Point culture #10 – Livres, films, séries.

Coucou les paupiettes ! 

Je n’étais pas très présente cette semaine sur le blog (et sur les vôtres, vous m’en excuserez, je vais rattraper tout ça) car je suis à Paris pour mon mémoire jusqu’à mardi prochain. J’ai quand même eu le temps de lire et voir pas mal de petites choses…

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Livres lus.

# Les ferrailleurs, tome 1. Le château.

Au milieu d’un océan de détritus composé de tous les rebuts de Londres se dresse la demeure des Ferrayor. Le Château, assemblage hétéroclite d’objets trouvés et de bouts d’immeubles prélevés à la capitale, abrite cette étrange famille depuis des générations. Selon la tradition, chacun de ses membres, à la naissance, se voit attribuer un objet particulier, dont il devra prendre soin toute sa vie. Clod, notre jeune héros, a ainsi reçu une bonde universelle – et, pour son malheur, un don singulier : il est capable d’entendre parler les objets, qui ne cessent de répéter des noms mystérieux…
Tout commence le jour où la poignée de porte appartenant à Tante Rosamud disparaît ; les murmures des objets se font de plus en plus insistants ; dehors, une terrible tempête menace ; et voici qu’une jeune orpheline se présente à la porte du Château…

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Je pense que si vous suivez mon blog sur des bases régulières, vous savez que je suis surtout attirée par les couvertures et les titres. Celle-ci n’a pas loupée et m’a directement intriguée. Le résumé m’a plus qu’intéressé et j’ai donc emprunté le livre à la médiathèque, le premier d’une trilogie terminée mais pas encore traduite (les deux derniers tomes ne sont pas encore publiés en France).

Alors, je suis un peu déçue mais pas trop. L’histoire est très très longue à s’installer et on ne rentre vraiment dedans qu’après un peu plus de la moitié. Après, il s’agit d’une trilogie et donc je considère les 200 premières pages comme une « introduction », une contextualisation. Une fois qu’on est dedans, ça devient très intéressant ! J’ai beaucoup aimé l’univers très particulier dans lequel prend place l’histoire. C’est très sombre, un peu inquiétant et surtout très étonnant. Ça change vraiment de tout ce que j’ai pu lire avant. J’en verrais bien une adaptation par Tim Burton d’ailleurs, ce serait tout à fait son genre je pense. D’ailleurs, l’objet livre est magnifique, les illustrations au début de chaque chapitre font leur petit effet. Les personnages sont attachants. La menace qui plane sur eux rajoute énormément de suspense, tout ça sur fond (vraiment léger) d’histoire d’amour. Si j’étais un peu sceptique et peu convaincue au début, la fin m’a vraiment laissée sur ma faim (haha) et j’espère que la publication du tome 2 est en cours. Je veux savoir. Je l’exige même. Du coup c’est un premier tome inégal mais très prometteur selon moi !

14/20

# La fractale des raviolis.

Il était une fois une épouse bien décidée à empoisonner son mari volage avec des raviolis. Mais, alors que s’approche l’instant fatal, un souvenir interrompt le cours de l’action. Une nouvelle intrigue commence aussitôt et il en sera ainsi tout au long de ces récits gigognes. Tout ébaubi de voir tant de pays, on découvre les aventures extraordinaires d’un jeune garçon solitaire qui, parce qu’il voyait les infrarouges, fut recruté par le gouvernement ; les inventions stratégiques d’un gardien de moutons capable de gagner la guerre d’Irak ; les canailleries d’un détrousseur pendant l’épidémie de peste à Marseille en 1720 ou encore la méthode mise au point par un adolescent sociopathe pour exterminer le fléau des rats-taupes. Véritable pochette surprise, le premier roman de Pierre Raufast ajoute à la géométrie rigoureusement scientifique, la collision jubilatoire du probable et de l’improbable.

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Ce petit roman aurait très bien pu rentrer dans mon top 10 consacré aux titres de romans les plus farfelus. Je suis rentrée directement dans l’histoire, dès les premières lignes j’étais dedans. Et je l’ai lu d’une traite. J’ai beaucoup aimé la façon dont il est construit, on passe d’anecdotes en anecdotes pour revenir, finalement, à l’histoire de départ. Chaque anecdote est plutôt originale, certains chapitres sont cependant beaucoup plus prenants que d’autres. Les différents personnages rencontrés sont tous singuliers et intéressants. J’ai beaucoup apprécié ma lecture, j’ai trouvé ce roman surprenant et drôle, j’ai bien accroché au style de l’auteur. Pour un premier roman c’est franchement pas mal ! On ne s’ennuie pas du tout. C’est pour moi un petit coup de coeur, que je vous recommande si vous avez l’occasion de le croiser un jour au cours de vos péripéties !

16/20

Point BD.

# Aya de Yopougon, tome 1.

En Côte d’Ivoire, dans les années 1970, l’époque est insouciante. L’auteure raconte à travers l’adolescence d’Aya l’école obligatoire, le travail facile, les hôpitaux bien équipés, l’absence totale de définition ethnique, dans une Afrique sans guerre et sans famine. Prix du premier album du Festival de la BD d’Angoulême 2006.

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ENFIN. Si vous saviez depuis combien de temps j’attends de pouvoir emprunter ce premier tome. Ça fait presque trois ans. TROIS ANS. Maintenant c’est fait, j’ai plus qu’à attendre trois ans pour emprunter le deuxième x)

J’ai plutôt bien aimé ce premier tome. Les dessins sont magnifiques. J’ai été un peu gênée au départ par les dialogues car je n’arrive pas à les « imaginer » (je sais pas si c’est très clair haha), avec tous les « dêh » et autres expressions locales. Mais j’ai fini par m’y habituer et j’ai pu profiter un peu plus de ma lecture. Je ne me suis pas vraiment attachée aux personnages pour l’instant mais j’ai hâte d’en découvrir plus sur Aya, qui m’a l’air d’être une jeune femme ambitieuse et très intéressante. Il me tarde aussi de voir comment les choses vont tourner pour Bintou et Adjoua.. Disons que pour l’instant je suis plus intriguée que convaincue ! Je vous en dirais un peu plus quand j’aurais lu la suite.

14/20

# Journal d’Anne Frank.

L’adaptation fidèle du journal intime d’Anne Frank, un best-seller mondial. Un roman graphique tout en émotion. Le jour de ses 13 ans, Anne reçoit en cadeau un cahier dont elle fait aussitôt son journal intime. Jeune juive allemande exilée au Pays-Bas, la jeune fille va raconter son quotidien, ses émois d’adolescente, la fuite, la cache, la peur… Publié par son père Otto deux ans après la fin de la guerre, Le Journal d’Anne Frank sera traduit en plus de 70 langues et vendu à plus de 30 millions d’exemplaires.

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J’en avais parlé dans un des derniers Tag auquel j’ai répondu (le Tag livresque des copines), j’ai du mal à relire des livres, même si je les ai apprécié. Jusqu’ici, j’ai plus ou moins trouvé la parade puisque certains de mes livres préférés ont été adaptés en roman graphique. Ce n’était pas le cas du Journal d’Anne Frank, que je voulais relire depuis que j’ai aidé ma soeur à travailler dessus pour un devoir à rendre au collège. Jusqu’à ce magnifique jour où j’ai franchi les portes de la médiathèque et il était là, il m’attendait. La version BD du Journal d’Anne Frank, fraichement publiée fin janvier 2016. JOIE SUR TERRE.

Je n’ai pas été déçue, le résultat est magnifique. Les dessins sont d’une justesse incroyable, tout est là. L’expérience était tout de même très différente de ma première lecture, probablement parce que maintenant j’avais des images sous les yeux et je ne me contentais plus d’imaginer. J’ai également beaucoup apprécié la partie historique placée à la fin de la BD, qui permet de recontextualiser toute l’histoire.

# Max Winson, tomes 1 et 2.

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Max Winson n’a jamais perdu un match de tennis de sa vie. Adulé par la foule, il n’est pourtant pas celui qu’on croit. Grande carcasse mélancolique à l’allure de Pierrot, il n’est que le produit d’une enfance volée par des entraînements inhumains, le pantin d’un père tyrannique. Quand ce dernier devient trop faible pour le coacher, la liberté s’offre à lui avec son cortège de paradoxes existentiels…

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Je ne vous met que le résumé du premier tome car le deuxième spoile absolument tout. Et c’est pas très cool. Je suis une personne vraiment sympa, non ?

Trêve de plaisanterie. Je ne sais pas du tout pourquoi j’ai emprunté ces deux tomes. Je ne suis pas une grande sportive (du tout) et le tennis n’est absolument pas un sport qui me passionne. Et l’histoire ne tourne qu’autour de ça. Du tennis professionnel, de la compétition à très haut niveau, de la pression exercée sur les joueurs… Je ne vais pas vous dire que je n’ai pas aimé, parce que ce n’est pas vrai. Si le sujet ne m’intéresse absolument pas en soi, l’auteur a su en faire quelque chose de très intéressant. On se met à tourner frénétiquement les pages dans l’espoir que Max se détache de son père. Et de tout le reste d’ailleurs. On est complètement absorbés par l’histoire, on s’attache au personnage, on guette le dénouement avec anxiété. Et quel dénouement ! J’étais vraiment contente d’avoir le deuxième tome sous la main haha. Et j’ai trouvé le deuxième tome très bon également, assez différent, plus intime. Les dessins sont très beaux, très expressifs. Il n’y a cependant pas de coup de coeur de mon côté. C’était une bonne BD, mais le sujet fait que je n’étais pas transcendée.

14,5/20

(parce que je trouve ça moche de mettre 14 alors que j’ai bien aimé, mais que j’ai pas suffisamment kiffé pour mettre 15)

# Éloge de la névrose en dix syndromes.

Du syndrome de l’adultisme (quand on veut faire des trucs qui font adulte alors même que quand on lit une carte des vins c’est comme du Kafka en japonais), au syndrome du super-héros (quand on veut être trop parfait), en passant par le syndrome de Bernard Montiel, Leslie revisite les syndromes les plus connus pour nous parler avec tendresse, justesse et humour de nos petites névroses au quotidien.

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C’est la première BD que je lis de Leslie Plée. J’ai été intriguée par le titre et j’ai donc feuilleté les premières pages avant de me décider à l’emprunter. Je vous avoue que je n’ai pas été déçue ! Les dessins sont très simples, dans de très jolies couleurs pastels, très légères et agréables à regarder. Ils paraissent un peu « enfantins » au début, mais c’est un style qui ne me déplait pas. Je me suis beaucoup reconnue dans certains chapitres, qui m’ont par ailleurs beaucoup fait rire. Je pense que mademoiselle Plée et moi-même avons le même humour haha. Si certains chapitres sont hilarants, j’ai trouvé que c’était parfois assez inégal. Certains syndromes m’ont à peine décroché un sourire. Mais c’est vite oublié car l’ensemble reste de très bonne qualité, notamment les chapitres consacrés au passage à l’âge adulte (tellement vrai), celui sur le tabagisme (très drôle mais trop vrai) et celui sur le genre féminin, sur l’image de la femme et les clichés/stéréotypes véhiculés de génération en génération, notamment sur la sexualité. Bref. Une très chouette découverte que je vous recommande également ! Je vais personnellement essayer de trouver d’autres choses écrites par l’auteure.

16/20

# Moonhead et la Music Machine.

Joey Moonhead est un jeune homme normal en toutes choses. Sauf une : il a une lune en guise de tête. Avec comme seules armes une imagination sans limites et le désir insatiable d’être le meilleur musicien du monde. Joey Moonhead va créer une machine venue d’ailleurs qui changera sa vie. Andrew Rae livre une version de la « comédie de lycée » délirante, poétique et superbement illustrée. Moonhead est aussi une fantastique déclaration d’amour au pouvoir libérateur de la musique.

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J’ai adoré cette BD ! Les dessins sont magnifiques, très colorés. Tout comme l’histoire, ils sont très poétiques. Je ne saurais même pas expliquer ce que j’ai ressenti en lisant cette histoire. J’étais happée par la chose, voyez-vous. J’étais fascinée par la Music Machine, je me suis très vite attachée à Joey et j’aurais aimé que la BD soit plus longue. Mais toutes les bonnes choses ont une fin. En tout cas, si vous pouvez la lire, n’hésitez pas ! C’est une belle histoire d’amitié, de confiance en soi et de tolérance ! Coup de coeur !

18/20

Films vus.

# Agents très spéciaux, Code U.N.C.L.E.

Au début des années 60, en pleine guerre froide, le film retrace l’histoire de l’agent de la CIA Solo et de l’agent du KGB Kuryakin. Contraints de laisser de côté leur antagonisme ancestral, les deux hommes s’engagent dans une mission conjointe : mettre hors d’état de nuire une organisation criminelle internationale déterminée à ébranler le fragile équilibre mondial, en favorisant la prolifération des armes et de la technologie nucléaires. Pour l’heure, Solo et Kuryakin n’ont qu’une piste : le contact de la fille d’un scientifique allemand porté disparu, le seul à même d’infiltrer l’organisation criminelle. Ils se lancent dans une course contre la montre pour retrouver sa trace et empêcher un cataclysme planétaire.

Je suis une grande fan de Ritchie. Donc forcément, il était temps que je vois son petit dernier, au casting plutôt joli (comme d’hab’). Si le film ne vaut pas Snatch à mes yeux, il reste très bon. On y retrouve des personnages hauts en couleur, de l’action à tous les coins de rue, un humour déjanté qui fait mouche à chaque fois. On a pas le temps de s’ennuyer, tout s’enchaine de façon très fluide (mais entrecoupée de quelques explosions, faut pas déconner). L’histoire n’est pas super originale, c’est un scénario assez classique de film d’espionnage, mais j’ai apprécié le cadre historique (il y a des tenues absolument fantastiques portées par Alicia Vikander, je suis tellement jalouse) et la façon dont Ritchie a traité le conflit USA-Russie durant la Guerre froide. C’est vraiment un très bon divertissement, mais il ne m’a pas autant marqué que Snatch (ou Arnaques, Crimes et Botanique, tant qu’à faire). A voir !

16/20

# Red 2.

Lorsque l’agent retraité de la CIA Franck Moses apprend la mort de son ancien collègue Marvin, il se rend à son enterrement avec sa compagne Sarah, sans se douter qu’il va au-devant de gros problèmes… Arrêté et interrogé par le FBI au sujet d’un mystérieux « Projet Nightshade », il ne doit son salut qu’à l’intervention de Marvin qui avait simulé sa mort. Ils se lancent alors dans une course poursuite à travers le monde pour découvrir le secret du « Projet Nightshade ».

J’avais regardé le premier film il y a quelques années et j’avais beaucoup aimé. J’ai donc retrouvé avec plaisir le groupe d’agents retraités qui essayent de sauver le monde tout en ne se prenant pas du tout au sérieux (Malkovitch pour la vie, coeur coeur). Forcément, ce n’est pas le film de l’année. Mais c’est un excellent divertissement. On rit beaucoup, il y a de sacrées scènes d’action, l’histoire est intéressante, le casting est excellent.. Et on passe un très bon moment. Pour moi, il n’y a rien de plus à dire !

15/20

# Pan.

Proposant un nouveau regard sur l’origine des personnages légendaires créés par J.M. Barrie, le film s’attache à l’histoire d’un orphelin enlevé au Pays Imaginaire. Là-bas, il vivra une aventure palpitante et bravera maints dangers, tout en découvrant son destin : devenir le héros connu dans le monde entier sous le nom de Peter Pan.

Je suis tout simplement restée comme deux ronds de flan pendant tout le film. Quelle déception ! Je n’ai absolument pas été convaincue par ce qui est supposément la genèse de Peter Pan, qui comporte beaucoup de contre-sens et d’idées nouvelles que je déteste. Le casting était quand même plutôt joli, mais tout était too much. Je pense notamment à l’arrivée de Hugh Jackman, qui fait son entrée sur « fond » de Nirvana (Smells like Teen Spirit, soyons précis). C’est d’un ridicule, c’est inapproprié, ça ne va pas. N’importe quoi. Ce moment arrive très tôt dans le film et dès lors, je le sentais pas. Et effectivement, (presque) rien ne va. Le jeu des acteurs est exagéré, voire mauvais pour certains. Les personnages ne sont pas attachants. Le jeunot jouant Peter ne m’a pas transcendée mais il a du potentiel. Lili la tigresse (normalement mon personnage préféré) m’a juste saoulée. Je ne sais pas trop pourquoi Rooney Mara faisait cette tête là mais bon, dégoûtée. J’étais assez déçue de la performance de Jackman aussi, ce qui est assez rare. Bref, du côté des acteurs c’était vraiment pas ça. Le film est vraiment inégal, il y a de gros manques selon moi. Tout est trop facile. Le seul point positif que j’ai pu trouver à ce film est l’image. Il y a de très très belles scènes, le Pays Imaginaire doit être la seule chose qui est bien ressortie. C’est coloré, c’est beau. Malgré un usage intensif et parfois gênant du fond vert, l’univers ressort très bien. Je crois que c’est pour moi le seul point positif. Je ne pourrais pas dire que j’ai passé un bon moment devant ce film. J’ai enchainé les soupirs, je dirais presque que je me suis fait chier. Dommage..

08/20

# Moonwalkers.

Juillet 1969. Tom Kidman, un agent spécial de la CIA, est envoyé à Londres pour trouver Stanley Kubrick et le convaincre de tourner un faux alunissage au cas où la mission Apollo échouerait. Il ne trouve pas Kubrick mais, à sa place, Jonny, manager minable d’un groupe de rock. Jonny est le mauvais rêve de Kidman. Kidman est le cauchemar de Jonny. Ils n’ont pas d’autre choix que de travailler ensemble pour accomplir leur mission, sauver leur vie et mettre en place la plus grosse escroquerie de tous les temps.

Plusieurs choses m’ont tenté au premier abord dans ce film : le casting (oui, personnellement j’aime beaucoup Rupert Grint), le sujet et la bande-annonce en général m’avaient envoyé plein de bonnes vibrations. Après visionnage, mon avis est un poil plus nuancé. C’est un film intéressant, très original.. et très psychédélique barré chelou. Ce qui est finalement assez prévisible quand la moitié des personnages secondaires sont des junkies complètement paumés dans une société en transition, en constante évolution. Soyons honnêtes, c’est un style qui est loin de plaire à tout le monde. Personnellement j’ai globalement bien accroché. Le film est loin d’être parfait, il y a quelques longueurs, quelques lourdeurs également. Mais dans l’ensemble, j’ai passé un bon moment. On retrouve un petit humour bien british, comme je les aime ! La (fausse) scène d’alunissage restera probablement mon moment préféré. Je n’arrivais pas à m’arrêter de rire (j’en pleurais presque, c’est pour vous dire). C’était donc une bonne découverte. Mais, il y a un mais, je ne sais pas si je le recommande ou pas. Parce que c’est particulier, vraiment particulier. Je pense qu’il faut prendre une certaine distance pour pouvoir réellement l’apprécier, ne pas s’attarder sur des « détails » et les prendre au second degré.. En lançant le film en étant très ouverts d’esprit et prêts à voir toutes sortes de bêtises, je pense que ça passera tout seul.

15/20

# The Road Within.

Vincent est atteint du syndrome de la Tourette. Il vient de perdre sa mère et se retrouve ainsi face à son père avec qui il est en froid depuis quelques temps. Ce dernier craignant que son fils vienne compromettre sa carrière politique, il envoie Vincent dans une clinique spécialisée. Sur place, le jeune homme fait la connaissance de Marie, une jeune anorexique dont il tombe amoureux. Ensemble, ils décident de s’enfuir, entraînant malgré eux Alex, le colocataire de Vincent, qui souffre de TOC. Le trio s’embarque alors dans un voyage inoubliable, dont le but est de répandre les cendres de la mère de Vincent dans l’océan.

Je ne sais pas par où commencer. C’est embêtant. Dans ce film, on part sur un road-trip avec trois jeunes souffrant de troubles différents. On découvre leur quotidien dans la maladie, l’impact que tout cela a sur leur vie sociale et familiale, leurs amours, leurs amitiés.. Et subir le regard des gens, le jugement. J’ai trouvé ce film très beau. Juste. On ne tombe jamais vraiment dans le cliché (même si des fois on est limite).  On rit, on pleure. On s’attache à ces trois jeunes (coup de coeur personnel pour le coloc’ Alex, joué par Dev Patel). Ce qui peut être un peu gênant, c’est le fait que lorsque l’on rit, on rit d’eux. C’est un automatisme mais, dans le fond, ça me met mal à l’aise. Je ne sais pas comment l’exprimer. Mais en gros Alex doit ouvrir chaque chose quatre ou cinq fois avant de prendre ce qu’il y a dedans ou d’entrer dans une maison/voiture. Donc quand ils volent une voiture et qu’il ouvre la portière quatre fois alors que c’est pas du tout le moment.. On rit. Mais en soi ce n’est pas drôle. Voyez ce que je veux dire ? C’est un cercle vicieux. Bon, on rit pas toujours à cause de ça non plus, mais c’est un peu dommage qu’ils l’aient tourné de cette façon. Genre vaut mieux en rire qu’en pleurer. Ça reste un film que j’ai beaucoup aimé, que j’ai trouvé très émouvant et que je vous recommande !

15/20

Séries commencées.

Rien ici les copinous ! Après avoir fait le point sur mon compte Betaseries, j’ai décidé de me mettre un peu à jour dans toutes les séries commencées depuis deux ans avant de commencer quelque chose de nouveau. Bon, forcément j’ai pas tenu longtemps cette résolution carrément utopique et j’en ai commencé une.. Mais je n’ai regardé que le premier épisode donc j’attends d’en avoir vu un peu plus pour vous en parler !

Et vous, qu’avez-vous vu/lu ces deux dernières semaines ? Un coup de coeur à partager ?

A bientôt !

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Des bisous.

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Point culture – Livres, films, séries. #4

Coucou les petits cornichons !

C’est avec honte que je viens ENFIN vous livrer un point culture assez « allégé ». Je n’ai quasiment pas lu ces trois dernières semaines, avec la rentrée des séries je n’ai pas commencé grand chose de nouveau et je n’ai finalement pas regardé tant de films que ça. Je sais pas ce que j’ai foutu de mes soirées mais bref (Pinterest probablement, quel piège). J’espère que vous ne m’en voudrez pas et que vous découvrirez quelques petites choses qui vous intéresseront dans le lot. Comme d’hab’, j’attend vos petits avis personnels 😉

Livres lus.

# Muchachas.

Les filles sont partout dans ce roman. Elles mènent la danse. De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres. Des filles qui se battent pour la vie.

Je me suis tournée vers Muchachas car je cherchais une lecture « pas prise de tête », comme beaucoup je pense. L’histoire débute, on retrouve Gary, Hortense.. Puis Joséphine (de la précédente trilogie de Katherine Pancol – Les Yeux Jaunes des Crocodiles). Et je me dis que c’est bizarre. Que ça n’a pas vraiment de sens de repartir sur une nouvelle trilogie avec les mêmes personnages. Et puis arrive Stella…

Muchachas a été absolument tout sauf une lecture pas prise de tête.J’avoue que de mon côté il n’y a pas eu de coup de coeur du tout. J’ai eu beaucoup de mal à avancer, à accrocher aux personnages. Je l’ai trouvé lourd, pesant. Et franchement, certains passages (vers la moitié, Ray/Stella pour ceux qui l’ont lu, puis Ray/Léonie) m’ont dégoûté et j’ai laissé le livre de côté pendant plusieurs jours. 

La couverture et le résumé laissent penser qu’on s’apprête à lire un livre emprunt de bonne humeur, d’événements joyeux et de femmes fortes qui aiment la vie qu’elles se sont battues pour avoir. Clairement on nous a menti. Je ne ferais plus jamais confiance à un livre à la couverture orange avec un dessin d’enfant heureux dessus. De pages en pages je sombrais juste un peu plus dans la dépression, jusqu’à cette fin, ce dernier paragraphe qui était juste too much. Je suis déçue.

Il y avait peut-être un fond (j’insiste sur le peut-être, je ne sais pas où elle part avec ça) mais pas de forme en tout cas. D’un paragraphe à un autre on part dans des flash-backs, des flash-forwards et on revient à ce dont on parlait dix pages plus tôt. On saute de personnages en personnages et on est jamais pleinement satisfait.

Je ne sais pas si je tenterais le tome 2. En tout cas pas tout de suite. Si certaines l’ont lu, peut-être qu’il est mieux ?

9/20.

Films vus.

# She’s funny that way.

Lorsqu’Isabella rencontre Arnold, un charmant metteur en scène de Broadway, sa vie bascule. À travers les souvenirs – plus ou moins farfelus – qu’elle confie à une journaliste, l’ancienne escort girl de Brooklyn venue tenter sa chance à Hollywood, raconte comment ce « rendez-vous » lui a tout à coup apporté une fortune, et une chance qui ne se refuse pas… Tous ceux qui se trouvent mêlés de près ou de loin à cette délirante histoire vont voir leur vie changer à jamais dans un enchaînement de péripéties aussi réjouissantes qu’imprévisibles. Personne n’en sortira indemne, ni l’épouse d’Arnold, Delta, ni le comédien Seth Gilbert, ni le dramaturge Joshua Fleet, pas même Jane, la psy d’Isabella…

Je cherchais ce film depuis des mois ! Vous n’imaginez donc pas ma joie quand il est (ENFIN) apparu dans le fil d’actualité. Je me suis littéralement jetée dessus. Et je n’ai pas été déçue ! 

Le film nous offre une belle brochette d’acteurs, tous aussi bons les uns que les autres. Il y a un petit côté décalé que j’adore, je n’ai d’ailleurs pas été surprise de découvrir que Wes Anderson avait participé à la production.

Pour ce qui est de l’histoire en elle-même, je l’ai trouvé très bien construite, tout s’enchaine de façon très fluide, on ne s’ennuie vraiment à aucun moment. Le lien entre chaque personnage se fait très rapidement et nous offre un résultat plutôt original, sans non plus quitter les chemins pavés. J’ai adoré Jennifer Aniston, excellente en psy névrosée et par conséquent très drôle. Et la fin m’a quelque peu.. surprise. C’est le mot je pense ! Pour le coup je m’attendais à globalement tout sauf à ça x)

She’s funny that way est pour moi un film sans grande prétention, mais qui a le mérite de nous faire passer une très bonne soirée. Et des fois c’est tout ce qui compte. Je l’ajoute sans hésiter à ma liste de feel-good movies !

17/20.

# Playing it cool.

Un jeune homme qui ne croit plus à l’amour fait la rencontre d’une femme lors d’un dîner de charité. Il va tenter de la séduire.

On suit ici l’histoire d’un écrivain qui ne croit pas en l’amour. Et qui va tomber amoureux. Dès le début on sait plus ou moins à quoi s’attendre, la fin est plutôt prévisible, tous les codes de la comédie romantique de base sont là.

Le film a quand même son originalité, le petit truc qui fait que oui, j’ai bien aimé ce film. J’ai apprécié la façon dont c’est filmé, la façon dont le protagoniste principal (dont on ne connait jamais le nom d’ailleurs) s’approprie les histoires des autres, son point de vue sur l’amour et les questionnements qu’il soulève avec ses copains.. C’est probablement là les seuls éléments qui m’ont vraiment plu. Les acteurs sont bons oui, mais sans plus. Et on reste dans une comédie assez bateau, où même en essayant d’attaquer les clichés on retombe dedans tête la première (scène de l’aéroport bonjour).

J’ai néanmoins passé une bonne soirée et si vous cherchez un film de nana récent à regarder un soir bien au chaud sous la couette, celui-ci est fait pour vous 🙂

14/20.

# Woman in Gold.

Lorsqu’il fait la connaissance de Maria Altmann, un jeune avocat de Los Angeles est loin de se douter de ce qui l’attend… Cette septuagénaire excentrique lui confie une mission des plus sidérantes : l’aider à récupérer l’un des plus célèbres tableaux de Gustav Klimt, exposé dans le plus grand musée d’Autriche, dont elle assure que celui-ci appartenait à sa famille ! D’abord sceptique, le jeune avocat se laisse convaincre par cette attachante vieille dame tandis que celle-ci lui raconte sa jeunesse tourmentée, l’invasion nazi, la spoliation des tableaux de sa famille, jusqu’à sa fuite aux Etats-Unis. Mais l’Autriche n’entend évidemment pas rendre la « Joconde autrichienne » à sa propriétaire légitime… Faute de recours, ils décident d’intenter un procès au gouvernement autrichien pour faire valoir leur droit et prendre une revanche sur l’Histoire.

Wow. Juste wow. Après avoir vu ce film, peu de mots me viennent à l’esprit. En lisant les critiques sur SensCritique (oui je me suis enfin créé un compte où je répond au doux nom d’ibidou), j’ai l’impression que beaucoup sont assez mitigés. Bien évidemment l’histoire (vraie) du combat de Maria Altmann pour récupérer un tableau (que dis-je ! LE tableau) représentant sa tante est un sujet qui allait forcément finir par être traité au cinéma (on a un sacré combo gagnant). Oui, beaucoup d’aspects ont été laissés de côté, oui, on a l’impression que tout est très simple. Mais au-delà de ça, les acteurs sont superbes. Ryan Reynolds et Helen Mirren sont fantastiques, ils dégagent quelque chose de fort. Le film est beau, le film est émouvant, le film est personnellement un coup de coeur. Le seul reproche que je pourrais éventuellement émettre c’est que la prise de vue n’est en rien originale (mais finalement concernant cet aspect, tous les biopics sont pareils). A voir s’il vous plait ! 

17/20.

# Tinkerbell and the legend of the Neverbeast.

Peu après le passage d’une étrange comète verte dans le ciel, la tranquillité de la Vallée des fées se voit troublée par un énorme rugissement que même Nyx, la fée éclaireuse en charge de la sécurité des lieux, n’est pas capable d’identifier. En bonne fée des animaux, Noa décide de pousser un peu plus loin l’enquête et découvre que ce cri provient d’une gigantesque créature blessée à la patte et cachée au fond d’une grotte. Malgré son allure effrayante, cet animal qui ne ressemble à aucun autre et qu’elle baptise bientôt « Grognon », cache un vrai coeur d’or. En l’apprivoisant un peu plus chaque jour, Noa remarque l’attitude étrange de Grognon : il n’a de cesse en effet d’empiler de grandes colonnes de pierre dans chacun des endroits de la Vallée des fées où se prépare le passage des saisons. Intriguée, elle le laisse pourtant faire et tente de démontrer à Clochette et ses amies – mais aussi à Nyx et à l’ensemble des fées éclaireuses qui veulent le capturer avant qu’il ne détruise tout sur son passage -, que son nouvel ami vaut bien plus que l’aspect terrifiant qu’il inspire au premier abord… Qui sait d’ailleurs si cette créature ne pourrait pas être celle dont parle une vieille légende, celle-là même qui sauverait la Vallée d’un orage capable de la réduire à néant ?

Mouihihiii. Je savais pas quoi faire, je voulais pas bosser (il était trop tard de toute façon, faut pas abuser). J’ai regardé La fée Clochette. Rien de oufissime mais l’histoire est mignonne. Le film est certainement plutôt destiné à des petites filles de 7 ans mais bon, ça ne change rien pour moi. J’ai même failli verser ma petite larme à la fin ! Ce n’est cependant pas le dessin animé de l’année, qu’on se le dise. La franchise « Clochette » ils sont mignons mais si on la voit trois fois dans tout le film, j’appelle un peu ça nous prendre pour des pigeons. Enfin bref. A regarder si vous en avez envie. Moi j’ai passé un bon moment (j’avais pas de grandes attentes, qu’on se le dise), je ne regarderais pas forcément les autres dessins animés de la franchise, ou peut-être que si, l’avenir nous le dira.

13/20.

# Laggies.

A l’aube de ses 30 ans, on ne peut pas dire que Megan soit fixée sur son avenir. Avec son groupe d’amies déjà bien installées dans la vie, le décalage se creuse de jour en jour. Et ce n’est pas le comportement des hommes qui va l’apaiser ! Au point qu’elle se réfugie chez Annika, une nouvelle amie… de 16 ans. Fuyant avec joie ses responsabilités, elle préfère partager le quotidien insouciant de l’adolescente et ses copines. Jusqu’à croiser le père d’Annika au petit-déjeuner…

Je me suis laissée tenter par Laggies, par son casting, par sa bande-annonce. Le film ne révèle rien de nouveau, très prévisible et au final assez décevant. Je ne m’attendais vraiment à autre chose qu’à une nouvelle comédie romantique remplie de clichés et de déjà-vus. L’histoire d’une amitié entre une femme dans la trentaine et une ado sans que la première essaye de se taper le père de la deuxième aurait probablement été plus intéressante. Ou peut-être pas. Il semblerait que Keira Knigtley soit bien confortablement installée dans ce genre de rôle, où la femme-enfant complètement paumée essaye de trouver un sens à sa vie.. Dommage !

Enfin bref, bien que les acteurs jouent globalement bien, le film et la façon dont a été traité le sujet ne m’ont pas convaincu. Ce film sera bien vite oublié pour ma part.

10/20.

# Pixels.

À l’époque de leur jeunesse, dans les années 80, Sam Brenner, Will Cooper, Ludlow Lamonsoff et Eddie « Fire Blaster » Plant ont sauvé le monde des milliers de fois… en jouant à des jeux d’arcade à 25 cents la partie. Mais aujourd’hui, ils vont devoir le faire pour de vrai… Lorsque des aliens découvrent des vidéos d’anciens jeux et les prennent pour une déclaration de guerre, ils lancent l’assaut contre la Terre. Ces mêmes jeux d’arcade leur servent de modèles pour leurs attaques. Cooper, qui est désormais Président des États-Unis, fait alors appel à ses vieux potes pour empêcher la destruction de la planète par PAC-MAN, Donkey Kong, Galaga, Centipede et les Space Invaders… Les gamers pourront compter sur l’aide du lieutenant-colonel Violet Van Patten, une spécialiste qui va leur fournir des armes uniques…

Pixels n’est clairement pas un grand film, mais il reste néanmoins plutôt divertissant. J’avais vu la bande-annonce, qui ne m’avait pas spécialement transcendée, et dans un moment d’égarement j’ai regardé le film. Il y a beaucoup de défauts, le niveau ne vole pas bien haut mais j’ai quand même passé un bon moment. Et j’ai ri à plusieurs moments. Rien de transcendant donc, mais si un soir vous ne savez pas quoi faire et que vous n’avez pas envie de vous prendre la tête, pourquoi  pas !

13/20.

# Vampires en toute intimité. 

Comment fait-on quand on est vampires depuis des siècles et qu’on doit discrètement vivre en coloc en 2015 ? C’est ce que nous propose de découvrir une équipe de documentaire, en partageant l’intimité d’une bande de potes suceurs de sang ! Les quatre colocataires nous ouvrent les portes de leur cœur et celle de leur quotidien un tout petit peu complexe. Comment organiser les tours de vaisselles sur 5 siècles ? Comment rentrer en boîte de nuit en redingote et chemise à jabot ? La vie éternelle, est-ce vraiment si cool ? Doit-on forcément traiter son esclave comme un esclave ? Un humain peut-il aussi être un ami et pas un diner ? Comment éteindre un pote vampire qui a pris feu sans extincteur ? Comment dévorer une fille sans lui faire passer une trop mauvaise soirée quand même ? Autant de questions auxquelles ils n’ont pas forcément les bonnes réponses !

Ce faux documentaire est une petite perle ! Le style est assez particulier, il faut aimer ce genre de film et surtout ce genre d’humour. Personnellement j’ai beaucoup ri (du début à la fin), les personnages sont géniaux. Rien d’extravagant au niveau du scénario ou des effets spéciaux mais au final, pas besoin : les différents membres de la colocation se suffisent à eux-mêmes. Honnêtement, j’aurais aimé que le film soit plus long (genre beaucoup plus long). Je n’ai pas grand chose à dire de plus. J’ai adoré, vous allez devoir l’adorer aussi. C’est vraiment un film que je vous recommande pour son originalité (adieu Twilight, Vampire Diaries, etc), et si vous avez besoin de rire un bon coup. A regarder en VO !

19/20.

Séries.

# Significant Mother.

De retour d’un voyage d’affaire, Nate, un jeune restaurateur, découvre que son meilleur ami et colocataire Jimmy entretient une relation avec sa mère. Comme si cela n’était pas déjà compliqué, Nate doit aussi gérer ses sentiments pour Sam, l’une de ses amies et employée, ainsi que son père qui essaye de reconquérir sa mère.

La saison 1 est actuellement en cours (9 épisodes de sortis). La nouvelle série CW ne présente aucune grande originalité par rapport au reste des sitcoms qui ont vu le jour jusqu’à maintenant, mais elle n’en reste pas moins sympathique et rafraichissante. J’ai apprécié chacun des épisodes sortis pour l’instant, certains m’ont fait rire plus que d’autres forcément mais j’en retiens plus de bon que de mauvais. C’est sympa mais sans plus, on verra où ça va tout ça ! 

13/20.

# Younger.

Liza a 40 ans et est une mère célibataire qui cherche un emploi, ce qui s’avère être difficile pour une femme de son âge. Elle décide de se faire rajeunir grâce à du maquillage et se fait passer pour une femme de 20 ans.

Rien de folichon ici non plus. Le scénario est un petit peu original mais pas trop, un peu cliché à mon goût. J’ai apprécié mais il n’y a rien d’exceptionnel, les épisodes nous font sourire mais ne nous font pas rire à gorge déployée. Les personnages ne sont pas particulièrement attachants, beaucoup de passages ne sont pas très intéressants. On verra ce que nous réserve la saison 2 ! En tout cas, regarder cette série ne vous apportera pas grand chose.

12/20.

# Carmilla.

La série prend place à l’université fictive de Stilas, en Styrie. On y suit les aventures de Laura, dont la colocataire disparait subitement. S’ensuivent une série de phénomènes paranormaux, qui coïncident étrangement avec l’arrivée de sa nouvelle colocataire, Carmilla.

J’ai dégotée cette série sur le blog de la Vache Ninja (héhé). Vous pouvez la trouver sur Youtube, sur la chaine VervegirlTV. Elle est disponible en VOSFR donc franchement n’hésitez pas ! Les épisodes durent entre 2 et 7/8 minutes grand max, ils s’enchainent trèèèèèès facilement (j’ai commencé vendredi et j’ai regardé les deux saisons de 36 épisodes chacune, tout est dit). J’ai eu un peu de mal avec les premiers épisodes, probablement à cause du format, c’est la première web série que je regarde (si vous en avez d’autres à me conseiller n’hésitez pas !). Je suis tout de même rapidement entrée dans l’histoire, où se mêlent histoires surnaturelles, amitiés et amourettes, le tout vu depuis une webcam. Petit coup de coeur pour le personnage de LaFontaine personnellement. C’est vraiment chouette, c’est drôle, émouvant, frustrant parfois haha. L’histoire tient la route en plus, ils ont réussi à faire un truc vraiment sympa et moderne. Par ailleurs, la série est basée sur le roman éponyme, écrit par Sheridan Le Fanu (roman que j’aimerais beaucoup m’octroyer maintenant). Et je veux la même tasse que Lauraaaaaaa (Doctor Who power).

16/20.

Sinon j’ai terminé : Faking it (saison 2).

J’ai repris : Black-ish (saison 2), Modern Family (saison 7), Fresh off the boat (saison 2), Empire (saison 2), The Middle (Saison 7), Once upon a time (très déçue par le début de cette saison 5), Marvel’s Agents of SHIELD (saison 3), The Mindy Project (saison 4), The Big Bang Theory (saison 9), You’re the worst (saison 2), Brooklyn Nine-Nine (saison 3). 

Smouch sur ta fesse gauche !

Bon dimanche 😉