Le week-end est presque là et, avec lui, de belles promesses de beau temps et de repos. Enfin, partiellement pour moi puisque je vais encore à un salon du livre ce dimanche. Je sens que je vais avoir droit à un appel de mon banquier la semaine prochaine haha. En attendant d’être pleinement libérés, voici le Top Five Séries Addict de cette semaine, consacré aux meilleures séries achevées. Je vais essayer de varier un peu, je trouve que certains thèmes se ressemblent un peu trop et ça fait des redites. Je vais donc vous épargner mes séries achevées préférées (vous devez tous les connaître maintenant) : The IT Crowd, Parks and Recreation, My Mad Fat Diary, Gravity Falls… pour vous proposer une sélection de séries dont je ne parle pas trop trop souvent/qui ne reviennent pas trop dans mes tops.
Pour rappel, ce rendez-vous a été mis en place par Tequi. Le système est simple, toutes les semaines nous parlerons de certaines séries que l’on regarde, selon un thème prédéfini. C’est ouvert à tout le monde, donc n’hésitez pas à vous joindre à nous !
# La classique : Friends.
Friends fait partie des séries indémodables, c’est un classique par excellence et je pense que je ne me lasserai jamais de cette joyeuse bande de potes. C’est l’une des rares séries achevées que j’ai apprécié de bout en bout, j’ai été enchantée par chaque saison et leur dire au revoir fut très difficile. Heureusement, ce n’était que temporaire – revoir un épisode de Friends de temps à autre n’a jamais fait de mal à personne !
Comme beaucoup de fans de la série Gilmore Girls, série de notre adolescence, j’ai passé une partie de mon week-end à binge-watcher les quatre épisodes produits et diffusés par Netflix le 25 novembre dernier. Ces quatre épisodes représentaient l’équivalent de quatre films puisqu’ils durent chacun environ 1H30.
Ce grand retour était très attendu. Dans l’ensemble les retours étaient plutôt positifs sur Twitter, les gens sont globalement satisfaits. Vient maintenant le moment où je vais partager avec vous mon avis sur ces quatre épisodes. Vous êtes prêts ?
Trois générations de femmes Gilmore font face au changement et à la complexité des liens familiaux qui les unissent pendant une année à Stars Hollow.
Suite au visionnage des quatre épisodes, je dois avouer que je suis personnellement un peu déçue. Mon avis est plutôt mitigé. J’étais hyper contente de retrouver (presque) tous les personnages de la série originale. Ça redonne le sourire ! Petit pincement au cœur quand on revoit ces visages qui nous ont accompagné pendant plusieurs années. On avait l’impression de les avoir quitté hier et qu’ils n’avaient pas changé. Si ça parait sympa au premier abord, ce dernier point m’a un peu posé problème. En effet, en plus de dix ans, les personnages principaux ne semblent pas avoir évolué du tout. On reprend limite les choses là où on les a laissées. Mis à part l’apparition de quelques rides, rien de fou ne semble s’être déroulé dans la vie des habitants de Stars Hollow durant les dix dernières années. Comme si tout le monde avait mis sa vie en stand-by en attendant le retour de Rory. J’ai trouvé ça un peu gênant, j’en attendais quand même un peu plus à ce niveau là.
Par rapport aux personnages, j’ai également été déçue par les apparitions beaucoup trop courtes de Sookie et Dean. Deux minutes chacun, comme un cheveu sur la soupe, juste histoire de dire coucou quoi. Je comprends que les deux acteurs sont très occupés ces derniers temps mais bon, j’aurais presque préféré qu’ils n’apparaissent pas pour le coup. C’était beaucoup trop peu, beaucoup trop court. J’ai apprécié les quelques apparitions de Jess, j’aurais apprécié qu’on explore un peu plus les choses de son côté plutôt que de celui de Logan (#TeamJess). J’ai également aimé retrouver Paris, toujours aussi agaçante mais aussi terriblement attachante. Quelques épisodes supplémentaires auraient permis de les voir tous un peu plus, de voir un peu plus en détails ce qu’ils sont devenus alors que là ils sont de simples figurants, c’est dommage.
Au-delà de ça on passe quand même un très bon moment avec ces épisodes. On retrouve tout ce qu’on aimait dans la série originale : du rire, des disputes, des réconciliations et tout un tas d’autres émotions. J’ai été particulièrement touchée par l’évolution du personnage d’Emily Gilmore (véritable héroïne de ce grand retour ?). Il y a quelques très beaux passages qui ont bien failli me faire pleurer ! Les réalisateurs ont un peu joué la carte de la facilité en réutilisant des recettes qui ont déjà très bien fonctionné par le passé mais je ne leur en veux pas, le but de ces quatre épisodes était de retrouver l’univers tant chéri de Gilmore Girls, et c’est plutôt réussi.
Pour terminer, j’aimerais revenir sur la fin (sans spoiler). Cette dernière m’a terriblement déçue. Le dernier épisode de la série originale se terminait sur une fin ouverte et j’espérais vraiment que ce grand retour nous donnerait quelques réponses. Et bien non, bien fait pour nous. On se retrouve avec une fin carrément frustrante et qui soulève 10.000 questions de plus. Quatre épisodes, c’est beaucoup trop peu. Tout va beaucoup trop vite, certaines choses auraient mérité d’être plus approfondies. Une saison entière n’aurait pas été de refus ! On en veut encore !
Je n’ai pas envie de trop en dire parce que je ne veux pas trop en révéler. Si vous avez aimé la série originale, ce revival devrait vous plaire. Ne vous attendez pas à quelque chose de dingue, de complètement nouveau. On retrouve les mêmes schémas que dans la série originale. A mon avis, la seule raison pour laquelle j’ai vraiment apprécié de retrouver l’univers de Gilmore Girls c’est parce que je m’y suis senti comme à la maison, après de longues vacances. Rien n’a changé, tout est à sa place. Le scénario ne casse pas trois pattes à un canard mais on est heureux de retrouver tout le monde et on passe un bon moment. Je regrette tout de même le manque de recherche et le fait qu’il n’y ait que quatre épisodes ! A mon avis, j’en attendais trop.
Et vous ? Vous avez regardé les épisodes ? Vous comptez le faire ?
C’est parti pour le huitième point culture ! Désolée pour le manque d’articles ces deux dernières semaines, je ne démarre pas très bien l’année par rapport à mes résolutions bloguesques. Mais les études passent avant et j’ai des journées de folie en ce moment. Quand je rentre je n’ai pas toujours envie d’écrire.. Mais du coup ça me fait plein de trucs à vous présenter dans le point culture (faut voir le bon côté des choses haha).
Livres lus.
# L’attentat.
Dans un restaurant de Tel Aviv, une jeune femme se fait exploser au milieu de dizaines de clients. À l’hôpital, le docteur Amine, chirurgien israélien d’origine arabe, opère à la chaîne les survivants de l’attentat. Dans la nuit qui suit le carnage, on le rappelle d’urgence pour examiner le corps déchiqueté de la kamikaze. Le sol se dérobe alors sous ses pieds: il s’agit de sa propre femme. Comment admettre l’impossible, comprendre l’inimaginable, découvrir qu’on a partagé, des années durant, la vie et l’intimité d’une personne dont on ignorait l’essentiel? Pour savoir, il faut entrer dans la haine, le sang et le combat désespéré du peuple palestinien…
L’attentat est le premier roman que je lis de Yasmina Khadra. Ce que le jour doit à la nuit traîne dans ma PAL depuis un bon moment, et je crois qu’après la lecture de celui-ci, je ne vais vraiment pas tarder à le lire. Je ne sais pas vraiment par où commencer. Ce roman est une véritable claque. Bien que le contenu soit parfois dérangeant, compte tenu du contexte actuel en France et dans le monde entier, cette lecture est terriblement enrichissante. On entre très rapidement dans l’histoire et on a finalement l’impression d’être aux côtés d’Amine Jaafari dans sa quête.. A se poser les mêmes questions que lui, à se positionner dans ce conflit israelo-palestinien.
L’écriture de Khadra est juste superbe, mais aussi tellement réelle qu’on a parfois l’impression de se prendre un mur. Je ne sais pas comment formuler ça, dans ma tête c’est assez clair haha. Ce roman est vraiment bouleversant, il ouvre les yeux sur des choses que l’on connait mal et je pense qu’il mériterait d’être lu par beaucoup. Vous comprendrez donc que je vous le conseille, les yeux fermés.
18/20
# Fangirl.
Cath est fan de Simon Snow. Okay, le monde entier est fan de Simon Snow…
Mais pour Cath, être une fan résume sa vie – et elle est plutôt douée pour ça. Wren, sa soeur jumelle, et elle se complaisaient dans la découverte de la saga Simon Snow quand elles étaient jeunes. Quelque part, c’est ce qui les a aidé à surmonter la fuite de leur mère. Lire. Relire. Traîner sur les forums sur Simon Snow, écrire des fanfictions dans l’univers de Simon Snow, se déguiser en personnages pour les avant-premières de films. La soeur de Cath s’est peu à peu éloignée du fandom, mais Cath ne peut pas s’en passer. Elle n’en éprouve pas l’envie.
Maintenant qu’elles sont à l’université, Wren a annoncé à Cath qu’elle ne voulait pas qu’elles partagent une chambre. Cath est seule, complètement en dehors de sa bulle de confort. Elle partage son quotidien entre une colocataire hargneuse qui sort malgré tout avec un mec charmant et toujours collé à ses bottes, son professeur d’écriture inventée qui pense que les fanfictions annoncent la fin du monde civilisé, et un camarade de classe au physique alléchant qui a la passion des mots… Mais elle ne peut s’empêcher de s’inquiéter à propos de son père, aimant et fragile, qui n’a jamais vraiment été seul.
Pour Cath, la question est : va-t-elle réussir à s’habituer à cette nouvelle vie ? Peut-elle le faire sans que Wren lui tienne la main ? Est-elle prête à vivre sa propre vie ? Ecrire ses propres histoires ? Et veut-elle vraiment grandir si c’est synonyme d’abandonner Simon Snow ?
Après avoir lu plusieurs bonnes critiques, je me suis lancée dans la lecture de ce pavé (507 pages quand même), que je considère comme de la chick lit pure et dure. Si j’ai lu le roman très rapidement (en trois jours haha, même si le fait que j’étais malade a un peu aidé), je ne le qualifierais pas de coup de coeur. J’ai plutôt bien accroché à l’histoire en général et à l’environnement du personnage principal, mais dans le détail quelques petites choses m’ont déçues. J’ai trouvé les passages consacrés à la fanfiction (quand elle lit des passages entiers à Lévy par exemple) beaucoup trop longs.. Sachant qu’on ne suit « l’histoire » de Simon et Baz que par bribes et que ça n’ajoute rien de particulier au roman, on aurait tout simplement pu s’en passer. J’aurais préféré que l’auteur explore un peu plus la vie de Cath, héroïne plutôt attachante. Sa perception du monde, ses difficultés à entrer en contact avec les gens, son rapport à sa soeur jumelle, à ses parents.. Parce que là, j’ai trouvé tout ça plutôt superficiel. J’ai eu vraiment l’impression que tout ça passait au troisième plan, après les fanfictions et ses amours, qui n’arrivent vraiment que très tardivement dans le roman.
La lecture a cependant été agréable, je pense que je lirai d’autres romans de l’auteur. Après un livre comme L’attentat, je pense que j’avais besoin de lire quelque chose de ce type. Pas de gros youpla pour moi, mais pour les adeptes du genre (et de la fanfiction) je pense que ça pourrait être un coup de coeur ! En tout cas c’était plutôt divertissant.
14,5/20
# Carmilla.
Dans un château de la lointaine Styrie, au début du XIXe siècle, vit une jeune fille solitaire et maladive. Lorsque surgit d’un attelage accidenté près du vieux pont gothique la silhouette ravissante de Carmilla, une vie nouvelle commence pour l’héroïne. Une étrange maladie se répand dans la région, tandis qu’une inquiétante torpeur s’empare de celle qui bientôt ne peut plus résister à la séduction de Carmilla… Un amour ineffable grandit entre les deux créatures, la prédatrice et sa proie, associées à tout jamais » par la plus bizarre maladie qui eût affligé un être humain « . Métaphore implacable de l’amour interdit, Carmilla envoûte jusqu’à la dernière ligne… jusqu’à la dernière goutte de sang.
Je ne sais pas si vous vous en souvenez mais je vous avais présenté une web-série intitulée Carmilla il y a quelques mois, je l’avais découverte sur le blog de La Vache Ninja ! J’avais beaucoup aimé la web-série et j’avais émis le souhait de lire l’ouvrage (plutôt pas récent) dont elle était tirée. J’ai enfin réussi à l’emprunter à la médiathèque (oh joie) !
Je l’ai lu très très rapidement. Malgré le style XIXème siècle, je trouve que ça se lit très facilement. On rentre très rapidement dans l’histoire. La narratrice sait nous tenir en haleine, on a du mal à lâcher le bouquin. J’ai envie de dire que ça renouvelle le genre littéraire vampirique mais c’est beaucoup plus vieux que tout ce que j’ai jamais lu sur le sujet donc bon.. Niveau renouvellement on repassera. En tout cas j’ai personnellement trouvé ça passionnant, très bien écrit. Il n’y a pas beaucoup de suspense mais ce n’est pas dérangeant. Je le recommande à tout ceux qui aiment bien le genre fantastique, mais pas que, puisque finalement la notion de vampire à proprement parler n’est pas beaucoup abordée, c’est beaucoup plus fin et nuancé (miam).
16/20
Films vus.
# What we did on our holiday.
Un couple en crise se rend en Écosse avec ses trois enfants pour fêter l’anniversaire du grand-père. Le week-end ne se passe pas tout à fait comme prévu…
Ce film est un gros coup de coeur personnel. Il est drôle, très émouvant et porté par un casting incroyable. Les personnages sont très attachants pour la plupart, surtout les enfants (qui sont juste géniaux), et on souhaite très vite que cette famille dysfonctionnelle devienne la nôtre. Autre point positif : l’Écosse et ses paysages magnifiques, on ne pouvait rêver meilleur cadre.
Le film reste très simple, pas forcément prévisible mais simple, sans prise de tête, ce qui est très appréciable. Il a bien entendu ses petits défauts, mais franchement, ils ont été très vite oubliés de mon côté. C’était une très belle découverte et je vous le conseille grandement !
17/20
# The intern.
Ben Whittaker, veuf de 70 ans s’aperçoit que la retraite ne correspond pas vraiment à l’idée qu’il s’en faisait. Dès que l’occasion se présente de reprendre du service, il accepte un poste de stagiaire sur un site Internet de mode, créé et dirigé par Jules Ostin.
J’avais noté ce film dans un petit coin après avoir vu la bande-annonce et, comme d’habitude, je l’avais oublié. Je suis retombée dessus par hasard et on a décide de regarder le film un soir, ne sachant pas vraiment quoi regarder d’autre. Le film était sympathique, mais sans plus. Une comédie américaine comme on en voit beaucoup, plutôt prévisible (quoique, on s’attendait à une fin un peu différente – mais pas trop non plus) mais qui se laisse regarder un soir d’ennui.
J’aime beaucoup le personnage de Jules, femme qui a créé sa propre entreprise et qui se bat pour que ses rêves se réalisent tout en jonglant avec une vie de famille pas toujours très facile. C’est le genre de personnage auquel je m’attache assez facilement et Anne Hathaway l’incarne aisément. Je ne suis pas une grande fan de l’actrice (surtout depuis Alice au Pays des Merveilles en fait), mais je l’ai beaucoup aimé dans ce rôle. Rôle qui m’a un peu rappelé Le diable d’habille en Prada d’ailleurs, sauf que maintenant c’est elle la Boss, c’est marrant. Robert de Niro est attachant mais il ne m’a pas transcendé plus que ça. Je dois avouer que ses derniers rôles me déçoivent un peu.. Pour moi cette comédie était mignonne, c’est le mot. A voir, pourquoi pas, si vous voulez passer une soirée sans prise de tête, à regarder un film mignon.
13/20
# Jenny’s wedding.
Jenny subit les pressions de sa famille qui ne souhaite qu’une chose : que celle-ci trouve un mari. La jeune femme va alors annoncer à ses parents qu’elle souhaite se marier avec sa compagne Kitty. Toute la famille tombe alors des nues en apprenant son homosexualité.
Je me suis lancée dans le visionnage de ce film sans avoir vraiment de grandes attentes. Le sujet n’étant pas particulièrement facile à traiter, je savais d’avance qu’il y aurait des défauts et beaucoup de prévisible. Sur ce point là je n’ai pas été déçue, plus prévisible tu meurs. Je ne sais pas trop quoi vous dire si ce n’est que je ne recommande pas particulièrement le film. Selon moi il n’est pas complet, il n’est pas fini. Il manque quelque chose d’important, mais je ne sais pas trop quoi. De l’émotion peut-être ? J’ai trouvé la plupart des personnages très fades. Alexis Bledel est complètement transparente et inutile, elle ne serait pas dans le film ce serait pareil. Et Katherine Heigl ne m’a pas transcendée non plus dans le rôle du personnage principal. Elle ne m’a pas convaincue. Tout va très vite, j’ai l’impression que beaucoup d’étapes dans l’histoire passent à la trappe.
Même si le message final reste beau, le résultat global reste un peu simplet. Le film soulève des questions intéressantes mais sans vraiment rentrer dans le débat, tout cela reste très superficiel. Je suis donc assez mitigée, je ne sais pas si je suis la seule ?
11/20
Nouvelles séries !
# Telenovela.
Ana Sofia Calderon est l’ambitieuse star de la telenovela la plus populaire d’Amérique Latine. Mais pas facile pour elle de rester au top quand les drames à l’écran ne sont rien comparés à ceux qui se déroulent en coulisses. Entre deux tournages, la tension monte et Ana Sofia doit notamment composer avec des scénaristes un peu trop portés sur la boisson et des comédiens prêts à tout pour lui voler la vedette. Mais tout ceci n’est rien comparé au jour où elle découvre que son ex-mari a été casté dans le rôle de son nouveau prétendant…
Je n’ai pas grand chose à dire sur cette série. Ça ne vole pas bien haut mais ça a le mérite de me faire rigoler un peu après une longue journée de boulot. Les épisodes sont courts (format 20 minutes), passent très vite. Apparemment réaliser des séries sur les coulisses de la réalisation d’une autre série devient chose commune. On ressent aussi un peu la vibe Jane the virgin (je trouve). La série ne me déplait pas, je continuerai à regarder au moins jusqu’à la fin de la première saison ! A voir ensuite si elle sera renouvelée ou non.
14/20
# Superstore.
Les drôles de mésaventures des employés d’un grand magasin.
Rien de folichon, une série comique américaine comme on en voit 15.000 tous les ans, exploitant les mêmes codes encore et encore. La série est tout de même plutôt sympathique sans être exceptionnelle. Je pense continuer de la regarder, mais si elle est supprimée, ça ne me fera ni chaud ni froid.
13/20
# The Shannara Chronicles.
Des millions d’années après l’extinction de la civilisation que nous connaissons, les Quatre Terres sont menacées par la mort imminente de l’Arbre protecteur Ellcrys qui renferme des forces terribles et obscures. A chaque feuille tombée, les démons se réveillent de l’au-delà. La princesse Amberle, le demi-elfe et la solitaire Eretria commencent alors leur quête contre les forces du Mal.
ENFIN. Enfin des gens qui ont compris l’intérêt du format de la série pour adapter des séries de romans. J’attendais avec impatience cette série à gros (gros) budget et je ne suis pas déçue. J’ai regardé les quatre épisodes sortis en une soirée, s’il y en avait eu plus, je les aurais regardé aussi. La série est très prenante, de qualité (pour l’instant en tout cas). J’aime beaucoup l’univers et l’ambiance dans lesquels prennent place l’histoire et les personnages. J’apprécie un peu moins le côté triangle amoureux qui se développe mais bon, on verra ce que ça donne sur le long terme. En tout cas j’ai hâte de voir la suite ! C’est personnellement mon coup de coeur série de ce début du mois de janvier !
17/20
# Angie Tribeca.
On y suit les différentes missions d’Angie Tribeca, détective pour la police de Los Angeles.
Angie Tribeca est une série produite par Steve Carrell. J’avais vu la bande-annonce il y a quelques mois, mais à l’époque il n’y avait pas encore de date de lancement prévue. Elle a commencé au début du mois de janvier, tous les épisodes de la première saison sont sortis. C’est une série qui, je pense, ne plaira pas à tout le monde à cause de son humour assez particulier. Maintenant je pense que vous me connaissez suffisamment pour savoir que j’adore ce genre d’humour héhé. Je n’ai regardé que les premiers épisodes, pas la saison complète, mais pour l’instant j’apprécie la direction qu’ils prennent. Le casting est bon dans son intégralité, ils ont tous leur place dans ce genre de série. Après j’avoue ne pas accrocher à tous les choix réalisés, certains passages tombent à plat quand d’autres sont excellents. Je vais donc donner sa chance à la saison 1 sans pour autant être sûre d’avance de regarder la suite. Je médite sur la question.