rendez-vous m’a tout de suite plu. Le principe est simple comme bonjour : chaque dimanche, je choisis un livre dans ma bibliothèque et je partage avec vous les premières lignes du récit ! Ça vous donnera peut-être envie de découvrir ce livre à votre tour.. Qui sait ?

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Mon chemin vers la folie commence ici. Je suis assise par terre dans l’entrée et je parle avec ma porte.
Il y a quelques secondes, elle s’est refermée dans un claquement. Dix-neuf ans envolés dans un bruit sourd. Puis le pling impitoyable de l’ascenseur lorsqu’il arrive à notre étage et le raclement de la valise à roulettes sur le sol.
– Merde, je dis en entendant l’ascenseur redescendre.
Ma porte n’a aucune réaction.
Sans réfléchir, je me lève et je me précipite sur le balcon.
– Attends ! je crie en me penchant au-dessus de la balustrade. Ne me laisse pas ! J’ai dit quelque chose de mal ? Je peux changer, je te le jure ! Donne-moi une dernière chance !
Mon hurlement fait sursauter un couple de passants qui lève la tête vers moi. Une partie de moi se dit que mon comportement n’est pas très convenable. Mais je m’en fous. La personne à la valise s’est arrêtée elle aussi. Elle se retourne.
– Haha, maman, dit Emma, ma fille, le soleil de ma vie, le centre de mon existence, qui en ce moment est en train de me quitter.
Elle aussi lève la tête vers moi et le balcon comme si elle nous voyait pour la dernière fois. Je pourrais jurer qu’il y a une pointe de nostalgie dans son regard.

Alors, tentés ?

Vous l’avez déjà lu ? Qu’en avez-vous pensé ?

C’est lundi, que lisez-vous ? #25

Coucou les paupiettes !

Cette semaine, c’est les vacances pour ibidouu ! Je peux vous assurer que le programme lecture est très très chargé, j’ai eu les yeux beaucoup plus gros que le ventre (pour changer) et je suis tombée sur pleiiiiin de livres de ma wishlist à la médiathèque. Résultat des courses ? J’ai une quinzaine de romans qui n’attendent que moi et des dates de retour qui approchent à toute vitesse. Me voilà bien. La semaine passée, j’étais en formation la moitié du temps et j’avoue que je n’ai pas avancé autant que je voulais dans les romans, j’ai privilégié les mangas. Je vous montre tout ça ?

Concernant ce rendez-vous hebdomadaire, il est aujourd’hui géré par Galleane, chez qui vous pouvez retrouver le récapitulatif de tous les participants et les liens vers leurs articles.

Le principe est simple, il suffit de répondre à trois petites questions chaque lundi :

  • Qu’est-ce que j’ai lu la semaine passée ?
  • Qu’est-ce que je lis actuellement ?
  • Que vais-je lire ensuite ?

# Qu’est-ce que j’ai lu la semaine passée ?

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Seulement deux romans au programme cette semaine : le cinquième tome de Geek Girl, dans la même lignée que les précédents (divertissant mais sans plus), et La princesse des glaces de Camilla Läckberg. Ça faisait un moment que je voulais découvrir cette auteure suédoise. J’avoue que ma lecture a trainé en longueur, j’ai eu du mal à accrocher à la première partie. Par contre, à partir de la page 300, impossible de le lâcher ! Je l’ai terminé en un après-midi haha.

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Nouveaux horizons musicaux – Ma carte musicale des pays nordiques.

Hello les asticots !

Ce samedi je vous propose d’agrandir un peu nos horizons musicaux en nous intéressant aux artistes nordiques. La Norvège, le Danemark, l’Islande, la Finlande.. Ça vous parle ? Moi oui. Ce sont des pays qui m’ont toujours fasciné et je suis tombée amoureuse d’un certain nombre de leurs artistes, connus ou moins connus.

Acceptez-vous de m’accompagner durant cette balade musicale ?

(Si tu veux pas, tant pis. Au pire tu viens pas, j’m’en fous.)

Islande

Biggi Hilmars.

La ville de Rennes organise l’été et l’hiver des spectacles lumineux sur la façade de certains bâtiments, notamment le Parlement. Cet été, grâce à ce joli spectacle et grâce à Shazam (hihi), j’ai découvert Biggi Hilmars. Énorme coup de coeur, il ne quitte plus mes écouteurs depuis. C’est bôôôôô.

La chanson qui m’a fait tomber en amour.

Jonsi / Sigur Ros.

Le dénominateur commun ici, c’est le chanteur, Jon Por Birgisson, impliqué dans les deux projets musicaux. Jonsi, c’est un sacré personnage. Pour vous dire, le mec a créé son propre langage (le Volenska), il est aveugle d’un oeil, gay et il est crudivore. VOILA. Tout est dit. Je suis une grande fan depuis des années ! Vous le connaissez vous aussi, très probablement, parce qu’il a créé la très jolie musique des films Dragons.

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Cheek Mountain Thief.

Eux, c’est ma petite découverte perso de la journée. C’est tout à fait le genre de choses que j’adore écouter avant d’aller dormir, ou le matin, en allant en cours. Bon, y a un peu de triche quand même puisque le fondateur du groupe est anglais. Mais tous les autres sont islandais ! Leur premier album est sorti en 2012. J’espère qu’il y aura une suite.

Of Monsters and Men.

Je ne sais pas si on doit encore présenter ce groupe. Je crois qu’il a fait assez forte impression il y a trois ans, notamment avec Little Talks. Leur nouvel album, sorti cette année, est vraiment vraiment bon. Et l’esthétique de leurs clips est toujours aussi travaillée, c’est vraiment top. A écouter de toute urgence selon moi !

Danemark

MO.

Mo est également une artiste qu’on n’a plus besoin de présenter je pense. J’ai déjà utilisé plusieurs de ses chansons dans mes précédentes playlist et elle passe suffisamment à la radio pour que tout le monde la connaisse, au moins de nom. Ses dernières collaborations ne plaisent pas à tout le monde (moi j’aime toujours autant), mais essayez au moins d’écouter ce qu’elle fait toute seule. Elle a une voix et un charisme de fou. Je l’aime d’amour.

Agnes Obel. 

Changement de style total. Agnes Obel que j’ai découverte par le biais de mon papa. Elle travaille majoritairement seule (de la compo à la production). Elle a une voix magnifique, très posée. Elle s’inspire beaucoup d’artistes comme Satie ou Debussy. Je vous laisse découvrir ça :

Mais pour moi, le Danemark, ça restera toujours ça :

Life in plastic, it’s fantastiiiic !

Norvège

Röyksopp.

Voici un groupe un peu plus électro, norvégien cette fois. Ils collaborent avec de nombreux artistes et tournent dans le monde entier ! Ils réalisent des choses très intéressantes.

Minor Majority.

Retour à la pop/folk avec cet autre groupe découvert par le biais de mon papa. J’ai eu un gros coup de coeur pour leur chanson « Supergirl ». Au commencement le groupe était en fait un duo, aujourd’hui transformé en quintet. Ils ont un succès assez important en Norvège.

Ylvis.

Vous connaissez Ylvis ? Non ? J’espère que oui, sinon vous allez me haïr jusqu’à la fin de l’éternité pour vous l’avoir fait découvrir. Ils se sont fait connaître à grande échelle il y a deux ans avec le fameux « What does the fox say » qui te reste dans la tête pendant des heures. A la base, c’est surtout un duo d’humoristes (ils sont frères), mais ils ont fait quelques chansons. Certaines meilleures que d’autres. Entrainantes et drôles. Enfin, moi je trouve haha. Et puis ils ont de bonnes voix.

Et puis, c’est drôle. Non ? Du génie.

S’il vous plait, pour moi, regardez jusqu’au bout.

Suède

Lykke Li.

Encore une artiste qu’on n’a pas vraiment besoin d’introduire, sachant que certaines de ses chansons ont été remixées à toutes les sauces (I follow rivers notamment). Personnellement je n’aime pas tout ce qu’elle fait, mais quelques uns de ses chansons sont intéressantes, surtout dans les différents éléments et instruments qu’elle utilise. Et puis elle a une voix qui me plait bien.

I’m from Barcelona.

Ce groupe suédois est composé de 29 membres et utilise beaucoup d’instruments très différents, donnant ainsi naissance à une pop assez entrainante. Je vous laisse découvrir le groupe dans cette vidéo :

First Aid Kit.

Il me semble que j’ai déjà présenté First Aid Kit, ce duo de soeurs, dans une de mes playlist. Les deux jeunes filles ont des voix splendides, leurs clips sont superbes et leur musique me met toujours de bonne humeur.

Finlande

Huoratron.

Encore un gros changement de style. Ce DJ a beaucoup d’énergie. A garder pour quand tu passes l’aspirateur ou que tu fais les poussières ! Ou que t’as juste envie de te défouler haha.

French Films.

Ce petit groupe a déjà deux albums à son actif. Je trouve qu’ils ont un style très british, que j’aime beaucoup. Je vous laisse vous faire votre avis par vous même :

Jori Hulkkonen.

Jori Hulkkonen est pour sa part un artiste plutôt techno-house. Il pèse dans le milieu depuis une vingtaine d’années et a quelques très bons morceaux à son actif. Encore une fois, je ne suis pas fan de tout ce qu’il fait. Mais il y a un petit quelque chose !

J’aurais également pu vous parler du duo d’Icona Pop (Suède), du groupe The Hives (Suède) et de beaucoup de groupes de métal (mais ce n’est pas mon domaine du tout donc je m’abstiens) comme Nightwish (Finlande), etc.. Mais je vous en laisse quelques uns à découvrir tout seuls !

J’espère que cette première carte musicale vous aura plu et vous aura fait découvrir de nouveaux artistes ! N’hésitez pas à me partager les vôtres 🙂

Des bisous !

A demain pour le point culture.. 

Du livre au film #1 – Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire.

Bonjour les amis !

En cette semaine de rentrée, je vous présente ma nouvelle catégorie : Du livre au film, dont j’avais évoqué la future existence (maintenant donc) dans le dernier Point Culture. J’ai choisi d’inaugurer la catégorie en vous présentant une de mes lectures favorites de l’été, Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, et son adaptation cinématographique, que j’ai (beaucoup) moins kiffé.

Commençons avec le roman, écrit par Jonas Jonasson : 

Le jour de ses cent ans, alors que tous les notables de la ville l’attendent pour célébrer l’événement, Allan Karlsson s’échappe par la fenêtre de sa maison de retraite quelques minutes avant le début de la fête organisée en son honneur. Ses plus belles charentaises aux pieds, le vieillard se rend à la gare routière, où il dérobe une valise dans l’espoir qu’elle contienne une paire de chaussures. Mais le bagage recèle un bien plus précieux chargement, et voilà comment Allan se retrouve poursuivi par la police et par une bande de malfrats… Commence alors son incroyable cavale à travers la Suède, mais aussi, pour le lecteur, un étonnant voyage au coeur du XXe siècle, au fil des événements majeurs auxquels le centenaire Allan Karlsson, génie des explosifs, a été mêlé par une succession de hasards souvent indépendants de sa volonté.

Cet article contient peut-être des spoilers. Mais peut-être que non. J’essaye vraiment d’être le plus général possible, mais je vous dévoile quand même quelques grandes lignes du roman (et du film).

Je ne sais pas si j’ai encore besoin de présenter ce roman dont on nous a tant rabâché les oreilles. Mais bon, sait-on jamais ! J’ai moi-même failli passer à côté d’une jolie découverte.

Allan, gentil petit vieux de 100 ans un peu dangereux, décide de s’enfuir de sa maison de retraite. Il arrive à la gare, « vole » une valise, et tout part en cacahouètes (oui, je suis quelqu’un de poli.. des fois). S’ensuivent environ 400 pages de grand n’importe quoi, ponctuées par des flash-backs assez hallucinants dans lesquels on découvre qu’Allan est la personne grâce à qui on va probablement tous mourir un jour, le créateur de la bombe nucléaire. On apprend aussi qu’il est aussi celui qui l’a partagé avec le monde entier (plus ou moins, à quelques pays près). On découvre donc une histoire totalement différente de celle qu’on nous a appris au lycée, où les dirigeants de ce monde semblent s’être engagés dans un concours pour désigner le plus ridicule d’entre eux.

Dans le « présent », on traverse au jour le jour la Suède « road-trip style« , à la rencontre de nouveaux personnages hauts en couleurs. C’est sympa, on rigole bien, c’est cool. Des fois y a des gens qui meurent. HAHA, maintenant ça t’intrigue hein !

Je ne vais pas vous spoiler tout le roman, bien que j’en ai très d’envie, donc je vais me contenter de fortement vous en recommander la lecture. Il se lit plutôt vite, il est décalé, drôle, farfelu. La fin est vraiment bien tournée, je ne m’y attendais pas tout. Certains passages historiques sont un peu longuets, mais ça n’a pas gêné ma lecture.

Je trouve que Jonas Jonasson a vraiment su exploiter son idée jusqu’au bout, dans la limite du raisonnable (contrairement à L’analphabète qui savait compter – qui n’est même pas analphabète). Il a également su oser. Il a osé réécrire l’histoire. Bien sûr il n’est pas le premier à le faire. Mais là je suis obligée de lui tirer mon chapeau pour son originalité !

16/20

(Avoue t’as lu en diagonale et les mots en rouge t’ont donné une vision totalement différente du roman, ou pas, au pire c’est pas grave)

Et maintenant.. Le film ! 

Voici plusieurs raisons de vous abstenir de regarder le film, et de se contenter de lire le roman. Ou alors faites l’inverse, mais venez pas pleurer après.

Vous pouvez vous contenter de la bande annonce. Elle résume absolument tout le film. Mais en mieux.

  • C’est un film suédois. Les probabilités de le voir en VOST sont quasi-nulles. Vous allez donc devoir vous taper un film suédois avec un doublage français merdique. Ou un doublage anglais. Ou pire, un doublage québécois (personne ne veut ça, si ?).

  • Donc voilà, je me suis tapé une adaptation où non seulement les voix ne correspondaient pas du tout aux bonhommes qui parlaient (mais ça c’est la base d’un doublage), mais en plus les bonhommes qui parlaient n’auraient jamais dû ressembler à ça. Jamais.
  • La sélection complètement aléatoires de passages dans le roman. Je n’ai pas compris pourquoi le réalisateur a choisi certains morceaux plutôt que d’autres. Mais ses choix n’étaient pas judicieux. Le roman est une mine d’or. Et le mec il s’est dit « tiens, je vais choisir les passages les plus pourris et les coller ensemble ». Conséquence : le film parait long. Trop long.
  • Les acteurs choisis ne correspondent pas à l’image qu’on s’en fait dans le roman (enfin ça, c’est souvent le cas), à part peut-être pour Gunilla. Et son chien. Avoir choisi de garder le même acteur pour le présent et les flash-backs, oui, pourquoi pas. Mais maquillez le mieux que ça quoi. De même, leur façon de parler et le caractère de chacun des personnages semblent complètement différents du roman (mais là j’en veux un peu au doublage, qui fausse peut-être mon jugement).
  • Ils ont réussi à faire d’un roman hilarant un film chiant. Les choses sont dites.

  • Et le PIRE, c’est que malgré la mine d’or du roman, offerte sur un plateau d’argent, ils ont été inventer de nouveaux personnages pour changer la fin. Quel intérêt ? Franchement ? La fin du roman était parfaite. Ce qui m’attriste le plus c’est que l’auteur ait donné son aval.. Une honte.

Quelques bons points ?

  • Quelques scènes rigolotes.
  • On voit de jolis paysages.

En bref, vous l’aurez compris, si vous avez lu le roman : ne regardez pas le film ! Vous serez mortellement déçus et vous soupirerez toutes les cinq secondes, gâchant au passage le film pour la personne à côté.

Néanmoins ! Plusieurs amis n’ayant pas lu le livre ont trouvé le film très bon. Donc pourquoi pas.. C’est peut-être moi qui ait un problème (même si la presse est globalement d’accord avec moi).

Comme je l’ai dit plus haut, à vos risques et périls !

8/20

Et voilà, c’est fini pour la première édition du Livre au film. Je reviens très vite avec un nouveau roman et une nouvelle adaptation (que j’espère meilleure, pour vous comme pour moi) !

Des bisous 🙂