Coucou les paupiettes !
On se retrouve aujourd’hui pour une nouvelle chronique livresque. J’ai accumulé un peu de retard et je vais essayer de vous préparer un Point Culture dans pas longtemps afin de rattraper tout ça. En attendant, je vais vous parler d’un thriller qui a été publié en avril 2018 aux éditions Belfond. Manhattan Vertigo a été écrit par Colin Harrison, auteur américain qui signe avec ce roman son grand retour après huit ans d’absence. C’était personnellement mon premier livre de l’auteur et je pense que je tenterai prochainement Havana Room et La nuit descend sur Manhattan, qui me tentent beaucoup. Avant de vous donner mon avis, je tiens à remercier chaudement la maison d’édition pour l’envoi de ce roman !
Sexe, pouvoir, argent et œuvres d’art, ou quand le mirage de l’amour se heurte au vertige de la possession. Après huit ans d’absence, le plus new-yorkais des auteurs de polars livre un thriller sophistiqué, personnel et tendu à l’extrême, dans la lignée de Havana Room. Jennifer ne sait plus à quel homme se vouer. D’un côté, son mari, Ahmed Mehraz, businessman iranien à l’ascension irrésistible, qui caresse le rêve de grimper les échelons du pouvoir. De l’autre, Bill, son amour de jeunesse, gentil GI texan qui souhaite la ramener au pays. Fortune et amour. Soirées folles de New York et vie de femme au foyer. Jennifer veut tout. Pour l’aider à y voir plus clair, la jeune femme compte sur Paul Reeves, son voisin et confident. Mais cet avocat quinquagénaire a d’autres préoccupations : mettre la main sur la plus vieille carte de New York, une œuvre inestimable dont le bruit court qu’elle sera bientôt mise en vente. Et quand la diaspora iranienne et un tueur à gages mexicain viennent rebattre les cartes de ce triangle amoureux, une seule question se pose : qui sauvera sa tête et remportera la mise ?