Halloween, c’est déjà demain ! Sans grande surprise, le thème du Top Ten Tuesday de la semaine est consacrée à cette fête où sont mis à l’honneur les sorcières, zombies et autres monstres. Je ne suis pas forcément une grande adepte du genre horrifique, je suis un peu une flipette.. Cela dit, j’ai quand même quelques ouvrages dans ma besace à vous recommander afin de vous mettre dans l’ambiance !
Pour ceux qui ne connaîtraient pas, le Top Ten Tuesday est un rendez-vous hebdomadaire dans lequel on liste un top 10 littéraire selon un thème prédéfini. Il a initialement été créé par The Broke and the Bookish et a ensuite été repris en français par le blog Frogzine !
Je m’appelle Billy Brouillard. J’aime la solitude et la nuit, la pluie et la mélancolie. Mais la mort me fait peur.
Pourquoi m’a-t-elle pris Tarzan ? Pourquoi m’a-t-elle pris mon chat ? Qui est-elle exactement ? Où nous emmène-t-elle le moment venu ?
Ce soir, je percerai son secret, ce soir je retrouverai Tarzan …
Je m’appelle Billy Brouillard … J’ai un super pouvoir, une sorte de don … Le don de trouble vue …
J’avais envie de commencer par « Maintenant que les températures ont chuté et qu’on a ressorti les chaussettes en pilou, quoi de mieux qu’une sélection de romans à lire au coin du feu ? ».. Mais sachant que les températures nous ont feinté comme jamais et qu’il fait de nouveau 25 degrés mi-octobre (tout va bien, surtout ne changeons rien), je vous avoue qu’un feu de cheminée est la dernière chose dont j’ai envie aujourd’hui haha. Cela dit, vu comme le temps est imprévisible, autant bien se préparer et c’est l’occasion de se préparer une petite pile de livres qu’on adorera lire au coin du feu le moment venu. Ça vous va ? Je vais donc vous présenter les romans que j’ai personnellement l’intention de lire au coin du feu et ceux que j’ai déjà lu et que je vous recommande !
Pour ceux qui ne connaîtraient pas, le Top Ten Tuesday est un rendez-vous hebdomadaire dans lequel on liste un top 10 littéraire selon un thème prédéfini. Il a initialement été créé par The Broke and the Bookish et a ensuite été repris en français par le blog Frogzine !
Ce que je vais lire au coin du feu
(ou à côté d’une bougie, sachant que je n’ai pas de cheminée)
Orpheline, Alina ne peut compter que sur elle-même. Quand l’armée la recrute pour une expédition dans la Nappe d’ombre, un brouillard maléfique qui déchire le royaume, la jeune fille s’attend à y laisser sa peau… Les rares survivants des précédents raids racontent que des monstres s’y repaissent de chair humaine ! Seul Grisha, puissants magiciens, sont à même de lutter contre cette malédiction. Et si cette épreuve révélait aux yeux de tous la véritable nature d’Alina ?
Dans un monde où il reste tant à découvrir, le rêve de Stella se réalise le jour de ses douze ans : partir en expédition avec le Club de l’Ours Polaire ! Avec son ami Dragigus, elle fait la connaissance du sympathique Shay, chuchoteur de loup, et d’Ethan, magicien snob qui ne se laisse pas apprivoiser. Il le faut pourtant, car les jeunes explorateurs se retrouvent bientôt séparés du reste de l’équipage ! Le courage de Stella et les liens qui naissent entre les garçons suffiront-ils à braver les dangereuses étendues polaires ?
Alors, cette semaine, ça va aller très très vite haha. J’ai eu une semaine complètement folle, très peu de temps pour lire (voire pas du tout). Avec la fin de l’année scolaire, les adieux aux collègues, j’étais de mariage samedi, de covoiturage dimanche.. j’ai couru partout et ma PAL n’a donc pas bougé d’un pouce. J’ai quand même réussi à me mettre à jour dans des séries (ça me fatigue moins, j’avoue) comme Master of None, Chewing-Gum, la web-série Carmilla ou encore Arrested Development et Better Things. On peut pas tout faire ! Pas beaucoup de mouvement cette semaine donc, mais cet article va me permettre de me redonner un coup de boost (peut-être.. espérons !).
Concernant ce rendez-vous hebdomadaire, il est aujourd’hui géré par Galleane, chez qui vous pouvez retrouver le récapitulatif de tous les participants et les liens vers leurs articles.
Le principe est simple, il suffit de répondre à trois petites questions chaque lundi :
Qu’est-ce que j’ai lu la semaine passée ?
Qu’est-ce que je lis actuellement ?
Que vais-je lire ensuite ?
# Qu’est-ce que j’ai lu la semaine passée ? / Qu’est-ce que je lis actuellement ?
Je me lance à mon tour dans ce Tag proposé par Pocket Jeunesse, permettant de dresser une sorte de bilan de mes six derniers mois littéraires.
# Avez-vous eu un coup de cœur ?
Oui, j’ai eu quelques coups de cœur, notamment pour le roman Les derniers jours de Rabbit Hayes, dont je parlais dans le Point Culture d’hier (#16.1), pour La Voleuse de livres, pour L’attentat ou encore pour La fractale des raviolis, mais aussi pour des BDs comme Le TGV d’Alphonse Tabouret ou Love Story à l’iranienne.
C’est parti pour le huitième point culture ! Désolée pour le manque d’articles ces deux dernières semaines, je ne démarre pas très bien l’année par rapport à mes résolutions bloguesques. Mais les études passent avant et j’ai des journées de folie en ce moment. Quand je rentre je n’ai pas toujours envie d’écrire.. Mais du coup ça me fait plein de trucs à vous présenter dans le point culture (faut voir le bon côté des choses haha).
Livres lus.
# L’attentat.
Dans un restaurant de Tel Aviv, une jeune femme se fait exploser au milieu de dizaines de clients. À l’hôpital, le docteur Amine, chirurgien israélien d’origine arabe, opère à la chaîne les survivants de l’attentat. Dans la nuit qui suit le carnage, on le rappelle d’urgence pour examiner le corps déchiqueté de la kamikaze. Le sol se dérobe alors sous ses pieds: il s’agit de sa propre femme. Comment admettre l’impossible, comprendre l’inimaginable, découvrir qu’on a partagé, des années durant, la vie et l’intimité d’une personne dont on ignorait l’essentiel? Pour savoir, il faut entrer dans la haine, le sang et le combat désespéré du peuple palestinien…
L’attentat est le premier roman que je lis de Yasmina Khadra. Ce que le jour doit à la nuit traîne dans ma PAL depuis un bon moment, et je crois qu’après la lecture de celui-ci, je ne vais vraiment pas tarder à le lire. Je ne sais pas vraiment par où commencer. Ce roman est une véritable claque. Bien que le contenu soit parfois dérangeant, compte tenu du contexte actuel en France et dans le monde entier, cette lecture est terriblement enrichissante. On entre très rapidement dans l’histoire et on a finalement l’impression d’être aux côtés d’Amine Jaafari dans sa quête.. A se poser les mêmes questions que lui, à se positionner dans ce conflit israelo-palestinien.
L’écriture de Khadra est juste superbe, mais aussi tellement réelle qu’on a parfois l’impression de se prendre un mur. Je ne sais pas comment formuler ça, dans ma tête c’est assez clair haha. Ce roman est vraiment bouleversant, il ouvre les yeux sur des choses que l’on connait mal et je pense qu’il mériterait d’être lu par beaucoup. Vous comprendrez donc que je vous le conseille, les yeux fermés.
18/20
# Fangirl.
Cath est fan de Simon Snow. Okay, le monde entier est fan de Simon Snow…
Mais pour Cath, être une fan résume sa vie – et elle est plutôt douée pour ça. Wren, sa soeur jumelle, et elle se complaisaient dans la découverte de la saga Simon Snow quand elles étaient jeunes. Quelque part, c’est ce qui les a aidé à surmonter la fuite de leur mère. Lire. Relire. Traîner sur les forums sur Simon Snow, écrire des fanfictions dans l’univers de Simon Snow, se déguiser en personnages pour les avant-premières de films. La soeur de Cath s’est peu à peu éloignée du fandom, mais Cath ne peut pas s’en passer. Elle n’en éprouve pas l’envie.
Maintenant qu’elles sont à l’université, Wren a annoncé à Cath qu’elle ne voulait pas qu’elles partagent une chambre. Cath est seule, complètement en dehors de sa bulle de confort. Elle partage son quotidien entre une colocataire hargneuse qui sort malgré tout avec un mec charmant et toujours collé à ses bottes, son professeur d’écriture inventée qui pense que les fanfictions annoncent la fin du monde civilisé, et un camarade de classe au physique alléchant qui a la passion des mots… Mais elle ne peut s’empêcher de s’inquiéter à propos de son père, aimant et fragile, qui n’a jamais vraiment été seul.
Pour Cath, la question est : va-t-elle réussir à s’habituer à cette nouvelle vie ? Peut-elle le faire sans que Wren lui tienne la main ? Est-elle prête à vivre sa propre vie ? Ecrire ses propres histoires ? Et veut-elle vraiment grandir si c’est synonyme d’abandonner Simon Snow ?
Après avoir lu plusieurs bonnes critiques, je me suis lancée dans la lecture de ce pavé (507 pages quand même), que je considère comme de la chick lit pure et dure. Si j’ai lu le roman très rapidement (en trois jours haha, même si le fait que j’étais malade a un peu aidé), je ne le qualifierais pas de coup de coeur. J’ai plutôt bien accroché à l’histoire en général et à l’environnement du personnage principal, mais dans le détail quelques petites choses m’ont déçues. J’ai trouvé les passages consacrés à la fanfiction (quand elle lit des passages entiers à Lévy par exemple) beaucoup trop longs.. Sachant qu’on ne suit « l’histoire » de Simon et Baz que par bribes et que ça n’ajoute rien de particulier au roman, on aurait tout simplement pu s’en passer. J’aurais préféré que l’auteur explore un peu plus la vie de Cath, héroïne plutôt attachante. Sa perception du monde, ses difficultés à entrer en contact avec les gens, son rapport à sa soeur jumelle, à ses parents.. Parce que là, j’ai trouvé tout ça plutôt superficiel. J’ai eu vraiment l’impression que tout ça passait au troisième plan, après les fanfictions et ses amours, qui n’arrivent vraiment que très tardivement dans le roman.
La lecture a cependant été agréable, je pense que je lirai d’autres romans de l’auteur. Après un livre comme L’attentat, je pense que j’avais besoin de lire quelque chose de ce type. Pas de gros youpla pour moi, mais pour les adeptes du genre (et de la fanfiction) je pense que ça pourrait être un coup de coeur ! En tout cas c’était plutôt divertissant.
14,5/20
# Carmilla.
Dans un château de la lointaine Styrie, au début du XIXe siècle, vit une jeune fille solitaire et maladive. Lorsque surgit d’un attelage accidenté près du vieux pont gothique la silhouette ravissante de Carmilla, une vie nouvelle commence pour l’héroïne. Une étrange maladie se répand dans la région, tandis qu’une inquiétante torpeur s’empare de celle qui bientôt ne peut plus résister à la séduction de Carmilla… Un amour ineffable grandit entre les deux créatures, la prédatrice et sa proie, associées à tout jamais » par la plus bizarre maladie qui eût affligé un être humain « . Métaphore implacable de l’amour interdit, Carmilla envoûte jusqu’à la dernière ligne… jusqu’à la dernière goutte de sang.
Je ne sais pas si vous vous en souvenez mais je vous avais présenté une web-série intitulée Carmilla il y a quelques mois, je l’avais découverte sur le blog de La Vache Ninja ! J’avais beaucoup aimé la web-série et j’avais émis le souhait de lire l’ouvrage (plutôt pas récent) dont elle était tirée. J’ai enfin réussi à l’emprunter à la médiathèque (oh joie) !
Je l’ai lu très très rapidement. Malgré le style XIXème siècle, je trouve que ça se lit très facilement. On rentre très rapidement dans l’histoire. La narratrice sait nous tenir en haleine, on a du mal à lâcher le bouquin. J’ai envie de dire que ça renouvelle le genre littéraire vampirique mais c’est beaucoup plus vieux que tout ce que j’ai jamais lu sur le sujet donc bon.. Niveau renouvellement on repassera. En tout cas j’ai personnellement trouvé ça passionnant, très bien écrit. Il n’y a pas beaucoup de suspense mais ce n’est pas dérangeant. Je le recommande à tout ceux qui aiment bien le genre fantastique, mais pas que, puisque finalement la notion de vampire à proprement parler n’est pas beaucoup abordée, c’est beaucoup plus fin et nuancé (miam).
16/20
Films vus.
# What we did on our holiday.
Un couple en crise se rend en Écosse avec ses trois enfants pour fêter l’anniversaire du grand-père. Le week-end ne se passe pas tout à fait comme prévu…
Ce film est un gros coup de coeur personnel. Il est drôle, très émouvant et porté par un casting incroyable. Les personnages sont très attachants pour la plupart, surtout les enfants (qui sont juste géniaux), et on souhaite très vite que cette famille dysfonctionnelle devienne la nôtre. Autre point positif : l’Écosse et ses paysages magnifiques, on ne pouvait rêver meilleur cadre.
Le film reste très simple, pas forcément prévisible mais simple, sans prise de tête, ce qui est très appréciable. Il a bien entendu ses petits défauts, mais franchement, ils ont été très vite oubliés de mon côté. C’était une très belle découverte et je vous le conseille grandement !
17/20
# The intern.
Ben Whittaker, veuf de 70 ans s’aperçoit que la retraite ne correspond pas vraiment à l’idée qu’il s’en faisait. Dès que l’occasion se présente de reprendre du service, il accepte un poste de stagiaire sur un site Internet de mode, créé et dirigé par Jules Ostin.
J’avais noté ce film dans un petit coin après avoir vu la bande-annonce et, comme d’habitude, je l’avais oublié. Je suis retombée dessus par hasard et on a décide de regarder le film un soir, ne sachant pas vraiment quoi regarder d’autre. Le film était sympathique, mais sans plus. Une comédie américaine comme on en voit beaucoup, plutôt prévisible (quoique, on s’attendait à une fin un peu différente – mais pas trop non plus) mais qui se laisse regarder un soir d’ennui.
J’aime beaucoup le personnage de Jules, femme qui a créé sa propre entreprise et qui se bat pour que ses rêves se réalisent tout en jonglant avec une vie de famille pas toujours très facile. C’est le genre de personnage auquel je m’attache assez facilement et Anne Hathaway l’incarne aisément. Je ne suis pas une grande fan de l’actrice (surtout depuis Alice au Pays des Merveilles en fait), mais je l’ai beaucoup aimé dans ce rôle. Rôle qui m’a un peu rappelé Le diable d’habille en Prada d’ailleurs, sauf que maintenant c’est elle la Boss, c’est marrant. Robert de Niro est attachant mais il ne m’a pas transcendé plus que ça. Je dois avouer que ses derniers rôles me déçoivent un peu.. Pour moi cette comédie était mignonne, c’est le mot. A voir, pourquoi pas, si vous voulez passer une soirée sans prise de tête, à regarder un film mignon.
13/20
# Jenny’s wedding.
Jenny subit les pressions de sa famille qui ne souhaite qu’une chose : que celle-ci trouve un mari. La jeune femme va alors annoncer à ses parents qu’elle souhaite se marier avec sa compagne Kitty. Toute la famille tombe alors des nues en apprenant son homosexualité.
Je me suis lancée dans le visionnage de ce film sans avoir vraiment de grandes attentes. Le sujet n’étant pas particulièrement facile à traiter, je savais d’avance qu’il y aurait des défauts et beaucoup de prévisible. Sur ce point là je n’ai pas été déçue, plus prévisible tu meurs. Je ne sais pas trop quoi vous dire si ce n’est que je ne recommande pas particulièrement le film. Selon moi il n’est pas complet, il n’est pas fini. Il manque quelque chose d’important, mais je ne sais pas trop quoi. De l’émotion peut-être ? J’ai trouvé la plupart des personnages très fades. Alexis Bledel est complètement transparente et inutile, elle ne serait pas dans le film ce serait pareil. Et Katherine Heigl ne m’a pas transcendée non plus dans le rôle du personnage principal. Elle ne m’a pas convaincue. Tout va très vite, j’ai l’impression que beaucoup d’étapes dans l’histoire passent à la trappe.
Même si le message final reste beau, le résultat global reste un peu simplet. Le film soulève des questions intéressantes mais sans vraiment rentrer dans le débat, tout cela reste très superficiel. Je suis donc assez mitigée, je ne sais pas si je suis la seule ?
11/20
Nouvelles séries !
# Telenovela.
Ana Sofia Calderon est l’ambitieuse star de la telenovela la plus populaire d’Amérique Latine. Mais pas facile pour elle de rester au top quand les drames à l’écran ne sont rien comparés à ceux qui se déroulent en coulisses. Entre deux tournages, la tension monte et Ana Sofia doit notamment composer avec des scénaristes un peu trop portés sur la boisson et des comédiens prêts à tout pour lui voler la vedette. Mais tout ceci n’est rien comparé au jour où elle découvre que son ex-mari a été casté dans le rôle de son nouveau prétendant…
Je n’ai pas grand chose à dire sur cette série. Ça ne vole pas bien haut mais ça a le mérite de me faire rigoler un peu après une longue journée de boulot. Les épisodes sont courts (format 20 minutes), passent très vite. Apparemment réaliser des séries sur les coulisses de la réalisation d’une autre série devient chose commune. On ressent aussi un peu la vibe Jane the virgin (je trouve). La série ne me déplait pas, je continuerai à regarder au moins jusqu’à la fin de la première saison ! A voir ensuite si elle sera renouvelée ou non.
14/20
# Superstore.
Les drôles de mésaventures des employés d’un grand magasin.
Rien de folichon, une série comique américaine comme on en voit 15.000 tous les ans, exploitant les mêmes codes encore et encore. La série est tout de même plutôt sympathique sans être exceptionnelle. Je pense continuer de la regarder, mais si elle est supprimée, ça ne me fera ni chaud ni froid.
13/20
# The Shannara Chronicles.
Des millions d’années après l’extinction de la civilisation que nous connaissons, les Quatre Terres sont menacées par la mort imminente de l’Arbre protecteur Ellcrys qui renferme des forces terribles et obscures. A chaque feuille tombée, les démons se réveillent de l’au-delà. La princesse Amberle, le demi-elfe et la solitaire Eretria commencent alors leur quête contre les forces du Mal.
ENFIN. Enfin des gens qui ont compris l’intérêt du format de la série pour adapter des séries de romans. J’attendais avec impatience cette série à gros (gros) budget et je ne suis pas déçue. J’ai regardé les quatre épisodes sortis en une soirée, s’il y en avait eu plus, je les aurais regardé aussi. La série est très prenante, de qualité (pour l’instant en tout cas). J’aime beaucoup l’univers et l’ambiance dans lesquels prennent place l’histoire et les personnages. J’apprécie un peu moins le côté triangle amoureux qui se développe mais bon, on verra ce que ça donne sur le long terme. En tout cas j’ai hâte de voir la suite ! C’est personnellement mon coup de coeur série de ce début du mois de janvier !
17/20
# Angie Tribeca.
On y suit les différentes missions d’Angie Tribeca, détective pour la police de Los Angeles.
Angie Tribeca est une série produite par Steve Carrell. J’avais vu la bande-annonce il y a quelques mois, mais à l’époque il n’y avait pas encore de date de lancement prévue. Elle a commencé au début du mois de janvier, tous les épisodes de la première saison sont sortis. C’est une série qui, je pense, ne plaira pas à tout le monde à cause de son humour assez particulier. Maintenant je pense que vous me connaissez suffisamment pour savoir que j’adore ce genre d’humour héhé. Je n’ai regardé que les premiers épisodes, pas la saison complète, mais pour l’instant j’apprécie la direction qu’ils prennent. Le casting est bon dans son intégralité, ils ont tous leur place dans ce genre de série. Après j’avoue ne pas accrocher à tous les choix réalisés, certains passages tombent à plat quand d’autres sont excellents. Je vais donc donner sa chance à la saison 1 sans pour autant être sûre d’avance de regarder la suite. Je médite sur la question.
C’est avec honte que je viens ENFIN vous livrer un point culture assez « allégé ». Je n’ai quasiment pas lu ces trois dernières semaines, avec la rentrée des séries je n’ai pas commencé grand chose de nouveau et je n’ai finalement pas regardé tant de films que ça. Je sais pas ce que j’ai foutu de mes soirées mais bref (Pinterest probablement, quel piège). J’espère que vous ne m’en voudrez pas et que vous découvrirez quelques petites choses qui vous intéresseront dans le lot. Comme d’hab’, j’attend vos petits avis personnels 😉
Livres lus.
# Muchachas.
Les filles sont partout dans ce roman. Elles mènent la danse. De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres. Des filles qui se battent pour la vie.
Je me suis tournée vers Muchachas car je cherchais une lecture « pas prise de tête », comme beaucoup je pense. L’histoire débute, on retrouve Gary, Hortense.. Puis Joséphine (de la précédente trilogie de Katherine Pancol – Les Yeux Jaunes des Crocodiles). Et je me dis que c’est bizarre. Que ça n’a pas vraiment de sens de repartir sur une nouvelle trilogie avec les mêmes personnages. Et puis arrive Stella…
Muchachas a été absolument tout sauf une lecture pas prise de tête.J’avoue que de mon côté il n’y a pas eu de coup de coeur du tout. J’ai eu beaucoup de mal à avancer, à accrocher aux personnages. Je l’ai trouvé lourd, pesant. Et franchement, certains passages (vers la moitié, Ray/Stella pour ceux qui l’ont lu, puis Ray/Léonie) m’ont dégoûté et j’ai laissé le livre de côté pendant plusieurs jours.
La couverture et le résumé laissent penser qu’on s’apprête à lire un livre emprunt de bonne humeur, d’événements joyeux et de femmes fortes qui aiment la vie qu’elles se sont battues pour avoir. Clairement on nous a menti. Je ne ferais plus jamais confiance à un livre à la couverture orange avec un dessin d’enfant heureux dessus. De pages en pages je sombrais juste un peu plus dans la dépression, jusqu’à cette fin, ce dernier paragraphe qui était juste too much. Je suis déçue.
Il y avait peut-être un fond (j’insiste sur le peut-être, je ne sais pas où elle part avec ça) mais pas de forme en tout cas. D’un paragraphe à un autre on part dans des flash-backs, des flash-forwards et on revient à ce dont on parlait dix pages plus tôt. On saute de personnages en personnages et on est jamais pleinement satisfait.
Je ne sais pas si je tenterais le tome 2. En tout cas pas tout de suite. Si certaines l’ont lu, peut-être qu’il est mieux ?
9/20.
Films vus.
# She’s funny that way.
Lorsqu’Isabella rencontre Arnold, un charmant metteur en scène de Broadway, sa vie bascule. À travers les souvenirs – plus ou moins farfelus – qu’elle confie à une journaliste, l’ancienne escort girl de Brooklyn venue tenter sa chance à Hollywood, raconte comment ce « rendez-vous » lui a tout à coup apporté une fortune, et une chance qui ne se refuse pas… Tous ceux qui se trouvent mêlés de près ou de loin à cette délirante histoire vont voir leur vie changer à jamais dans un enchaînement de péripéties aussi réjouissantes qu’imprévisibles. Personne n’en sortira indemne, ni l’épouse d’Arnold, Delta, ni le comédien Seth Gilbert, ni le dramaturge Joshua Fleet, pas même Jane, la psy d’Isabella…
Je cherchais ce film depuis des mois ! Vous n’imaginez donc pas ma joie quand il est (ENFIN) apparu dans le fil d’actualité. Je me suis littéralement jetée dessus. Et je n’ai pas été déçue !
Le film nous offre une belle brochette d’acteurs, tous aussi bons les uns que les autres. Il y a un petit côté décalé que j’adore, je n’ai d’ailleurs pas été surprise de découvrir que Wes Anderson avait participé à la production.
Pour ce qui est de l’histoire en elle-même, je l’ai trouvé très bien construite, tout s’enchaine de façon très fluide, on ne s’ennuie vraiment à aucun moment. Le lien entre chaque personnage se fait très rapidement et nous offre un résultat plutôt original, sans non plus quitter les chemins pavés. J’ai adoré Jennifer Aniston, excellente en psy névrosée et par conséquent très drôle. Et la fin m’a quelque peu.. surprise. C’est le mot je pense ! Pour le coup je m’attendais à globalement tout sauf à ça x)
She’s funny that way est pour moi un film sans grande prétention, mais qui a le mérite de nous faire passer une très bonne soirée. Et des fois c’est tout ce qui compte. Je l’ajoute sans hésiter à ma liste de feel-good movies !
17/20.
# Playing it cool.
Un jeune homme qui ne croit plus à l’amour fait la rencontre d’une femme lors d’un dîner de charité. Il va tenter de la séduire.
On suit ici l’histoire d’un écrivain qui ne croit pas en l’amour. Et qui va tomber amoureux. Dès le début on sait plus ou moins à quoi s’attendre, la fin est plutôt prévisible, tous les codes de la comédie romantique de base sont là.
Le film a quand même son originalité, le petit truc qui fait que oui, j’ai bien aimé ce film. J’ai apprécié la façon dont c’est filmé, la façon dont le protagoniste principal (dont on ne connait jamais le nom d’ailleurs) s’approprie les histoires des autres, son point de vue sur l’amour et les questionnements qu’il soulève avec ses copains.. C’est probablement là les seuls éléments qui m’ont vraiment plu. Les acteurs sont bons oui, mais sans plus. Et on reste dans une comédie assez bateau, où même en essayant d’attaquer les clichés on retombe dedans tête la première (scène de l’aéroport bonjour).
J’ai néanmoins passé une bonne soirée et si vous cherchez un film de nana récent à regarder un soir bien au chaud sous la couette, celui-ci est fait pour vous 🙂
14/20.
# Woman in Gold.
Lorsqu’il fait la connaissance de Maria Altmann, un jeune avocat de Los Angeles est loin de se douter de ce qui l’attend… Cette septuagénaire excentrique lui confie une mission des plus sidérantes : l’aider à récupérer l’un des plus célèbres tableaux de Gustav Klimt, exposé dans le plus grand musée d’Autriche, dont elle assure que celui-ci appartenait à sa famille ! D’abord sceptique, le jeune avocat se laisse convaincre par cette attachante vieille dame tandis que celle-ci lui raconte sa jeunesse tourmentée, l’invasion nazi, la spoliation des tableaux de sa famille, jusqu’à sa fuite aux Etats-Unis. Mais l’Autriche n’entend évidemment pas rendre la « Joconde autrichienne » à sa propriétaire légitime… Faute de recours, ils décident d’intenter un procès au gouvernement autrichien pour faire valoir leur droit et prendre une revanche sur l’Histoire.
Wow. Juste wow. Après avoir vu ce film, peu de mots me viennent à l’esprit. En lisant les critiques sur SensCritique (oui je me suis enfin créé un compte où je répond au doux nom d’ibidou), j’ai l’impression que beaucoup sont assez mitigés. Bien évidemment l’histoire (vraie) du combat de Maria Altmann pour récupérer un tableau (que dis-je ! LE tableau) représentant sa tante est un sujet qui allait forcément finir par être traité au cinéma (on a un sacré combo gagnant). Oui, beaucoup d’aspects ont été laissés de côté, oui, on a l’impression que tout est très simple. Mais au-delà de ça, les acteurs sont superbes. Ryan Reynolds et Helen Mirren sont fantastiques, ils dégagent quelque chose de fort. Le film est beau, le film est émouvant, le film est personnellement un coup de coeur. Le seul reproche que je pourrais éventuellement émettre c’est que la prise de vue n’est en rien originale (mais finalement concernant cet aspect, tous les biopics sont pareils). A voir s’il vous plait !
17/20.
# Tinkerbell and the legend of the Neverbeast.
Peu après le passage d’une étrange comète verte dans le ciel, la tranquillité de la Vallée des fées se voit troublée par un énorme rugissement que même Nyx, la fée éclaireuse en charge de la sécurité des lieux, n’est pas capable d’identifier. En bonne fée des animaux, Noa décide de pousser un peu plus loin l’enquête et découvre que ce cri provient d’une gigantesque créature blessée à la patte et cachée au fond d’une grotte. Malgré son allure effrayante, cet animal qui ne ressemble à aucun autre et qu’elle baptise bientôt « Grognon », cache un vrai coeur d’or. En l’apprivoisant un peu plus chaque jour, Noa remarque l’attitude étrange de Grognon : il n’a de cesse en effet d’empiler de grandes colonnes de pierre dans chacun des endroits de la Vallée des fées où se prépare le passage des saisons. Intriguée, elle le laisse pourtant faire et tente de démontrer à Clochette et ses amies – mais aussi à Nyx et à l’ensemble des fées éclaireuses qui veulent le capturer avant qu’il ne détruise tout sur son passage -, que son nouvel ami vaut bien plus que l’aspect terrifiant qu’il inspire au premier abord… Qui sait d’ailleurs si cette créature ne pourrait pas être celle dont parle une vieille légende, celle-là même qui sauverait la Vallée d’un orage capable de la réduire à néant ?
Mouihihiii. Je savais pas quoi faire, je voulais pas bosser (il était trop tard de toute façon, faut pas abuser). J’ai regardé La fée Clochette. Rien de oufissime mais l’histoire est mignonne. Le film est certainement plutôt destiné à des petites filles de 7 ans mais bon, ça ne change rien pour moi. J’ai même failli verser ma petite larme à la fin ! Ce n’est cependant pas le dessin animé de l’année, qu’on se le dise. La franchise « Clochette » ils sont mignons mais si on la voit trois fois dans tout le film, j’appelle un peu ça nous prendre pour des pigeons. Enfin bref. A regarder si vous en avez envie. Moi j’ai passé un bon moment (j’avais pas de grandes attentes, qu’on se le dise), je ne regarderais pas forcément les autres dessins animés de la franchise, ou peut-être que si, l’avenir nous le dira.
13/20.
# Laggies.
A l’aube de ses 30 ans, on ne peut pas dire que Megan soit fixée sur son avenir. Avec son groupe d’amies déjà bien installées dans la vie, le décalage se creuse de jour en jour. Et ce n’est pas le comportement des hommes qui va l’apaiser ! Au point qu’elle se réfugie chez Annika, une nouvelle amie… de 16 ans. Fuyant avec joie ses responsabilités, elle préfère partager le quotidien insouciant de l’adolescente et ses copines. Jusqu’à croiser le père d’Annika au petit-déjeuner…
Je me suis laissée tenter par Laggies, par son casting, par sa bande-annonce. Le film ne révèle rien de nouveau, très prévisible et au final assez décevant. Je ne m’attendais vraiment à autre chose qu’à une nouvelle comédie romantique remplie de clichés et de déjà-vus. L’histoire d’une amitié entre une femme dans la trentaine et une ado sans que la première essaye de se taper le père de la deuxième aurait probablement été plus intéressante. Ou peut-être pas. Il semblerait que Keira Knigtley soit bien confortablement installée dans ce genre de rôle, où la femme-enfant complètement paumée essaye de trouver un sens à sa vie.. Dommage !
Enfin bref, bien que les acteurs jouent globalement bien, le film et la façon dont a été traité le sujet ne m’ont pas convaincu. Ce film sera bien vite oublié pour ma part.
10/20.
# Pixels.
À l’époque de leur jeunesse, dans les années 80, Sam Brenner, Will Cooper, Ludlow Lamonsoff et Eddie « Fire Blaster » Plant ont sauvé le monde des milliers de fois… en jouant à des jeux d’arcade à 25 cents la partie. Mais aujourd’hui, ils vont devoir le faire pour de vrai… Lorsque des aliens découvrent des vidéos d’anciens jeux et les prennent pour une déclaration de guerre, ils lancent l’assaut contre la Terre. Ces mêmes jeux d’arcade leur servent de modèles pour leurs attaques. Cooper, qui est désormais Président des États-Unis, fait alors appel à ses vieux potes pour empêcher la destruction de la planète par PAC-MAN, Donkey Kong, Galaga, Centipede et les Space Invaders… Les gamers pourront compter sur l’aide du lieutenant-colonel Violet Van Patten, une spécialiste qui va leur fournir des armes uniques…
Pixels n’est clairement pas un grand film, mais il reste néanmoins plutôt divertissant. J’avais vu la bande-annonce, qui ne m’avait pas spécialement transcendée, et dans un moment d’égarement j’ai regardé le film. Il y a beaucoup de défauts, le niveau ne vole pas bien haut mais j’ai quand même passé un bon moment. Et j’ai ri à plusieurs moments. Rien de transcendant donc, mais si un soir vous ne savez pas quoi faire et que vous n’avez pas envie de vous prendre la tête, pourquoi pas !
13/20.
# Vampires en toute intimité.
Comment fait-on quand on est vampires depuis des siècles et qu’on doit discrètement vivre en coloc en 2015 ? C’est ce que nous propose de découvrir une équipe de documentaire, en partageant l’intimité d’une bande de potes suceurs de sang ! Les quatre colocataires nous ouvrent les portes de leur cœur et celle de leur quotidien un tout petit peu complexe. Comment organiser les tours de vaisselles sur 5 siècles ? Comment rentrer en boîte de nuit en redingote et chemise à jabot ? La vie éternelle, est-ce vraiment si cool ? Doit-on forcément traiter son esclave comme un esclave ? Un humain peut-il aussi être un ami et pas un diner ? Comment éteindre un pote vampire qui a pris feu sans extincteur ? Comment dévorer une fille sans lui faire passer une trop mauvaise soirée quand même ? Autant de questions auxquelles ils n’ont pas forcément les bonnes réponses !
Ce faux documentaire est une petite perle ! Le style est assez particulier, il faut aimer ce genre de film et surtout ce genre d’humour. Personnellement j’ai beaucoup ri (du début à la fin), les personnages sont géniaux. Rien d’extravagant au niveau du scénario ou des effets spéciaux mais au final, pas besoin : les différents membres de la colocation se suffisent à eux-mêmes. Honnêtement, j’aurais aimé que le film soit plus long (genre beaucoup plus long). Je n’ai pas grand chose à dire de plus. J’ai adoré, vous allez devoir l’adorer aussi. C’est vraiment un film que je vous recommande pour son originalité (adieu Twilight, Vampire Diaries, etc), et si vous avez besoin de rire un bon coup. A regarder en VO !
19/20.
Séries.
# Significant Mother.
De retour d’un voyage d’affaire, Nate, un jeune restaurateur, découvre que son meilleur ami et colocataire Jimmy entretient une relation avec sa mère. Comme si cela n’était pas déjà compliqué, Nate doit aussi gérer ses sentiments pour Sam, l’une de ses amies et employée, ainsi que son père qui essaye de reconquérir sa mère.
La saison 1 est actuellement en cours (9 épisodes de sortis). La nouvelle série CW ne présente aucune grande originalité par rapport au reste des sitcoms qui ont vu le jour jusqu’à maintenant, mais elle n’en reste pas moins sympathique et rafraichissante. J’ai apprécié chacun des épisodes sortis pour l’instant, certains m’ont fait rire plus que d’autres forcément mais j’en retiens plus de bon que de mauvais. C’est sympa mais sans plus, on verra où ça va tout ça !
13/20.
# Younger.
Liza a 40 ans et est une mère célibataire qui cherche un emploi, ce qui s’avère être difficile pour une femme de son âge. Elle décide de se faire rajeunir grâce à du maquillage et se fait passer pour une femme de 20 ans.
Rien de folichon ici non plus. Le scénario est un petit peu original mais pas trop, un peu cliché à mon goût. J’ai apprécié mais il n’y a rien d’exceptionnel, les épisodes nous font sourire mais ne nous font pas rire à gorge déployée. Les personnages ne sont pas particulièrement attachants, beaucoup de passages ne sont pas très intéressants. On verra ce que nous réserve la saison 2 ! En tout cas, regarder cette série ne vous apportera pas grand chose.
12/20.
# Carmilla.
La série prend place à l’université fictive de Stilas, en Styrie. On y suit les aventures de Laura, dont la colocataire disparait subitement. S’ensuivent une série de phénomènes paranormaux, qui coïncident étrangement avec l’arrivée de sa nouvelle colocataire, Carmilla.
J’ai dégotée cette série sur le blog de la Vache Ninja (héhé). Vous pouvez la trouver sur Youtube, sur la chaine VervegirlTV. Elle est disponible en VOSFR donc franchement n’hésitez pas ! Les épisodes durent entre 2 et 7/8 minutes grand max, ils s’enchainent trèèèèèès facilement (j’ai commencé vendredi et j’ai regardé les deux saisons de 36 épisodes chacune, tout est dit). J’ai eu un peu de mal avec les premiers épisodes, probablement à cause du format, c’est la première web série que je regarde (si vous en avez d’autres à me conseiller n’hésitez pas !). Je suis tout de même rapidement entrée dans l’histoire, où se mêlent histoires surnaturelles, amitiés et amourettes, le tout vu depuis une webcam. Petit coup de coeur pour le personnage de LaFontaine personnellement. C’est vraiment chouette, c’est drôle, émouvant, frustrant parfois haha. L’histoire tient la route en plus, ils ont réussi à faire un truc vraiment sympa et moderne. Par ailleurs, la série est basée sur le roman éponyme, écrit par Sheridan Le Fanu (roman que j’aimerais beaucoup m’octroyer maintenant). Et je veux la même tasse que Lauraaaaaaa (Doctor Who power).
16/20.
Sinon j’ai terminé : Faking it (saison 2).
J’ai repris : Black-ish (saison 2), Modern Family (saison 7), Fresh off the boat (saison 2), Empire (saison 2), The Middle (Saison 7), Once upon a time (très déçue par le début de cette saison 5), Marvel’s Agents of SHIELD (saison 3), The Mindy Project (saison 4), The Big Bang Theory (saison 9), You’re the worst (saison 2), Brooklyn Nine-Nine (saison 3).