Coucou les paupiettes !
Je vous propose aujourd’hui une chronique sur un roman qui a reçu le Prix Femina Étranger en 2016. Les vies de papier a été écrit par Rabih Alameddine, peintre et romancier. Il a été publié au format poche par les éditions 10/18 en août 2017. Avant de vous donner mon avis, je tiens à remercier la maison d’édition pour l’envoi de ce livre !
Aaliya Saleh, « dame âgée » de Beyrouth, est une anomalie. Divorcée, sans enfant, non croyante, elle s’est toujours rebellée contre les diktats de la société. Sa passion dans la vie, sa raison de vivre même, est la littérature. À tel point que, chaque année, elle traduit un de ses romans préférés en arabe avant de le ranger dans un tiroir. Les quelque trente-sept livres traduits par Aaliya au cours de sa vie n’ont donc jamais été lus par qui que ce soit. Ce portrait d’une femme solitaire en pleine crise existentielle oscille sans cesse entre passé et présent dans un Beyrouth en constante mutation. Tandis qu’elle essaye de maîtriser son corps vieillissant et la spontanéité de ses émotions, Aaliya doit faire face à une catastrophe inimaginable qui menace de faire voler sa vie en éclats.
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