Premières lignes #1

Coucou les paupiettes !

J’ai récemment découvert sur le blog Ma Lecturothèque un rendez-vous qui m’a tout de suite plu : Premières lignes. Le principe est simple comme bonjour : chaque dimanche, je choisis un livre dans ma bibliothèque et je partage avec vous les premières lignes du récit ! Ça vous donnera peut-être envie de découvrir ce livre à votre tour.. Qui sait ?

Personnellement, je vais essayer de partager avec vous le début de mes lectures en cours ou des romans que j’ai déjà lu par le passé. Si vous l’avez lu également, ça nous permettra d’échanger à leur sujet !

Pour cette première fois, j’ai choisi de partager avec vous les premières lignes du premier tome de la série Endgame (L’appel), écrit par James Frey et Nils Johnson-Shelton. Commencé hier, j’ai déjà dévoré plus de la moitié – ce roman est complètement addictif !

couv34378694

« Endgame a commencé. Notre avenir n’est pas écrit. Notre avenir est le vôtre. Ce qui sera, sera.
Chacun croit à sa version pour expliquer comment nous sommes arrivés ici. Dieu nous a créés. Des aliens nous ont télétransportés. Un éclair nous a recrachés ou des portails nous ont déposés. En définitive, le comment importe peu. Nous avons cette planète, ce monde, cette Terre. Nous sommes venus ici, nous avons vécu ici et nous sommes ici maintenant. Vous, moi, nous, toute l’humanité. Ce qui s’est passé selon vous au début n’est pas important. La fin, si.
C’est Endgame. La fin de la partie.
Nous sommes 12. Jeunes de corps, mais issus de peuples anciens. Nos lignées ont été choisies il y a des milliers d’années. Depuis, nous nous préparons chaque jour. A partir du moment où le jeu commence, nous devons délibérer et déchiffrer, bouger et assassiner. Certains d’entre nous sont moins prêts que d’autres, et ce seront les premiers à mourir. Endgame est très simple en ce sens. Ce qui l’est moins, c’est que la mort de l’un de nous entraîne la mort d’innombrables personnes. L’Épreuve, et ce qui suit, y veillera. Vous êtes les milliards de victimes qui l’ignorent. Vous êtes les passants innocents. Vous êtes les perdants chanceux ou les gagnants malchanceux. Vous êtes les spectateurs d’une pièce qui déterminera votre destin. »

Alors, intrigués ? Tentés ? 

Personnellement, dès les premières phrases j’étais complètement accrochée et il me tarde de finir ce premier tome !

Publié par

Ibidouu

Petite chose à la recherche d'un avenir.

21 réflexions au sujet de “Premières lignes #1”

      1. Tu as plus qu’attisé ma curiosité, j’ai parcouru un eu ton blog, j’aime beaucoup les articles autour des livres (j’essaie d’en trouver des petits sympas pendant mes voyages pour l’avion, les fin de soirées tranquilles à l’hôtel…J’ai été nominée pour les Liebster Awards et je ne sais pas si tu as reçu une notification, mais tu figures parmi ma liste des nominés ! J’espère que tu accepteras la nomination !

        Aimé par 1 personne

      2. Tu m’en vois ravie 🙂
        Il y a plein de petits romans sympathiques que je pourrais te recommander si tu veux ! Tu en cherches des vraiment petits petits ? Un nombre de pages limites ? Pas de grands formats ? 😀
        Je n’ai effectivement pas reçu de notification ! C’est gentil d’avoir pensé à moi mais j’ai récemment publié un article où j’ai répondu à huit nominations au Liebster en même temps (et c’était le troisième article Liebster) donc je vais passer mon tour :/ Je vais quand même aller répondre aux questions sur ton blog 🙂

        Aimé par 1 personne

      3. En petit format que j’ai pu lire récemment, il y a Le liseur du 6h27 de Jean-Paul Didierlaurent ! En attendant Bojangles n’est pas très grand non plus. Les derniers jours de Rabbit Hayes est sorti en poche au début de l’année et il est formidable ! En plus « léger » tu as les Gilles Legardinier comme par exemple Demain j’arrête qui sont sortis en poche. Certaines n’avaient jamais vu la mer est petit et original également 🙂 Sans nouvelles de Gurb est amusant et tout petit.. Il y en a tellement :’)

        Aimé par 1 personne

      1. Haha je comprends 😉
        Je me demande ce que ça donne en VO, l’auteur a une écriture assez nerveuse mais en anglais ça ne rend peut-être pas pareil !

        J’aime

Laisser un commentaire